500 ressortissants africains, accusés de trafic de faux billets, ont été arrêtés au cours des derniers18 mois, bilan conjoint Police- Gendarmerie. Les 500 mis en cause sont de différentes nationalités. Des Maliens surtout, mais également des Nigériens, Camerounais, Tchadiens, Sénégalais, Burkinabés et des Angolais, sont parmi les ressortissants interpellés pour trafic de faux billets. La filière africaine de fausse monnaie est en train de battre tous les records en Algérie. 500 ressortissants africains, accusés de trafic de faux billets, ont été arrêtés au cours des derniers18 mois, bilan conjoint Police- Gendarmerie. Les 500 mis en cause sont de différentes nationalités. Des Maliens surtout, mais également des Nigériens, Camerounais, Tchadiens, Sénégalais, Burkinabés et des Angolais, sont parmi les ressortissants interpellés pour trafic de faux billets. La filière africaine de fausse monnaie est en train de battre tous les records en Algérie. En effet, uniquement durant l'année 2011, ce sont pas moins de 278 ressortissants africains qui ont été interpellés par des enquêteurs des deux corps, Police et Gendarmerie, si on comptabilise les deux bilans déjà communiqués par les services de sécurité. Les chiffres indiquent que 200 Maliens ont été appréhendés, en flagrant délit, en possession de faux billets de banque de 500 et de 1.000 DA. On peut citer par exemple la fameuse affaire élucidée par les gendarmes de Mascara au début de l'année en cours. Ici, quatre personnes, impliquées dans une grosse affaire de faux billets ont été interpellées suite à une souricière tendue par les gendarmes. Le butin est important, car les gendarmes avaient réussi à saisir plus de 200 millions de centimes en faux billets et arrêter, surtout, trois Maliens et un Algérien. Cet Algérien qui n'est autre que l'hébergeur des Maliens. Il leur assurait l'hébergement en plus de ramener les clients intéressés par l'achat de faux billets. Certes, le trafic des fausses monnaies, locale et étrangères, est en train de prendre des proportions alarmantes, toutefois, la lutte, elle, est en train aussi, de s'amplifier. Avant-hier seulement, dans la wilaya de Tlemcen, ici, faisant suite à une plainte déposée par un citoyen, demeurant dans cette ville, à l'encontre de deux ressortissants africains en situation régulière, pour tentative d'escroquerie, les gendarmes de la brigade de Hennaya ont interpellé les mis en cause et récupéré un tube renfermant des produits chimiques servant à la contrefaçon de billets de banque. Durant la même journée, cette fois à Jijel, à l'est du pays. Agissant sur renseignements, les gendarmes de la brigade de Texenna ont interpellé un ressortissant malien, en situation régulière, en possession de deux tubes renfermant des produits chimiques servant à la contrefaçon des billets de banque et la somme de 6500 DA et 50 euros. Suite à cette affaire, les gendarmes de la brigade de Texenna ont ouvert une enquête. Le faux passeport, c'est aussi la spécialité des ressortissants africains 25.800 ressortissants africains ont été refoulés hors des frontières, car ils avaient utilisé de faux passeports, dont beaucoup sont d'origine malienne, pour s'installer au pays. Le passeport malien contrefait est de nos jours le «sésame» pour des milliers de ressortissants africains qui veulent entrer en Algérie, selon une source proche de la PAF. En 2011, 6.800 ressortissants maliens ont été refoulés hors des frontières du pays pour avoir utilisé de faux passeports maliens pour s'installer au pays. Les tentatives se sont poursuivies durant les premiers mois de l'année en cours. Toujours selon la même source, 2.500 Africains de différentes nationalités ont été arrêtés et refoulés vers leurs pays d'origine, et ce, pour la même raison. Désormais, le passeport malien ouvre les portes de l'eldorado. Ce constat est également établi par les étudiants africains vivant en Algérie. Plusieurs personnes se servent de leur statut pour se livrer à des activités illicites sur le territoire national. Les étudiants maliens souffrent psychologiquement de savoir que des personnes, qui ne sont pas maliens ou d'origine malienne, détiennent des passeports maliens et l'utilisent à des fins délictueuses. C'est le cas d'un étudiant malien, inscrit en deuxième année universitaire, spécialité journalisme, à la faculté de Ben Aknoun. G. Omar une victime parmi des milliers d'autres. Un ressortissant malien, arrêté il y a plus de deux mois par la police des frontières, a utilisé son statut pour s'installer à Alger et pouvoir rejoindre l'Europe. Le pire est que cet escroc avait l'intention de se livrer à des activités illicites en utilisant le nom de cet étudiant. La vigilance des policiers de la PAF a pu ainsi éviter des ennuis à G. Omar. L'arnaqueur a été placé en garde à vue avant d'être refoulé vers le Mali, son pays d'origine. Le recours à cette nouvelle arnaque par des milliers de ressortissants africains s'est amplifié ces deux dernières années. C'est dans le cadre de l'accord bilatéral signé entre le Mali et l'Algérie que de nombreux étudiants maliens viennent étudier en Algérie. D'ailleurs, les étudiants maliens et d'autres nationalités