Abdelaziz Belkhadem, pourtant bel et bien destitué jeudi lorsque 160 membres du comité central(CC) du FLN lui ont retiré leur confiance contre 156 membres qui ont voté en sa faveur, n'a pas accepté sa défaite et veut coûte que contre revenir aux commandes du secrétariat général du FLN. Abdelaziz Belkhadem, pourtant bel et bien destitué jeudi lorsque 160 membres du comité central(CC) du FLN lui ont retiré leur confiance contre 156 membres qui ont voté en sa faveur, n'a pas accepté sa défaite et veut coûte que contre revenir aux commandes du secrétariat général du FLN. Abdelaziz Belkhadem, pourtant bel et bien destitué jeudi lorsque 160 membres du comité central(CC) du FLN lui ont retiré leur confiance contre 156 membres qui ont voté en sa faveur, n'a pas accepté sa défaite et veut coûte que contre revenir aux commandes du secrétariat général du FLN. Belkhadem et ses partisans se sont, en effet, employés durant toute la journée d'hier à convaincre leurs détracteurs au sein du CC de poursuivre les travaux de la session ordinaire, ouverte jeudi, avec en prime la nécessité d'élire un nouveau secrétaire général qui ne serait autre que Abdelaziz Belkhadem, bien que ce dernier s'est muré dans le silence ne confirmant pas cette hypothèse. Les adversaires de Belkhadem, qui ont réussi un joli coup jeudi en parvenant contre toute attente à le destituer de manière démocratique, ne veulent pas entendre parler de la poursuite des travaux du CC, car, pour eux, la séance a été levée par le bureau jeudi vers minuit et la session du CC a été laissée ouverte. C'Est donc l'impasse et la crise qui secoue le vieux parti depuis des années maintenant n'a pas connu son épilogue alors que tous les observateurs pensaient, qu'avec la destitution de Belkhadem elle allait connaître un dénouement. Hier vendredi chaque camp campait sur ses positions. Pour les pro Belkhadem, les travaux de la session ordinaire du CC, qui devaient durer trois jours , n'ont pas encore été clos .ET c'est pourquoi ils tenaient coûte que coûte à reprendre les travaux pour , selon leurs dires , permettre au CC de designer un bureau en vue de recueillir les candidatures au poste de secrétaire général après la le retrait de confiance à de Belkhadem et donc la vacance du poste de secrétaire général . Le désormais ex secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a pris la parole devant ses fidèles du CC dans la salle désertée par les membres du CC qui ne lui sont pas acquis, pour dire qu'il faut designer une commission paritaire qui recueillera les candidature et veillera à l'élection d'un nouveau secrétaire général et ce avant l'expiration de la durée fixée pour la tenue de cette session , a savoir trois jours . Ce délai expirera aujourd'hui samedi à minuit. Si cette commission ne parvient pas à réaliser ses objectifs, dira en outre Belkhadem qui est entrée dans la salle sous les acclamations et les youyous de ses fidèles, , la session restera ouverte, et dans ce cas c'est le bureau politique du FLN qui continuera a expédier les affaires courantes du parti , jusqu'à l'élection d'un nouveau secrétaire général . Mias peine perdue puisque les opposants refusent cette hypothèse puisque, pour eux, la séance a été levée jeudi soir par les membres du bureau désigné par les membres du CC jeudi soir. Dans une déclaration accordée dans l'après midi d'hier à la presse Ahmed Boumahdi, coordinateur des détracteurs de du camp Belkhadem et président de ce bureau , estime que « le comité central a destitué Belkhadem de manière légale et démocratique , et maintenant c'est le bureau constitué de cinq membres qui va charger de gérer les affaire courantes du parti et recueillir les candidatures , mais pas dans l'immédiat » . Selon Boumahdi le comité central e s t profondément divisé et nous n'espérons pas élire un nouveau secrétaire général dans ces conditions ». En somme il faut attendre quelques jours encore, voire une ou deux semaines, pour pouvoir élire un successeur à Belkhadem. Boumahdi, qui a annoncé l'Intérieur ont été informés puisque un dossier leur a été adressé, dira en outre que « ce que fait Belkhadem maintenant est illégale ». Prenait le relais Madani un autre membre de ce bureau, dont fait partie aussi, Ahmed Benai, Saliha Lardjane et Ali Merabet, conforte son collègue et soutient que Belkhadem a rempli la salle de députés qui ne sont pas des membres du comite central. CE qu'il fait est illégal ». Interrogé sur l'avis de l'huissier de Justice, qua déclaré que la séance de la session du comité central n'a pas été levée, BOUmahdi a indique que « l'huissier de justice n'a pas à s'immiscer dans ces affaires et elle a fait le constat de la s vacance du poste de secrétaire général ». UN imbroglio non seulement pour le ministère de l'Intérieur, mais aussi, peut être, pour la justice. Interrogé sur cet aspect BOUmahdi dira que « l'affaire n'ira pas devant les tribunaux puisque nous avons la légitimité ». Pendant ce temps Belkhadem et ses fidèles se réunissaient dans la salle de des conférences avec la ferme intention, soit d'élire un secrétaire général, soit de constituer une commission de candidatures. Belkhadem et ses fidèles, qui constituent un groupe compact et soudé, veulent aller au plus vite vers cette