Une rencontre nationale regroupera, demain à Béjaïa, les corps communs et ouvriers professionnels du secteur de l'éducation affilié au Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE). Une rencontre nationale regroupera, demain à Béjaïa, les corps communs et ouvriers professionnels du secteur de l'éducation affilié au Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE). Cette coordination nationale, qui annonce un mouvement de grève de trois (03) jours, le 09 avril prochain, a précisé dans un communiqué rendu public qu' « il a été décidé à l'unanimité, également, de tenir un sit-in national le 10 avril et une rencontre nationale le 14 mars à Béjaïa ». La décision d'aller vers un débrayage durci a été prise, samedi dernier, à l'issue d'une rencontre avec le bureau du syndicat UGTA des corps communs, des ouvriers professionnels et des agents de sécurité de la wilaya de Béjaïa, a-t-on indiqué. Cette nouvelle montée au créneau de ces protestataires est en partie expliquée par le manque de réaction des autorités concernées, soutient-on. Le gouvernement, tiennent à souligner les syndicalistes, n'est pas aussi réactif qu'il devrait l'être, notamment pour accélérer le processus de l'amélioration des conditions de travail de ces corps de l'Education nationale. Ils dénoncent, par ailleurs, le mutisme du ministère de l'Education nationale qui n'a pas daigné donner une suite à leurs doléances. Les contestataires ont, rappelons-le, rejeté la mouture du ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid. Ils ont, de ce fait, élaboré une plateforme de revendications dans laquelle ils exigent l'intégration de ces fonctionnaires dans le secteur de l'Education, l'octroi de nouvelles primes dont la prime de risque, de permanence et de qualification en plus de la révision du régime indemnitaire avec une augmentation de la valeur de la productivité de l'ordre de 40 % avec effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008. En outre, ils réclament la régularisation des contractuels en poste et l'obtention du droit à la formation et au recyclage. Rappelons qu'en janvier dernier, le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), avait lancé un mouvement de grève qui n'a pas manqué de causer moult contraintes au secteur dans plusieurs établissements du territoire national. Le SNTE avait, alors, assuré que «cette action se renouvellera automatiquement chaque semaine jusqu'à la satisfaction des revendications». Le secteur de l'Education nationale enregistre, depuis le début de l'année, des mouvements de protestation et de débrayage qui ne sont pas du goût de tous, surtout des élèves et de leurs parents. Ces perturbations affectent, précisons-le, énormément un secteur déjà source de déboires depuis de longues années. Cette coordination nationale, qui annonce un mouvement de grève de trois (03) jours, le 09 avril prochain, a précisé dans un communiqué rendu public qu' « il a été décidé à l'unanimité, également, de tenir un sit-in national le 10 avril et une rencontre nationale le 14 mars à Béjaïa ». La décision d'aller vers un débrayage durci a été prise, samedi dernier, à l'issue d'une rencontre avec le bureau du syndicat UGTA des corps communs, des ouvriers professionnels et des agents de sécurité de la wilaya de Béjaïa, a-t-on indiqué. Cette nouvelle montée au créneau de ces protestataires est en partie expliquée par le manque de réaction des autorités concernées, soutient-on. Le gouvernement, tiennent à souligner les syndicalistes, n'est pas aussi réactif qu'il devrait l'être, notamment pour accélérer le processus de l'amélioration des conditions de travail de ces corps de l'Education nationale. Ils dénoncent, par ailleurs, le mutisme du ministère de l'Education nationale qui n'a pas daigné donner une suite à leurs doléances. Les contestataires ont, rappelons-le, rejeté la mouture du ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid. Ils ont, de ce fait, élaboré une plateforme de revendications dans laquelle ils exigent l'intégration de ces fonctionnaires dans le secteur de l'Education, l'octroi de nouvelles primes dont la prime de risque, de permanence et de qualification en plus de la révision du régime indemnitaire avec une augmentation de la valeur de la productivité de l'ordre de 40 % avec effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008. En outre, ils réclament la régularisation des contractuels en poste et l'obtention du droit à la formation et au recyclage. Rappelons qu'en janvier dernier, le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), avait lancé un mouvement de grève qui n'a pas manqué de causer moult contraintes au secteur dans plusieurs établissements du territoire national. Le SNTE avait, alors, assuré que «cette action se renouvellera automatiquement chaque semaine jusqu'à la satisfaction des revendications». Le secteur de l'Education nationale enregistre, depuis le début de l'année, des mouvements de protestation et de débrayage qui ne sont pas du goût de tous, surtout des élèves et de leurs parents. Ces perturbations affectent, précisons-le, énormément un secteur déjà source de déboires depuis de longues années.