Au moins 34 membres des forces du régime syrien ont été tués dimanche à l'intérieur d'une académie de police prise à l'aube par des rebelles, dans la province d'Alep dans le nord de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH)."Les rebelles ont pris de larges parties de l'école de police située dans la localité de Khan al-Assal lors d'affrontements violents qui avaient éclaté il y a huit jours", a précisé l'OSDH. Au moins 34 membres des forces du régime syrien ont été tués dimanche à l'intérieur d'une académie de police prise à l'aube par des rebelles, dans la province d'Alep dans le nord de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH)."Les rebelles ont pris de larges parties de l'école de police située dans la localité de Khan al-Assal lors d'affrontements violents qui avaient éclaté il y a huit jours", a précisé l'OSDH. Au moins 34 membres des forces du régime syrien ont été tués dimanche à l'intérieur d'une académie de police prise à l'aube par des rebelles, dans la province d'Alep dans le nord de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH)."Les rebelles ont pris de larges parties de l'école de police située dans la localité de Khan al-Assal lors d'affrontements violents qui avaient éclaté il y a huit jours", a précisé l'OSDH. L'ONG n'a pas fait état encore des pertes humaines dans les rangs des combattants rebelles qui avaient pris d'assaut samedi l'académie où les combats ont duré toute la nuit. Khan al-Assal est le dernier bastion du régime dans la région ouest de la province d'Alep. Plus au nord, des rebelles ont pris le contrôle d'une prison dans la province de Raqa, libérant "des centaines" de détenus, a affirmé l'OSDH, qui s'appuie sur un large réseau de militants et de médecins sur place. "L'armée s'est retirée de la prison centrale de Raqa après des affrontements qui ont duré plusieurs jours", a-t-elle précisé. Des combattants du Front jihadiste al-Nosra et d'autres groupes rebelles ont pris la prison tard dans la nuit de samedi, "et ont libéré des centaines de prisonniers", a précisé l'ONG basée en Grande-Bretagne. Certains autres détenus ont été transférés dans la ville voisine de Tal Abiad, où ils seront traduits devant un "tribunal islamique", a-t-elle ajouté. Samedi, au moins 156 personnes sont mortes dans les violences, selon un bilan de l'OSDH, alors que le conflit fait des dizaines de morts tous les jours dans le pays dévasté par près de deux ans de guerre. Située sur l'Euphrate, Raqa est une ville stratégique près de la frontière avec la Turquie, où des dizaines de soldats et rebelles ont été tués samedi dans de violents combats. Assad prêt à dialoguer avec l'opposition mais exclut de démissionner Le président syrien Bachar al-Assad s'est dit prêt à discuter avec l'opposition non-armée mais a exclu de démissionner, dans une interview au Sunday Times publiée dimanche, au moment où l'Onu se propose de "faciliter un dialogue" entre gouvernement et opposition. Au moins 34 membres des forces du régime syrien ont été tués dimanche à l'intérieur d'une académie de police prise à l'aube par des rebelles, dans la province d'Alep, dans le nord de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). "Les rebelles ont pris de larges parties de l'école de police située dans la localité de Khan al-Assal lors d'affrontements violents qui avaient éclaté il y a huit jours", a précisé l'OSDH. Khan al-Assal est le dernier bastion du régime dans la région ouest de la province d'Alep. "Nous sommes prêts à négocier avec tout le monde, y compris des militants qui déposent les armes", assure Bachar al-Assad lors de cette interview, enregistrée la semaine dernière à sa résidence à Damas. "Nous pouvons engager un dialogue avec l'opposition, mais nous ne pouvons pas engager de dialogue avec les terroristes". Fin février, lors d'une visite à Moscou, son ministre des Affaires étrangères Walid al-Mouallem s'était pour la première fois dit prêt au dialogue avec les rebelles armés pour mettre fin au conflit qui, selon l'Onu, a tué plus de 70.000 personnes en deux ans. Mais ces rebelles ont rejeté toute négociation avant le départ du chef de l'Etat. Une éventualité que le président syrien a une nouvelle fois fermement exclue. Au moins 34 membres des forces du régime syrien ont été tués dimanche à l'intérieur d'une académie de police prise à l'aube par des rebelles, dans la province d'Alep dans le nord de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH)."Les rebelles ont pris de larges parties de l'école de police située dans la localité de Khan al-Assal lors d'affrontements violents qui avaient éclaté il y a huit jours", a précisé l'OSDH. L'ONG n'a pas fait état encore des pertes humaines dans les rangs des combattants rebelles qui avaient pris d'assaut samedi l'académie où les combats ont duré toute la nuit. Khan al-Assal est le dernier bastion du régime dans la région ouest de la province d'Alep. Plus au nord, des rebelles ont pris le contrôle d'une prison dans la province de Raqa, libérant "des centaines" de détenus, a affirmé l'OSDH, qui s'appuie sur un large réseau de militants et de médecins sur place. "L'armée s'est retirée de la prison centrale de Raqa après des affrontements qui ont duré plusieurs jours", a-t-elle précisé. Des combattants du Front jihadiste al-Nosra et d'autres groupes rebelles ont pris la prison tard dans la nuit de samedi, "et ont libéré des centaines de prisonniers", a précisé l'ONG basée en Grande-Bretagne. Certains autres détenus ont été transférés dans la ville voisine de Tal Abiad, où ils seront traduits devant un "tribunal islamique", a-t-elle ajouté. Samedi, au moins 156 personnes sont mortes dans les violences, selon un bilan de l'OSDH, alors que le conflit fait des dizaines de morts tous les jours dans le pays dévasté par près de deux ans de guerre. Située sur l'Euphrate, Raqa est une ville stratégique près de la frontière avec la Turquie, où des dizaines de soldats et rebelles ont été tués samedi dans de violents combats. Assad prêt à dialoguer avec l'opposition mais exclut de démissionner Le président syrien Bachar al-Assad s'est dit prêt à discuter avec l'opposition non-armée mais a exclu de démissionner, dans une interview au Sunday Times publiée dimanche, au moment où l'Onu se propose de "faciliter un dialogue" entre gouvernement et opposition. Au moins 34 membres des forces du régime syrien ont été tués dimanche à l'intérieur d'une académie de police prise à l'aube par des rebelles, dans la province d'Alep, dans le nord de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). "Les rebelles ont pris de larges parties de l'école de police située dans la localité de Khan al-Assal lors d'affrontements violents qui avaient éclaté il y a huit jours", a précisé l'OSDH. Khan al-Assal est le dernier bastion du régime dans la région ouest de la province d'Alep. "Nous sommes prêts à négocier avec tout le monde, y compris des militants qui déposent les armes", assure Bachar al-Assad lors de cette interview, enregistrée la semaine dernière à sa résidence à Damas. "Nous pouvons engager un dialogue avec l'opposition, mais nous ne pouvons pas engager de dialogue avec les terroristes". Fin février, lors d'une visite à Moscou, son ministre des Affaires étrangères Walid al-Mouallem s'était pour la première fois dit prêt au dialogue avec les rebelles armés pour mettre fin au conflit qui, selon l'Onu, a tué plus de 70.000 personnes en deux ans. Mais ces rebelles ont rejeté toute négociation avant le départ du chef de l'Etat. Une éventualité que le président syrien a une nouvelle fois fermement exclue.