direction puisque ils savent que leurs opposants sont profondément divisés et désunis. En d'autres termes, ces derniers ne disposent pas d'un candidat consensuel et ce, même si, ça et là, le nom de Abdelaziz Boukhara a été avancé. La destitution de Belkhadem était leur seul point commun. Abdelaziz Belkhadem, pourtant bel et bien destitué jeudi lorsque 160 membres du comité central(CC) du FLN lui ont retiré leur confiance contre 156 membres qui ont voté en sa faveur, n'a pas accepté sa défaite et veut coûte que contre revenir aux commandes du secrétariat général du FLN. Belkhadem et ses partisans se sont, en effet, employés durant toute la journée d'hier à convaincre leurs détracteurs au sein du CC de poursuivre les travaux de la session ordinaire, ouverte jeudi, avec en prime la nécessité d'élire un nouveau secrétaire général qui ne serait autre que Abdelaziz Belkhadem, bien que ce dernier s'est muré dans le silence ne confirmant pas cette hypothèse. Les adversaires de Belkhadem, qui ont réussi un joli coup jeudi en parvenant contre toute attente à le destituer de manière démocratique, ne veulent pas entendre parler de la poursuite des travaux du CC, car, pour eux, la séance a été levée par le bureau jeudi vers minuit et la session du CC a été laissée ouverte. C'Est donc l'impasse et la crise qui secoue le vieux parti depuis des années maintenant n'a pas connu son épilogue alors que tous les observateurs pensaient, qu'avec la destitution de Belkhadem elle allait connaître un dénouement. Hier vendredi chaque camp campait sur ses positions. Pour les pro Belkhadem, les travaux de la session ordinaire du CC, qui devaient durer trois jours , n'ont pas encore été clos .ET c'est pourquoi ils tenaient coûte que coûte à reprendre les travaux pour , selon leurs dires , permettre au CC de designer un bureau en vue de recueillir les candidatures au poste de secrétaire général après la le retrait de confiance à de Belkhadem et donc la vacance du poste de secrétaire général . Le désormais ex secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a pris la parole devant ses fidèles du CC dans la salle désertée par les membres du CC qui ne lui sont pas acquis, pour dire qu'il faut designer une commission paritaire qui recueillera les candidature et veillera à l'élection d'un nouveau secrétaire général et ce avant l'expiration de la durée fixée pour la tenue de cette session , a savoir trois jours . Ce délai expirera aujourd'hui samedi à minuit. Si cette commission ne parvient pas à réaliser ses objectifs, dira en outre Belkhadem qui est entrée dans la salle sous les acclamations et les youyous de ses fidèles, , la session restera ouverte, et dans ce cas c'est le bureau politique du FLN qui continuera a expédier les affaires courantes du parti , jusqu'à l'élection d'un nouveau secrétaire général . Mias peine perdue puisque les opposants refusent cette hypothèse puisque, pour eux, la séance a été levée jeudi soir par les membres du bureau désigné par les membres du CC jeudi soir. Dans une déclaration accordée dans l'après midi d'hier à la presse Ahmed Boumahdi, coordinateur des détracteurs de du camp Belkhadem et président de ce bureau , estime que « le comité central a destitué Belkhadem de manière légale et démocratique , et maintenant c'est le bureau constitué de cinq membres qui va charger de gérer les affaire courantes du parti et recueillir les candidatures , mais pas dans l'immédiat » . Selon Boumahdi le comité central e s t profondément divisé et nous n'espérons pas élire un nouveau secrétaire général dans ces conditions ». En somme il faut attendre quelques jours encore, voire une ou deux semaines, pour pouvoir élire un successeur à Belkhadem. Boumahdi, qui a annoncé l'Intérieur ont été informés puisque un dossier leur a été adressé, dira en outre que « ce que fait Belkhadem maintenant est illégale ». Prenait le relais Madani un autre membre de ce bureau, dont fait partie aussi, Ahmed Benai, Saliha Lardjane et Ali Merabet, conforte son collègue et soutient que Belkhadem a rempli la salle de députés qui ne sont pas des membres du comite central. CE qu'il fait est illégal ». Interrogé sur l'avis de l'huissier de Justice, qua déclaré que la séance de la session du comité central n'a pas été levée, BOUmahdi a indique que « l'huissier de justice n'a pas à s'immiscer dans ces affaires et elle a fait le constat de la s vacance du poste de secrétaire général ». UN imbroglio non seulement pour le ministère de l'Intérieur, mais aussi, peut être, pour la justice. Interrogé sur cet aspect BOUmahdi dira que « l'affaire n'ira pas devant les tribunaux puisque nous avons la légitimité ». Pendant ce temps Belkhadem et ses fidèles se réunissaient dans la salle de des conférences avec la ferme intention, soit d'élire un secrétaire général, soit de constituer une commission de candidatures. Belkhadem et ses fidèles, qui constituent un groupe compact et soudé, veulent aller au plus vite vers cette direction puisque ils savent que leurs opposants sont profondément divisés et désunis. En d'autres termes, ces derniers ne disposent pas d'un candidat consensuel et ce, même si, ça et là, le nom de Abdelaziz Boukhara a été avancé. La destitution de Belkhadem était leur seul point commun.