Après la tempête ayant suivi la destitution de l'ex-secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, le temps est désormais aux tractations et aux coulisses pour lui trouver un successeur. Après la tempête ayant suivi la destitution de l'ex-secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, le temps est désormais aux tractations et aux coulisses pour lui trouver un successeur. Une personnalité qui jouit de la confiance d‘une large majorité des membres du comité central du FLN qui fera donc le consensus autour de sa personne. Pour ce faire, et maintenant que le calme est quelque peu revenu et que les esprits se sont apaisés, les différents protagonistes au sein du vieux parti mènent d‘intenses tractations en vue de trouver une solution. Ce nouvel état d‘esprit est illustré par le retour au siège du parti des plus farouches détracteurs de l‘ex-secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem . En effet, et maintenant que ce dernier n‘est plus ils ont pris leur quartier au siège national à Hydra. Ahmed Boumahdi, Madani Houd, deux membres du comité des cinq qui représente les contestataires du comité central, siègent désormais au siège du parti. Abderahmane Belayat, qui gère avec le bureau politique les affaires courantes du parti en attendant l‘élection d‘un nouveau secrétaire général, a octroyé un bureau au comité des cinq. Le bureau politique tiendra pour sa part une réunion demain. Après le décès de Mokhtar Filali, le bureau politique est actuellement constitué de 14 membres que sont Abdelaziz Ziari, Amar Tou, Alioui Mohamed, Tayeb Louh, Rachid Harraoubia, Abdelkader Zahali, Layachi Daadouaa, Abderrahmane Belayat, Madani Bradaï, Kassa Aïssi, Habiba Bahloul, Leïla Tayeb, Abdelhamid Si Affif et Mechebek Abdelkader. Les membres du bureau politique tenteront de fixer une date pour la tenue d‘une session extraordinaire qui aura pour principal point à l‘ordre du jour l‘élection d‘un nouveau secrétaire général. Le mouvement de redressement et d‘authenticité, qui été le premier à avoir ouvert un front contre Belkhadem, a tenu une réunion hier pour faire le bilan à la lumière des derniers développements. « Nous nous félicitons de la destitution du secrétaire général et nous félicitons les militants pour cette victoire » nous a indiqué hier Mohamed Seghir Kara a précisé que le Mouvement de redressement existera encore jusqu‘au retour du parti à ses militants. Pour Kara « il s‘agit maintenant de trouver une personnalité consensuelle ».Car, selon lui, « il faut préserver l‘unité des rangs. Maintenant il n‘y a plus d‘ailes au parti ». Kara, qui a indiqué que Abderrazak Bouhara est un militant connu de longue date et respecté, a toutefois souligné qu‘il est encore trop tôt pour dire que les membres du comité central ont trouvé un homme de consensus. Il faut dire que ça et là le nom de Abderrazak Bouhara est avancé et présenté comme une personnalité qu jouit de la confiance d‘une bonne partie des membres du comité central. D‘ailleurs, après l‘annonce des résultats du vote a travers lequel Belkhadem a été destitué Bouhara a été vite entourée par des membres du comité central qui lui ont levé les bras en signe de victoire. « C‘est un militant de longue date au sein du parti. Il a même participé au congrès de 1964 » dira un de ses partisans, Mohamed Boukhalfa, membre du comité central et qui siège avec lui au sénat. Boukhalfa, qui fait partie du tiers presidetiel au sénat au même titre que Bouhara, considère en outre qu‘il jouit de la confiance du président de la république, qui est aussi le président d‘honneur du FLN. Mohamed Boukhalfa a estimé, à cet effet, que le président de la République « a chargé Bouhara de le représenter à plusieurs reprises dans des pays étrangers lors de différentes célébrations ». Mais Bouhara n‘et pas seul dans cette course ouverte à la succession de Belkhadem. D‘autres