De plus en plus d'étrangers s'intéressent à l'Algérie pour y faire de l'argent en s'adonnant à la criminalité... De plus en plus d'étrangers s'intéressent à l'Algérie pour y faire de l'argent en s'adonnant à la criminalité... En 2012, 411 étrangers ont été appréhendés pour différentes affaires liées à la criminalité, selon les statistiques de la Gendarmerie nationale. Tous les moyens sont bons pour se faire de l'argent. Ces délits vont du trafic de drogue, en passant par la fausse monnaie et en arrivant à l'usage de faux et escroquerie. Les étrangers arrêtés en Algérie sont impliqués dans la criminalité organisée. Au nombre de 411, selon le bilan annuel de la Gendarmerie nationale, ces ressortissants étrangers ont fait de l'Algérie leur plaque tournante pour passer au crime. Leur but étant l'argent puis l'Europe. Une véritable passerelle pour l'argent sale. De l'argent sale utilisé par ces étrangers dans la location de luxueuses villas et appartements grand standing dans l'Algérois, mais aussi dans l'Oranais, voire dans des villes urbaines du pays. Puis, petit à petit, ils utilisent d'autres sommes d'argent pour les transférer vers des banques étrangèresavant de s'installer à l'étranger, surtout en Europe qui est la destination finale. Comment opèrent-ils ? C'est simple... Prenons, par exemple, la drogue. Cannabis, cocaïne ou encore l'héroïne ces drogues dures arrivent en petites quantités vers Alger après avoir franchi les frontières maliennes et marocaines. Une fois les drogues dures entre leurs mains, ces étrangers, arrêtés souvent en flagrant délit, vendent leurs poisons à des clients, souvent de jeunes richissimes. Sous forme d'injections, de capsules ou dans de petits sachets dissimulés dans des cartables ou cabas, les fournisseurs de drogue proposent, en toute quiétude, leurs drogues à des prix fous. Ce qui s'est passé dans la commune de Bouzareah est une preuve flagrante de cette commercialisation prohibée. Ici, en décembre 2012, un jeune couple algérois a été appréhendé, en flagrant délit, en possession de plusieurs seringues contenant de l'héroïne. Ils étaient des consommateurs attitrés et leur fournisseur n'est autre qu'un ressortissant malien lequel s'approvisionnait auprès de ses acolytes installés au Mali. Une véritable chaîne de passage. Le Mali est devenu un réservoir sans limite de drogue dure. De la drogue dure qui arrive tout droit d'Amérique Latine et qui parvient au Mali avant d'atterrir, en petites quantités, en Algérie. Une autre preuve de ce grand commerce qui prend de l'ampleur en Algérie. En novembre 2012, une jeune femme a été interpellée, en flagrant délit, en compagnie d'un Malien à bord d'un véhicule à Bordj El-Bahri en possession de 400 grammes de cocaïne. Le "butin" était destiné à la commercialisation dans des quartiers les plus huppés de l'Algérois. Encore une preuve solide de cette situation. En 2011, huit stewards de la compagnie nationale des transports aériens ont été interpellés dans le cadre de plusieurs affaires de trafic de drogue dure. Ces stewards ont été appréhendés en possession de plusieurs centaines d'héroïne au niveau de l'Aéroport international d'Alger. Ces derniers avaient des liens avec des réseaux maliens, spécialisés dans le trafic de l'héroïne et cocaïne C'est à partir de cette connexion qu'ils avaient pu avoir des centaines de kilos de l'héroïne, avant qu'ils ne soient arrêtés par la PAF. Comment les étrangers arnaquent les Algériens? En plus du trafic de drogue, de plus en plus "revendiqué" par les ressortissants étrangers en Algérie, les fausses coupures de banque de 1.000 et 2.000 DA et celles en devises sont écoulées, en masse, par ces derniers. Plus de 100 affaires de faux billets entraînant l'implication de plusieurs dizaines de ressortissants africains ont été traitées par les gendarmes en 2012. Ces derniers utilisent différentes techniques pour fabriquer de faux billets de banque. Récemment, les gendarmes de la brigade de Aïn Beida, à Oran, ont arrêté deux étrangers pour tentative d'escroquerie d'un citoyen résidant à la cité 5-Juillet, commune de Aïn Beïda, à Oran. En situation irrégulière, les deux étrangers étaient en possession de 45 millions de centimes sous forme de faux billets de banque de 1.000 et 2.000 DA, avec lesquels ils avaient l'intention d'acheter un véhicule. Fort heureusement, l'intervention des gendarmes a permis à la victime visée de sortir indemne d'une escroquerie qui aurait pu lui coûter son véhicule. Ce genre d'escroqueries visant les Algériens par certains étrangers est devenu monnaie courante en Algérie, de