L'Algérie a pris ses dispositions pour la fermeture de sa frontière avec le Mali, a appris l'APS lundi soir auprès du ministère des Affaires étrangères. « Nous avons informé la partie malienne des dispositions prises pour la fermeture de la frontière, déjà sécurisée depuis les derniers évènements survenus au Mali », a indiqué dans une déclaration le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, à l'issue de la visite en Algérie du Premier ministre malien, Diango Cissoko. Au sujet de la situation au Mali, la déclaration rappelle que l'Algérie "a été toujours animée de la volonté d'aider ce pays frère à surmonter les difficultés auxquelles il est confronté, en vue d'une sortie de crise durable et d'une gestion apaisée de la transition", soulignant que "cette solidarité s'est traduite, depuis le début de la crise malienne, par une aide financière, humanitaire et par l'appui à l'armée malienne dans le renforcement de ses capacités pour la lutte contre le terrorisme et le crime organisé". "Nous avons informé la partie malienne des dispositions prises pour la fermeture de la frontière, déjà sécurisée depuis les derniers évènements survenus au Mali", a indiqué M. Belani. Par ailleurs, le porte-parole du MAE a précisé dans ce contexte que la partie algérienne a réaffirmé la "position constante" de l'Algérie qui "vise à réaliser trois objectifs fondamentaux". « D'abord, la préservation de l'intégrité territoriale du Mali qui n'est pas négociable et ne se prête à aucune remise en cause car elle constitue le fondement de la sortie de crise", a-t-il expliqué. "Ensuite, la lutte contre le terrorisme et le crime transnational organisé qui relève de la responsabilité nationale de chaque pays, mais incombe également aux pays de la région et à la communauté internationale, conformément à la stratégie des Nations unies de lutte contre le terrorisme", a-t-il dit. Le troisième objectif réside dans "la recherche d'une solution politique, à travers un dialogue inclusif inter-malien, qui a vocation à prendre en charge de manière adéquate les revendications légitimes des populations du Nord, et des acteurs qui, pour être qualifiés à ce dialogue, doivent impérativement rejeter le terrorisme et le crime transnational organisé de manière non équivoque, et renoncer à la remise en cause de l'intégrité territoriale du Mali", a-t-il affirmé. L'Algérie a pris ses dispositions pour la fermeture de sa frontière avec le Mali, a appris l'APS lundi soir auprès du ministère des Affaires étrangères. « Nous avons informé la partie malienne des dispositions prises pour la fermeture de la frontière, déjà sécurisée depuis les derniers évènements survenus au Mali », a indiqué dans une déclaration le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, à l'issue de la visite en Algérie du Premier ministre malien, Diango Cissoko. Au sujet de la situation au Mali, la déclaration rappelle que l'Algérie "a été toujours animée de la volonté d'aider ce pays frère à surmonter les difficultés auxquelles il est confronté, en vue d'une sortie de crise durable et d'une gestion apaisée de la transition", soulignant que "cette solidarité s'est traduite, depuis le début de la crise malienne, par une aide financière, humanitaire et par l'appui à l'armée malienne dans le renforcement de ses capacités pour la lutte contre le terrorisme et le crime organisé". "Nous avons informé la partie malienne des dispositions prises pour la fermeture de la frontière, déjà sécurisée depuis les derniers évènements survenus au Mali", a indiqué M. Belani. Par ailleurs, le porte-parole du MAE a précisé dans ce contexte que la partie algérienne a réaffirmé la "position constante" de l'Algérie qui "vise à réaliser trois objectifs fondamentaux". « D'abord, la préservation de l'intégrité territoriale du Mali qui n'est pas négociable et ne se prête à aucune remise en cause car elle constitue le fondement de la sortie de crise", a-t-il expliqué. "Ensuite, la lutte contre le terrorisme et le crime transnational organisé qui relève de la responsabilité nationale de chaque pays, mais incombe également aux pays de la région et à la communauté internationale, conformément à la stratégie des Nations unies de lutte contre le terrorisme", a-t-il dit. Le troisième objectif réside dans "la recherche d'une solution politique, à travers un dialogue inclusif inter-malien, qui a vocation à prendre en charge de manière adéquate les revendications légitimes des populations du Nord, et des acteurs qui, pour être qualifiés à ce dialogue, doivent impérativement rejeter le terrorisme et le crime transnational organisé de manière non équivoque, et renoncer à la remise en cause de l'intégrité territoriale du Mali", a-t-il affirmé.