noms de candidats sont aussi avancés, comme ceux de Abdelaziz Ziari, Amar Tou et surtout celui de Abdelaziz Belkhadem. Ce dernier n‘a pas abdiqué, semble-t-il et voudrait revenir à la tête du parti. Une personnalité qui jouit de la confiance d‘une large majorité des membres du comité central du FLN qui fera donc le consensus autour de sa personne. Pour ce faire, et maintenant que le calme est quelque peu revenu et que les esprits se sont apaisés, les différents protagonistes au sein du vieux parti mènent d‘intenses tractations en vue de trouver une solution. Ce nouvel état d‘esprit est illustré par le retour au siège du parti des plus farouches détracteurs de l‘ex-secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem . En effet, et maintenant que ce dernier n‘est plus ils ont pris leur quartier au siège national à Hydra. Ahmed Boumahdi, Madani Houd, deux membres du comité des cinq qui représente les contestataires du comité central, siègent désormais au siège du parti. Abderahmane Belayat, qui gère avec le bureau politique les affaires courantes du parti en attendant l‘élection d‘un nouveau secrétaire général, a octroyé un bureau au comité des cinq. Le bureau politique tiendra pour sa part une réunion demain. Après le décès de Mokhtar Filali, le bureau politique est actuellement constitué de 14 membres que sont Abdelaziz Ziari, Amar Tou, Alioui Mohamed, Tayeb Louh, Rachid Harraoubia, Abdelkader Zahali, Layachi Daadouaa, Abderrahmane Belayat, Madani Bradaï, Kassa Aïssi, Habiba Bahloul, Leïla Tayeb, Abdelhamid Si Affif et Mechebek Abdelkader. Les membres du bureau politique tenteront de fixer une date pour la tenue d‘une session extraordinaire qui aura pour principal point à l‘ordre du jour l‘élection d‘un nouveau secrétaire général. Le mouvement de redressement et d‘authenticité, qui été le premier à avoir ouvert un front contre Belkhadem, a tenu une réunion hier pour faire le bilan à la lumière des derniers développements. « Nous nous félicitons de la destitution du secrétaire général et nous félicitons les militants pour cette victoire » nous a indiqué hier Mohamed Seghir Kara a précisé que le Mouvement de redressement existera encore jusqu‘au retour du parti à ses militants. Pour Kara « il s‘agit maintenant de trouver une personnalité consensuelle ».Car, selon lui, « il faut préserver l‘unité des rangs. Maintenant il n‘y a plus d‘ailes au parti ». Kara, qui a indiqué que Abderrazak Bouhara est un militant connu de longue date et respecté, a toutefois souligné qu‘il est encore trop tôt pour dire que les membres du comité central ont trouvé un homme de consensus. Il faut dire que ça et là le nom de Abderrazak Bouhara est avancé et présenté comme une personnalité qu jouit de la confiance d‘une bonne partie des membres du comité central. D‘ailleurs, après l‘annonce des résultats du vote a travers lequel Belkhadem a été destitué Bouhara a été vite entourée par des membres du comité central qui lui ont levé les bras en signe de victoire. « C‘est un militant de longue date au sein du parti. Il a même participé au congrès de 1964 » dira un de ses partisans, Mohamed Boukhalfa, membre du comité central et qui siège avec lui au sénat. Boukhalfa, qui fait partie du tiers presidetiel au sénat au même titre que Bouhara, considère en outre qu‘il jouit de la confiance du président de la république, qui est aussi le président d‘honneur du FLN. Mohamed Boukhalfa a estimé, à cet effet, que le président de la République « a chargé Bouhara de le représenter à plusieurs reprises dans des pays étrangers lors de différentes célébrations ». Mais Bouhara n‘et pas seul dans cette course ouverte à la succession de Belkhadem. D‘autres noms de candidats sont aussi avancés, comme ceux de Abdelaziz Ziari, Amar Tou et surtout celui de Abdelaziz Belkhadem. Ce dernier n‘a pas abdiqué, semble-t-il et voudrait revenir à la tête du parti.