Dans son discours sur l'état de l'Union, Barack Obama s'est présenté comme le défenseur d'une classe moyenne frappée par les difficultés économiques malgré les profits des entreprises. Barack Obama a dévoilé dans son discours un ambitieux programme pour son second mandat à la Maison-Blanche en se présentant comme le défenseur d'une classe moyenne. Les Américains n'attendent pas du gouvernement qu'il résolve tous les problèmes "mais ils attendent de nous que nous placions l'intérêt du pays avant ceux des partis", a-t-il dit en allusion aux négociations à venir pour éviter d'importantes réductions automatiques de dépenses fédérales. "Ils attendent de nous que nous parvenions à des compromis raisonnables quand nous le pouvons". La plupart des propositions qu'il a exposées risquent, toutefois, de se heurter à une vive hostilité au sein de la Chambre des représentants, majoritairement républicaine. Il s'est, par exemple, prononcé en faveur d'un relèvement du salaire horaire minimum de 7,25 dollars à neuf dollars. Les républicains s'opposent en principe à toute mesure de ce type, qui, selon eux, incite les entreprises à licencier. Barack Obama propose "à peine plus que les mêmes politiques de relance qui ne sont pas parvenues à redresser notre économie et à redonner du travail aux Américains", a réagi John Boehner dans un communiqué diffusé par ses services, alors même qu'il était assis juste derrière le président américain.ll s'est aussi engagé à agir par décret pour lutter contre le réchauffement climatique si le Congrès ne prend aucune initiative en la matière. Obama a ainsi annoncé le rapatriement, d'ici début 2014, de 34.000 des 66.000 militaires américains toujours déployés en Afghanistan. "Cette réduction des effectifs va se poursuivre. Et d'ici la fin de l'année prochaine, notre guerre en Afghanistan sera terminée", a-t-il dit sous les applaudissements. Dans son discours sur l'état de l'Union, Barack Obama s'est présenté comme le défenseur d'une classe moyenne frappée par les difficultés économiques malgré les profits des entreprises. Barack Obama a dévoilé dans son discours un ambitieux programme pour son second mandat à la Maison-Blanche en se présentant comme le défenseur d'une classe moyenne. Les Américains n'attendent pas du gouvernement qu'il résolve tous les problèmes "mais ils attendent de nous que nous placions l'intérêt du pays avant ceux des partis", a-t-il dit en allusion aux négociations à venir pour éviter d'importantes réductions automatiques de dépenses fédérales. "Ils attendent de nous que nous parvenions à des compromis raisonnables quand nous le pouvons". La plupart des propositions qu'il a exposées risquent, toutefois, de se heurter à une vive hostilité au sein de la Chambre des représentants, majoritairement républicaine. Il s'est, par exemple, prononcé en faveur d'un relèvement du salaire horaire minimum de 7,25 dollars à neuf dollars. Les républicains s'opposent en principe à toute mesure de ce type, qui, selon eux, incite les entreprises à licencier. Barack Obama propose "à peine plus que les mêmes politiques de relance qui ne sont pas parvenues à redresser notre économie et à redonner du travail aux Américains", a réagi John Boehner dans un communiqué diffusé par ses services, alors même qu'il était assis juste derrière le président américain.ll s'est aussi engagé à agir par décret pour lutter contre le réchauffement climatique si le Congrès ne prend aucune initiative en la matière. Obama a ainsi annoncé le rapatriement, d'ici début 2014, de 34.000 des 66.000 militaires américains toujours déployés en Afghanistan. "Cette réduction des effectifs va se poursuivre. Et d'ici la fin de l'année prochaine, notre guerre en Afghanistan sera terminée", a-t-il dit sous les applaudissements.