«On part du néant. Tout est à faire», c'est le constat fait par le président et le secrétaire général de l'association des plaisanciers, Octoplus, Abdelatif Hemamda et Mohamed Djebbar, réunis au port de Sidi-Frej (Alger) avec les gens de a presse. C'est une poignée d'hommes qui veut faire bouger les choses dans le domaine, très méconnu en Algérie : la plaisance côtière. L'association des plaisanciers, Octoplus, s'inscrit dans cette démarche en partenariat avec les gens des médias. Dans cette perspective, il a été créé, hier, à Alger, le club de la presse d'Octoplus pour épauler les activités de cette association qui vise à développer toutes activités culturelle et sportive liées à la plaisance côtière, aquatique et subaquatique. Cette association vise également à promouvoir la protection de littoral, du milieu marin, subaquatique et côtier par la formation, la sécurité, l'animation, le développement et l'assistance. Les deux responsables de l'association déplorent le « vide juridique » dans lequel baigne l'activité de plaisance sur les côtes algériennes et soulignent le caractère de « force de proposition » de Octoplus en alertant les intervenants des ports de plaisance sur « les anomalies » qui existent dans ce domaine, citant le port de Sidi-Frej qui « manque de signalisation de référence » et qui « n'est pas répertorié ». Les deux premiers responsables de l'association affichent leurs ambitions : développer les différentes branches d'activité de la plaisance côtière. « On va démarrer du néant » indique Mohamed Djebbar qui souligne que « toute une économie va démarrer », se référant aux 20 projets qui verront le jour à l'horizon 2020. Il estime qu'il faut développer les ports mixtes, port de plaisance et pêche de plaisance pour rentabiliser les deux activités. « La cohabitation », entre les deux activités est possible et souhaitable pour donner une « vivacité » à ces ports. D'autant plus que ces deux activités recèlent des « niches » importantes de postes de travail qui peuvent être créés dans le cadre des différents dispositifs mis en place par l'Etat pour soutenir les efforts de création des emplois. Dans ce sens, Mohamed Djebbar mettra l'accent sur le fait qu'il y a 36.000 choses à faire sur un bateau (maintenance et réparation) et avance que les ports de plaisance en Algérie peuvent offrir des places de stationnement contre payement de redevances aux navires plaisanciers étrangers. « Il y a en Europe, un déficit de 50.000 places que l'Algérie peut combler en louant des places de stationnement dans les ports de plaisance algérien », suggère le secrétaire général de l'association Octoplus. Plus, dira l'orateur « les Algériens peuvent bénéficier des dons (savoir-faire) des plaisanciers étrangers" et s'inscrit en faux contre l'idée que « la plaisance est un domaine réservé aux nantis ». Il estime que c'est « une fausse idée» et indique que « c'est une culture », se référant au fait que « 80% des navires de plaisance en Europe sont acquis par leurs propriétaires grâce au crédit leasing ». M. Djebbar et Hamamda, regrettent l'absence d' « un conseil portuaire » dans les ports de plaisance qui pourrait « régler » pas mal de problèmes. Enfin, Abdelatif Hamamda, estime que « aujourd'hui, la mer est une source de paix » et annonce que prochainement va être organisé en Algérie « le premier séminaire de plaisance et tourisme », et la création du 1er club de jet-ski. Pour les fêtes du 5 Juillet, il sera organisé le 1er festival nautique. «On part du néant. Tout est à faire», c'est le constat fait par le président et le secrétaire général de l'association des plaisanciers, Octoplus, Abdelatif Hemamda et Mohamed Djebbar, réunis au port de Sidi-Frej (Alger) avec les gens de a presse. C'est une poignée d'hommes qui veut faire bouger les choses dans le domaine, très méconnu en Algérie : la plaisance côtière. L'association des plaisanciers, Octoplus, s'inscrit dans cette démarche en partenariat avec les gens des médias. Dans cette perspective, il a été créé, hier, à Alger, le club de la presse d'Octoplus pour épauler les activités de cette association qui vise à développer toutes activités culturelle et sportive liées à la plaisance côtière, aquatique et subaquatique. Cette association vise également à promouvoir la protection de littoral, du milieu marin, subaquatique et côtier par la formation, la sécurité, l'animation, le développement et l'assistance. Les deux responsables de l'association déplorent le « vide juridique » dans lequel baigne l'activité de plaisance sur les côtes algériennes et soulignent le caractère de « force de proposition » de Octoplus en alertant les intervenants des ports de plaisance sur « les anomalies » qui existent dans ce domaine, citant le port de Sidi-Frej qui « manque de signalisation de référence » et qui « n'est pas répertorié ». Les deux premiers responsables de l'association affichent leurs ambitions : développer les différentes branches d'activité de la plaisance côtière. « On va démarrer du néant » indique Mohamed Djebbar qui souligne que « toute une économie va démarrer », se référant aux 20 projets qui verront le jour à l'horizon 2020. Il estime qu'il faut développer les ports mixtes, port de plaisance et pêche de plaisance pour rentabiliser les deux activités. « La cohabitation », entre les deux activités est possible et souhaitable pour donner une « vivacité » à ces ports. D'autant plus que ces deux activités recèlent des « niches » importantes de postes de travail qui peuvent être créés dans le cadre des différents dispositifs mis en place par l'Etat pour soutenir les efforts de création des emplois. Dans ce sens, Mohamed Djebbar mettra l'accent sur le fait qu'il y a 36.000 choses à faire sur un bateau (maintenance et réparation) et avance que les ports de plaisance en Algérie peuvent offrir des places de stationnement contre payement de redevances aux navires plaisanciers étrangers. « Il y a en Europe, un déficit de 50.000 places que l'Algérie peut combler en louant des places de stationnement dans les ports de plaisance algérien », suggère le secrétaire général de l'association Octoplus. Plus, dira l'orateur « les Algériens peuvent bénéficier des dons (savoir-faire) des plaisanciers étrangers" et s'inscrit en faux contre l'idée que « la plaisance est un domaine réservé aux nantis ». Il estime que c'est « une fausse idée» et indique que « c'est une culture », se référant au fait que « 80% des navires de plaisance en Europe sont acquis par leurs propriétaires grâce au crédit leasing ». M. Djebbar et Hamamda, regrettent l'absence d' « un conseil portuaire » dans les ports de plaisance qui pourrait « régler » pas mal de problèmes. Enfin, Abdelatif Hamamda, estime que « aujourd'hui, la mer est une source de paix » et annonce que prochainement va être organisé en Algérie « le premier séminaire de plaisance et tourisme », et la création du 1er club de jet-ski. Pour les fêtes du 5 Juillet, il sera organisé le 1er festival nautique.