Face à la poursuite des violences l'émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a suggéré qu'un dialogue entre l'opposition et une délégation "acceptable" du régime de Damas se tienne dans un siège de l'Onu. Face à la poursuite des violences l'émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a suggéré qu'un dialogue entre l'opposition et une délégation "acceptable" du régime de Damas se tienne dans un siège de l'Onu. Le médiateur international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a invité dimanche l'opposition et une délégation "acceptable" du régime de Damas à entamer un dialogue sous les auspices de l'Onu. Les derniers combats auraient permis au Hezbollah d'occuper six villages au prix de nombreuses victimes dans les deux camps. Samedi, deux roquettes tirées par les rebelles syriens s'étaient abattues dans le Hermel. Les habitants de la région affirment que l'artillerie du Hezbollah postée dans les régions montagneuses a pilonné les régions rebelles à l'intérieur de la Syrie pour soutenir les troupes au sol. C'est donc un véritable front actif qui est en train de s'installer aux confins du Liban. Le Hezbollah, bête noire d'Israël, est l'allié indéfectible de l'Iran et du régime syrien, qui l'a aidé militairement durant de nombreuses années.Un responsable au sein du Hezbollah a indiqué que trois Libanais chiites avaient été tués et 14 autres blessés dans des combats contre les rebelles en Syrie.Le responsables, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, n'a pas voulu préciser s'il s'agissait de membres du parti armé. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait affirmé en 2012 que des membres de son parti combattaient les rebelles syriens, mais à titre individuel. Selon le Conseil national syrien (CNS), des membres du Hezbollah ont lancé samedi "une attaque armée" sur trois villages de la région de Qousseir, proche de la frontière libanaise.Face à la poursuite des violences l'émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a suggéré qu'un dialogue entre l'opposition et une délégation "acceptable" du régime de Damas se tienne dans un siège de l'Onu.Il a estimé que l'offre de dialogue sous condition avec des représentants du régime lancée par le chef de l'opposition, Ahmed Moaz al-Khatib, "était toujours sur la table et le restera".Fin janvier, M. Khatib s'est dit ouvert "à des discussions directes avec des représentants du régime qui n'ont pas de sang sur les mains", au sujet d'un départ de M. Assad. Damas avait répondu être prêt au dialogue, mais sans "conditions préalables". Sur le plan diplomatique, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a parlé dimanche par téléphone avec son homologue russe Sergueï Lavrov. "Sur la Syrie, ils ont évoqué la nécessité que les Etats-Unis et la Russie usent de leur influence respective sur les parties pour promouvoir un processus de transition politique viable", a précisé dans un communiqué la porte-parole de la diplomatie américaine Victoria Nuland. Les deux pays se sont opposés sur la question du conflit syrien, la Russie usant de son influence pour défendre son allié Bachar al-Assad, dont Washington réclame le départ. Sur le terrain, les combats continuent et ont notamment touché Deir Ezzor dont la majorité des quartiers est contrôlée par les rebelles et qui sont la cible de bombardements intenses des forces du régime postées en surplomb afin de déloger les rebelles. Les rebelles, qui cherchent à conquérir les positions de l'armée de l'air autour d'Alep ont mené des offensives à proximité de l'aéroport d'Alep, de la base militaire de Nayrab, adjacente, et de la base aérienne militaire de Kwiyres. Le médiateur international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a invité dimanche l'opposition et une délégation "acceptable" du régime de Damas à entamer un dialogue sous les auspices de l'Onu. Les derniers combats auraient permis au Hezbollah d'occuper six villages au prix de nombreuses victimes dans les deux camps. Samedi, deux roquettes tirées par les rebelles syriens s'étaient abattues dans le Hermel. Les habitants de la région affirment que l'artillerie du Hezbollah postée dans les régions montagneuses a pilonné les régions rebelles à l'intérieur de la Syrie pour soutenir les troupes au sol. C'est donc un véritable front actif qui est en train de s'installer aux confins du Liban. Le Hezbollah, bête noire d'Israël, est l'allié indéfectible de l'Iran et du régime syrien, qui l'a aidé militairement durant de nombreuses années.Un responsable au sein du Hezbollah a indiqué que trois Libanais chiites avaient été tués et 14 autres blessés dans des combats contre les rebelles en Syrie.Le responsables, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, n'a pas voulu préciser s'il s'agissait de membres du parti armé. Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait affirmé en 2012 que des membres de son parti combattaient les rebelles syriens, mais à titre individuel. Selon le Conseil national syrien (CNS), des membres du Hezbollah ont lancé samedi "une attaque armée" sur trois villages de la région de Qousseir, proche de la frontière libanaise.Face à la poursuite des violences l'émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a suggéré qu'un dialogue entre l'opposition et une délégation "acceptable" du régime de Damas se tienne dans un siège de l'Onu.Il a estimé que l'offre de dialogue sous condition avec des représentants du régime lancée par le chef de l'opposition, Ahmed Moaz al-Khatib, "était toujours sur la table et le restera".Fin janvier, M. Khatib s'est dit ouvert "à des discussions directes avec des représentants du régime qui n'ont pas de sang sur les mains", au sujet d'un départ de M. Assad. Damas avait répondu être prêt au dialogue, mais sans "conditions préalables". Sur le plan diplomatique, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a parlé dimanche par téléphone avec son homologue russe Sergueï Lavrov. "Sur la Syrie, ils ont évoqué la nécessité que les Etats-Unis et la Russie usent de leur influence respective sur les parties pour promouvoir un processus de transition politique viable", a précisé dans un communiqué la porte-parole de la diplomatie américaine Victoria Nuland. Les deux pays se sont opposés sur la question du conflit syrien, la Russie usant de son influence pour défendre son allié Bachar al-Assad, dont Washington réclame le départ. Sur le terrain, les combats continuent et ont notamment touché Deir Ezzor dont la majorité des quartiers est contrôlée par les rebelles et qui sont la cible de bombardements intenses des forces du régime postées en surplomb afin de déloger les rebelles. Les rebelles, qui cherchent à conquérir les positions de l'armée de l'air autour d'Alep ont mené des offensives à proximité de l'aéroport d'Alep, de la base militaire de Nayrab, adjacente, et de la base aérienne militaire de Kwiyres.