Les insultes et les menaces par courrier électronique constituent un taux de 55 % des affaires traitées par les services de Gendarmerie nationale dans le domaine de lutte contre la cybercriminalité, a indiqué jeudi à Oran le représentant de ce corps de sécurité. Le représentant du Centre de prévention et de lutte contre les crimes informatiques et la cybercriminalité, relevant du commandement de la Gendarmerie nationale, a indiqué, dans son intervention lors du colloque sur la cybercriminalité abrité par la daira de Gdyel, que "la plupart de ce genre d'affaires traitées par ce corps de sécurité en 2012 ont trait aux insultes et menaces de mort via courrier électronique". Les services de la Gendarmerie nationale "ont pu déterminer leurs origines et réaliser de bons résultats dans ce domaine", a-t-il souligné. Le même intervenant a ajouté que la Gendarmerie nationale a traité 28 crimes électroniques en 2012 pour insultes et menaces, cinq autres pour escroquerie sur Internet "commis par des personnes de nationalités africaines et ayant pour motivation de subtiliser de l'argent". Les mêmes services ont traité trois affaires de fuite d'informations d'entreprises publiques au profit d'autres parties engendrant un préjudice. Les services compétents relevant du commandement de la Gendarmerie nationale "disposent de systèmes sophistiqués et d'équipements modernes utilisés dans les opérations de prévention et de lutte contre ce nouveau fléau", a précisé le même intervenant, affirmant que la prévention de ce genre de crimes "s'avère nécessaire pour combattre le terrorisme, la corruption, le blanchiment d'argent et l'escroquerie". Le représentant de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a annoncé, pour sa part, que son institution a mobilisé 40 brigades d'investigation en cybercriminalité, soit 80 enquêteurs et 12 experts. Le commissaire de police Anouni, expert et ingénieur d'Etat en informatique, a indiqué que les services de la police sont en phase de créer une équipe "spécialisée dans le surf sur Internet, dans la perspective de lutte contre le cyber-terrorisme et les crimes informatiques." L'intervenant lors de cette rencontre organisée par le bâtonnat de la wilaya d'Oran, a affirmé que la police qui dispose de trois laboratoires régionaux dans le nord du pays, sera dotée prochainement de trois autres dans le sud algérien. Les affaires de cybercriminalité traitées dans la wilaya d'Oran par les services de police criminelle ont atteint, en 2012, 248 affaires dont 49 liées aux crimes de diffusion de photos et vidéos portant atteinte aux personnes. Les insultes et les menaces par courrier électronique constituent un taux de 55 % des affaires traitées par les services de Gendarmerie nationale dans le domaine de lutte contre la cybercriminalité, a indiqué jeudi à Oran le représentant de ce corps de sécurité. Le représentant du Centre de prévention et de lutte contre les crimes informatiques et la cybercriminalité, relevant du commandement de la Gendarmerie nationale, a indiqué, dans son intervention lors du colloque sur la cybercriminalité abrité par la daira de Gdyel, que "la plupart de ce genre d'affaires traitées par ce corps de sécurité en 2012 ont trait aux insultes et menaces de mort via courrier électronique". Les services de la Gendarmerie nationale "ont pu déterminer leurs origines et réaliser de bons résultats dans ce domaine", a-t-il souligné. Le même intervenant a ajouté que la Gendarmerie nationale a traité 28 crimes électroniques en 2012 pour insultes et menaces, cinq autres pour escroquerie sur Internet "commis par des personnes de nationalités africaines et ayant pour motivation de subtiliser de l'argent". Les mêmes services ont traité trois affaires de fuite d'informations d'entreprises publiques au profit d'autres parties engendrant un préjudice. Les services compétents relevant du commandement de la Gendarmerie nationale "disposent de systèmes sophistiqués et d'équipements modernes utilisés dans les opérations de prévention et de lutte contre ce nouveau fléau", a précisé le même intervenant, affirmant que la prévention de ce genre de crimes "s'avère nécessaire pour combattre le terrorisme, la corruption, le blanchiment d'argent et l'escroquerie". Le représentant de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a annoncé, pour sa part, que son institution a mobilisé 40 brigades d'investigation en cybercriminalité, soit 80 enquêteurs et 12 experts. Le commissaire de police Anouni, expert et ingénieur d'Etat en informatique, a indiqué que les services de la police sont en phase de créer une équipe "spécialisée dans le surf sur Internet, dans la perspective de lutte contre le cyber-terrorisme et les crimes informatiques." L'intervenant lors de cette rencontre organisée par le bâtonnat de la wilaya d'Oran, a affirmé que la police qui dispose de trois laboratoires régionaux dans le nord du pays, sera dotée prochainement de trois autres dans le sud algérien. Les affaires de cybercriminalité traitées dans la wilaya d'Oran par les services de police criminelle ont atteint, en 2012, 248 affaires dont 49 liées aux crimes de diffusion de photos et vidéos portant atteinte aux personnes.