Dns un communiqué envoyé au journal Midi Libre, l'Association des Sahraouis Réfugiés en France (ASRF) a vivement condamné les peines « punitives» et sévères prononcées par la « justice » marocaine, en date du 16 février passé, contre le groupe composé de 25 militants sahraouis. En effet, selon le communiqué de l'ASRF, signé par le président de l'association, en l'occurrence Mohamed Lamine Hady, les peines prononcées contre des militants sahraouis reflètent l'atrocité avec laquelle les autorités marocaines traitent les Sahraouis. Des peines de prison à vie qui bafouent, une nouvelle fois, les droits de l'homme dans un pays qui se présente comme un modèle dans le cadre des droits de l'homme et des libertés individuelles. Cette nouvelle atrocité marocaine confirme, encore une fois, que les plus hauts responsables au Maroc monopole la justice devant le grand mutisme de la communauté internationale et autres organisations internationales des droits de l'homme. Ce n'est pas tout, le communiqué de l'ASRF, dont le Midi Libre détient une copie, a rendu publics les noms des militants sahraouis condamnés par le tribunal marocain. Il s'agit respectivement d'Ibrahim Ismaili, militant sahraoui des droits de l'homme qui a été condamné tout comme Sid Ahmed Lmadjid (militant sahraoui), Ahmed El Sbaâi (militant), Abdelahl El Khalfaoui (militant), Abdelah Ibah (militant), Mohamed Bani (citoyen sahraoui), Abdeldjalil Laâroussi (citoyen sahraoui), Mohamed El Bachir Boutenkiza (citoyen), à perpétuité. Quant à la militante Hosna Alia, cette dernière a été condamnée, à son tour, à perpétuité par contumace. Pour les autres, à savoir Naâma El Asfari (militante), Hassen El Dah (militant), El Cheikh Bourial (militant), Mohamed Bourial (citoyen sahraoui), ces derniers ont été condamnés à 30 ans de prison ferme par la « justice » marocaine, rapporte le communiqué de l'ASRF. Par ailleurs, l'Association des Sahraouis Réfugiés en France compte organiser un rassemblement devant l'ambassade marocaine à Paris pour protester contre les peines « politiques » prises par la « justice » marocaine contre des défenseurs de la cause sahraouie. Dns un communiqué envoyé au journal Midi Libre, l'Association des Sahraouis Réfugiés en France (ASRF) a vivement condamné les peines « punitives» et sévères prononcées par la « justice » marocaine, en date du 16 février passé, contre le groupe composé de 25 militants sahraouis. En effet, selon le communiqué de l'ASRF, signé par le président de l'association, en l'occurrence Mohamed Lamine Hady, les peines prononcées contre des militants sahraouis reflètent l'atrocité avec laquelle les autorités marocaines traitent les Sahraouis. Des peines de prison à vie qui bafouent, une nouvelle fois, les droits de l'homme dans un pays qui se présente comme un modèle dans le cadre des droits de l'homme et des libertés individuelles. Cette nouvelle atrocité marocaine confirme, encore une fois, que les plus hauts responsables au Maroc monopole la justice devant le grand mutisme de la communauté internationale et autres organisations internationales des droits de l'homme. Ce n'est pas tout, le communiqué de l'ASRF, dont le Midi Libre détient une copie, a rendu publics les noms des militants sahraouis condamnés par le tribunal marocain. Il s'agit respectivement d'Ibrahim Ismaili, militant sahraoui des droits de l'homme qui a été condamné tout comme Sid Ahmed Lmadjid (militant sahraoui), Ahmed El Sbaâi (militant), Abdelahl El Khalfaoui (militant), Abdelah Ibah (militant), Mohamed Bani (citoyen sahraoui), Abdeldjalil Laâroussi (citoyen sahraoui), Mohamed El Bachir Boutenkiza (citoyen), à perpétuité. Quant à la militante Hosna Alia, cette dernière a été condamnée, à son tour, à perpétuité par contumace. Pour les autres, à savoir Naâma El Asfari (militante), Hassen El Dah (militant), El Cheikh Bourial (militant), Mohamed Bourial (citoyen sahraoui), ces derniers ont été condamnés à 30 ans de prison ferme par la « justice » marocaine, rapporte le communiqué de l'ASRF. Par ailleurs, l'Association des Sahraouis Réfugiés en France compte organiser un rassemblement devant l'ambassade marocaine à Paris pour protester contre les peines « politiques » prises par la « justice » marocaine contre des défenseurs de la cause sahraouie.