Le numéro 2 du régime vénézuélien, Nicolas Maduro, a affirmé vendredi que le président Hugo Chavez resterait au pouvoir même s'il n'était pas en mesure de prêter serment le 10 janvier, affirmant qu'il ne s'agissait que d'une "formalité" pouvant être accomplie ultérieurement. Face aux incertitudes grandissantes sur l'état de santé du président depuis son opération d'un cancer le 11 décembre à Cuba, où il est toujours hospitalisé, le dauphin désigné de M. Chavez a également rejeté les appels de l'opposition à un intérim du président de l'Assemblée nationale en cas d'absence du chef de l'Etat à cette date. "La période constitutionnelle 2013-2019 débute le 10 janvier (...) le président Chavez, qui est un président réélu, continuera à être en fonctions et la formalité de sa prestation de serment pourra être réglée devant le Tribunal suprême de justice" ultérieurement, a assuré vendredi soir M. Maduro sur l'antenne de la télévision d'Etat VTV. La question de la présence de Hugo Chavez, au pouvoir depuis 1999 et réélu le 7 octobre, à la cérémonie d'investiture se pose chaque jour un peu plus, à moins d'une semaine de l'échéance. Selon la Constitution vénézuélienne, le président élu doit prêter serment devant l'Assemblée nationale au cours d'une cérémonie devant se dérouler au Venezuela et ne pouvant être reportée. Cependant M. Maduro s'appuie sur le fait que la Constitution stipule également que s'il ne peut prêter serment devant l'Assemblée, il doit le faire devant le Tribunal suprême de justice. Et dans ce cas, aucun délai n'est mentionné. Parallèlement, selon la loi fondamentale, en cas d'incapacité "permanente" d'un président élu, il revient au président de l'Assemblée d'assumer l'intérim et de convoquer des élections anticipées dans les 30 jours. Le numéro 2 du régime vénézuélien, Nicolas Maduro, a affirmé vendredi que le président Hugo Chavez resterait au pouvoir même s'il n'était pas en mesure de prêter serment le 10 janvier, affirmant qu'il ne s'agissait que d'une "formalité" pouvant être accomplie ultérieurement. Face aux incertitudes grandissantes sur l'état de santé du président depuis son opération d'un cancer le 11 décembre à Cuba, où il est toujours hospitalisé, le dauphin désigné de M. Chavez a également rejeté les appels de l'opposition à un intérim du président de l'Assemblée nationale en cas d'absence du chef de l'Etat à cette date. "La période constitutionnelle 2013-2019 débute le 10 janvier (...) le président Chavez, qui est un président réélu, continuera à être en fonctions et la formalité de sa prestation de serment pourra être réglée devant le Tribunal suprême de justice" ultérieurement, a assuré vendredi soir M. Maduro sur l'antenne de la télévision d'Etat VTV. La question de la présence de Hugo Chavez, au pouvoir depuis 1999 et réélu le 7 octobre, à la cérémonie d'investiture se pose chaque jour un peu plus, à moins d'une semaine de l'échéance. Selon la Constitution vénézuélienne, le président élu doit prêter serment devant l'Assemblée nationale au cours d'une cérémonie devant se dérouler au Venezuela et ne pouvant être reportée. Cependant M. Maduro s'appuie sur le fait que la Constitution stipule également que s'il ne peut prêter serment devant l'Assemblée, il doit le faire devant le Tribunal suprême de justice. Et dans ce cas, aucun délai n'est mentionné. Parallèlement, selon la loi fondamentale, en cas d'incapacité "permanente" d'un président élu, il revient au président de l'Assemblée d'assumer l'intérim et de convoquer des élections anticipées dans les 30 jours.