L'initiative de Hamadi Jebali aura permis de faire passer la crise engendrée par l'assassinat de Chokri Belaïd, dont la famille est actuellement sous protection policière rapprochée... La Tunisie en proie à sa plus grave crise politique depuis l'assassinat du leader du Front populaire n'a plus le droit à l'erreur, et l'échec annoncé et confirmé de l'initiative de Hamadi Jebali de former un gouvernement de technocrates apolitiques ne laisse pas présager de jours meilleurs. Abdelwaheb Maâter, membre du CPR et ministre de l'emploi, a affirmé sur les ondes de Shems Fm que Hamadi Jebali a essayé d'incarner «le sauveur» de la nation et s'est ainsi empêtré en dépassant les institutions constitutionnelles et les partis politiques. Mohamed Brahmi, député à l'Assemblée nationale constituante et membre du mouvement Châab a déclaré que cet échec était attendu et qu'il fallait, désormais, s'atteler à un «programme de sauvetage national». Mahmoud Baroudi, député à l'ANC, a exhorté à reprendre les discussions afin de sortir le pays de la crise où il se trouve aujourd'hui. L'initiative de Hamadi Jebali aura, au moins, permis de «faire passer la crise» engendrée par l'assassinat de Chokri Belaïd, dont la famille est actuellement sous protection policière rapprochée après le saccage du monument érigé à la mémoire de feu Chokri Belaïd, à l'endroit même où il a été tué, il y a une dizaine de jours. En effet, selon plusieurs sources concordantes, le ministère aurait décidé de disposer une patrouille fixe au pied de l'immeuble où réside la famille du défunt, et une protection rapprochée à ses membres. C'est du moins ce qu'aurait déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur à quelques médias.. Aux dernières nouvelles, il semblerait que le destructeur de la statue mémorielle de Chokri Belaïd ait été appréhendé par les forces de la police. Il s'agirait d'un voisin que la statue aurait empêché de garer sa voiture. L'initiative de Hamadi Jebali aura permis de faire passer la crise engendrée par l'assassinat de Chokri Belaïd, dont la famille est actuellement sous protection policière rapprochée... La Tunisie en proie à sa plus grave crise politique depuis l'assassinat du leader du Front populaire n'a plus le droit à l'erreur, et l'échec annoncé et confirmé de l'initiative de Hamadi Jebali de former un gouvernement de technocrates apolitiques ne laisse pas présager de jours meilleurs. Abdelwaheb Maâter, membre du CPR et ministre de l'emploi, a affirmé sur les ondes de Shems Fm que Hamadi Jebali a essayé d'incarner «le sauveur» de la nation et s'est ainsi empêtré en dépassant les institutions constitutionnelles et les partis politiques. Mohamed Brahmi, député à l'Assemblée nationale constituante et membre du mouvement Châab a déclaré que cet échec était attendu et qu'il fallait, désormais, s'atteler à un «programme de sauvetage national». Mahmoud Baroudi, député à l'ANC, a exhorté à reprendre les discussions afin de sortir le pays de la crise où il se trouve aujourd'hui. L'initiative de Hamadi Jebali aura, au moins, permis de «faire passer la crise» engendrée par l'assassinat de Chokri Belaïd, dont la famille est actuellement sous protection policière rapprochée après le saccage du monument érigé à la mémoire de feu Chokri Belaïd, à l'endroit même où il a été tué, il y a une dizaine de jours. En effet, selon plusieurs sources concordantes, le ministère aurait décidé de disposer une patrouille fixe au pied de l'immeuble où réside la famille du défunt, et une protection rapprochée à ses membres. C'est du moins ce qu'aurait déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur à quelques médias.. Aux dernières nouvelles, il semblerait que le destructeur de la statue mémorielle de Chokri Belaïd ait été appréhendé par les forces de la police. Il s'agirait d'un voisin que la statue aurait empêché de garer sa voiture.