Des dizaines de travailleurs des corps communs de l'éducation nationale ont observé, hier, un sit-in devant le siège de l'éducation à Boumerdès, pour exiger la prise en charge de leur plateforme de revendications. En signe de solidarité, tous les travailleurs de la direction ont observé un arrêt de travail durant la demijournée d'hier. Par cette action, les travailleurs ne comptent pas baisser les bras et expriment leur indignation et dénoncent l'indifférence de la tutelle quant à une réponse favorable à leurs doléances. Les manifestants campés devant l'édifice abritant ladite direction sous la pluie, demandent « l'intégration des corps communs et des ouvriers professionnels dans le secteur de l'éducation ». Ils réclament la « revalorisation des salaires de cette frange d'ouvriers dont le seuil n'atteint pas le Smig et travaillent des heures supplémentaires en raison du déficit que connaît ledit secteur en matière d'effectifs de ce genre ». Ils demandent par ailleurs l'augmentation de la prime du rendement de 30 à 40 %. Notons que plusieurs d'entre eux travaillent en tant que contractuels et que leur permanisation tarde à venir en dépit des actions de protestations observées par la passé. Les manifestants ne sont pas allés par trente six chemins pour réclamer la révision du statut particulier et le régime indemnitaire et ce, avec un effet rétroactif à partir de l'année 2008. Des dizaines de travailleurs des corps communs de l'éducation nationale ont observé, hier, un sit-in devant le siège de l'éducation à Boumerdès, pour exiger la prise en charge de leur plateforme de revendications. En signe de solidarité, tous les travailleurs de la direction ont observé un arrêt de travail durant la demijournée d'hier. Par cette action, les travailleurs ne comptent pas baisser les bras et expriment leur indignation et dénoncent l'indifférence de la tutelle quant à une réponse favorable à leurs doléances. Les manifestants campés devant l'édifice abritant ladite direction sous la pluie, demandent « l'intégration des corps communs et des ouvriers professionnels dans le secteur de l'éducation ». Ils réclament la « revalorisation des salaires de cette frange d'ouvriers dont le seuil n'atteint pas le Smig et travaillent des heures supplémentaires en raison du déficit que connaît ledit secteur en matière d'effectifs de ce genre ». Ils demandent par ailleurs l'augmentation de la prime du rendement de 30 à 40 %. Notons que plusieurs d'entre eux travaillent en tant que contractuels et que leur permanisation tarde à venir en dépit des actions de protestations observées par la passé. Les manifestants ne sont pas allés par trente six chemins pour réclamer la révision du statut particulier et le régime indemnitaire et ce, avec un effet rétroactif à partir de l'année 2008.