ce fait il est conseillé aux citoyens de bien se renseigner avant de répondre aux prétendues bonnes affaires. En 2012, 411 étrangers ont été appréhendés pour différentes affaires liées à la criminalité, selon les statistiques de la Gendarmerie nationale. Tous les moyens sont bons pour se faire de l'argent. Ces délits vont du trafic de drogue, en passant par la fausse monnaie et en arrivant à l'usage de faux et escroquerie. Les étrangers arrêtés en Algérie sont impliqués dans la criminalité organisée. Au nombre de 411, selon le bilan annuel de la Gendarmerie nationale, ces ressortissants étrangers ont fait de l'Algérie leur plaque tournante pour passer au crime. Leur but étant l'argent puis l'Europe. Une véritable passerelle pour l'argent sale. De l'argent sale utilisé par ces étrangers dans la location de luxueuses villas et appartements grand standing dans l'Algérois, mais aussi dans l'Oranais, voire dans des villes urbaines du pays. Puis, petit à petit, ils utilisent d'autres sommes d'argent pour les transférer vers des banques étrangèresavant de s'installer à l'étranger, surtout en Europe qui est la destination finale. Comment opèrent-ils ? C'est simple... Prenons, par exemple, la drogue. Cannabis, cocaïne ou encore l'héroïne ces drogues dures arrivent en petites quantités vers Alger après avoir franchi les frontières maliennes et marocaines. Une fois les drogues dures entre leurs mains, ces étrangers, arrêtés souvent en flagrant délit, vendent leurs poisons à des clients, souvent de jeunes richissimes. Sous forme d'injections, de capsules ou dans de petits sachets dissimulés dans des cartables ou cabas, les fournisseurs de drogue proposent, en toute quiétude, leurs drogues à des prix fous. Ce qui s'est passé dans la commune de Bouzareah est une preuve flagrante de cette commercialisation prohibée. Ici, en décembre 2012, un jeune couple algérois a été appréhendé, en flagrant délit, en possession de plusieurs seringues contenant de l'héroïne. Ils étaient des consommateurs attitrés et leur fournisseur n'est autre qu'un ressortissant malien lequel s'approvisionnait auprès de ses acolytes installés au Mali. Une véritable chaîne de passage. Le Mali est devenu un réservoir sans limite de drogue dure. De la drogue dure qui arrive tout droit d'Amérique Latine et qui parvient au Mali avant d'atterrir, en petites quantités, en Algérie. Une autre preuve de ce grand commerce qui prend de l'ampleur en Algérie. En novembre 2012, une jeune femme a été interpellée, en flagrant délit, en compagnie d'un Malien à bord d'un véhicule à Bordj El-Bahri en possession de 400 grammes de cocaïne. Le "butin" était destiné à la commercialisation dans des quartiers les plus huppés de l'Algérois. Encore une preuve solide de cette situation. En 2011, huit stewards de la compagnie nationale des transports aériens ont été interpellés dans le cadre de plusieurs affaires de trafic de drogue dure. Ces stewards ont été appréhendés en possession de plusieurs centaines d'héroïne au niveau de l'Aéroport international d'Alger. Ces derniers avaient des liens avec des réseaux maliens, spécialisés dans le trafic de l'héroïne et cocaïne C'est à partir de cette connexion qu'ils avaient pu avoir des centaines de kilos de l'héroïne, avant qu'ils ne soient arrêtés par la PAF. Comment les étrangers arnaquent les Algériens? En plus du trafic de drogue, de plus en plus "revendiqué" par les ressortissants étrangers en Algérie, les fausses coupures de banque de 1.000 et 2.000 DA et celles en devises sont écoulées, en masse, par ces derniers. Plus de 100 affaires de faux billets entraînant l'implication de plusieurs dizaines de ressortissants africains ont été traitées par les gendarmes en 2012. Ces derniers utilisent différentes techniques pour fabriquer de faux billets de banque. Récemment, les gendarmes de la brigade de Aïn Beida, à Oran, ont arrêté deux étrangers pour tentative d'escroquerie d'un citoyen résidant à la cité 5-Juillet, commune de Aïn Beïda, à Oran. En situation irrégulière, les deux étrangers étaient en possession de 45 millions de centimes sous forme de faux billets de banque de 1.000 et 2.000 DA, avec lesquels ils avaient l'intention d'acheter un véhicule. Fort heureusement, l'intervention des gendarmes a permis à la victime visée de sortir indemne d'une escroquerie qui aurait pu lui coûter son véhicule. Ce genre d'escroqueries visant les Algériens par certains étrangers est devenu monnaie courante en Algérie, de ce fait il est conseillé aux citoyens de bien se renseigner avant de répondre aux prétendues bonnes affaires.