déclarent ne pas avoir d'inquiétudes dans le domaine des études ni même en ce qui concerne l'argent. Par contre, ils sont soucieux d'une situation dont ils ignorent la cause. Il s'agit de la détention de faux passeports maliens par d'autres Africains qui ne peuvent être, à leurs yeux, des Maliens. La plupart de ces individus ne sont pas étudiants et se livrent à des activités illicites. Il s'agit souvent de jeunes Africains âgés entre 18 et 28 ans. Il est urgent que les autorités algériennes contrôlent l'identité des personnes qui passent nos frontières, et que les autorités maliennes contrôlent sévèrement l'octroi du passeport malien aux demandeurs. Le Mali à, faut-il le souligner, faciliter l'émigration des Maliens en Algérie. Beaucoup d'aventuriers de diverses nationalités parviennent facilement à avoir la nationalité malienne et se livrent à des activités illicites, telles que la fabrication de faux billets et le détournement de fonds dans notre pays. En effet, uniquement durant l'année 2011, ce sont pas moins de 278 ressortissants africains qui ont été interpellés par des enquêteurs des deux corps, Police et Gendarmerie, si on comptabilise les deux bilans déjà communiqués par les services de sécurité. Les chiffres indiquent que 200 Maliens ont été appréhendés, en flagrant délit, en possession de faux billets de banque de 500 et de 1.000 DA. On peut citer par exemple la fameuse affaire élucidée par les gendarmes de Mascara au début de l'année en cours. Ici, quatre personnes, impliquées dans une grosse affaire de faux billets ont été interpellées suite à une souricière tendue par les gendarmes. Le butin est important, car les gendarmes avaient réussi à saisir plus de 200 millions de centimes en faux billets et arrêter, surtout, trois Maliens et un Algérien. Cet Algérien qui n'est autre que l'hébergeur des Maliens. Il leur assurait l'hébergement en plus de ramener les clients intéressés par l'achat de faux billets. Certes, le trafic des fausses monnaies, locale et étrangères, est en train de prendre des proportions alarmantes, toutefois, la lutte, elle, est en train aussi, de s'amplifier. Avant-hier seulement, dans la wilaya de Tlemcen, ici, faisant suite à une plainte déposée par un citoyen, demeurant dans cette ville, à l'encontre de deux ressortissants africains en situation régulière, pour tentative d'escroquerie, les gendarmes de la brigade de Hennaya ont interpellé les mis en cause et récupéré un tube renfermant des produits chimiques servant à la contrefaçon de billets de banque. Durant la même journée, cette fois à Jijel, à l'est du pays. Agissant sur renseignements, les gendarmes de la brigade de Texenna ont interpellé un ressortissant malien, en situation régulière, en possession de deux tubes renfermant des produits chimiques servant à la contrefaçon des billets de banque et la somme de 6500 DA et 50 euros. Suite à cette affaire, les gendarmes de la brigade de Texenna ont ouvert une enquête. Le faux passeport, c'est aussi la spécialité des ressortissants africains 25.800 ressortissants africains ont été refoulés hors des frontières, car ils avaient utilisé de faux passeports, dont beaucoup sont d'origine malienne, pour s'installer au pays. Le passeport malien contrefait est de nos jours le «sésame» pour des milliers de ressortissants africains qui veulent entrer en Algérie, selon une source proche de la PAF. En 2011, 6.800 ressortissants maliens ont été refoulés hors des frontières du pays pour avoir utilisé de faux passeports maliens pour s'installer au pays. Les tentatives se sont poursuivies durant les premiers mois de l'année en cours. Toujours selon la même source, 2.500 Africains de différentes nationalités ont été arrêtés et refoulés vers leurs pays d'origine, et ce, pour la même raison. Désormais, le passeport malien ouvre les portes de l'eldorado. Ce constat est également établi par les étudiants africains vivant en Algérie. Plusieurs personnes se servent de leur statut pour se livrer à des activités illicites sur le territoire national. Les étudiants maliens souffrent psychologiquement de savoir que des personnes, qui ne sont pas maliens ou d'origine malienne, détiennent des passeports maliens et l'utilisent à des fins délictueuses. C'est le cas d'un étudiant malien, inscrit en deuxième année universitaire, spécialité journalisme, à la faculté de Ben Aknoun. G. Omar une victime parmi des milliers d'autres. Un ressortissant malien, arrêté il y a plus de deux mois par la police des frontières, a utilisé son statut pour s'installer à Alger et pouvoir rejoindre l'Europe. Le pire est que cet escroc avait l'intention de se livrer à des activités illicites en utilisant le nom de cet étudiant. La vigilance des policiers de la PAF a pu ainsi éviter des ennuis à G. Omar. L'arnaqueur a été placé en garde à vue avant d'être refoulé vers le Mali, son pays d'origine. Le recours à cette nouvelle arnaque par des milliers de ressortissants africains s'est amplifié ces deux dernières années. C'est dans le cadre de l'accord bilatéral signé entre le Mali et l'Algérie que de nombreux étudiants maliens viennent étudier en Algérie. D'ailleurs, les étudiants maliens et d'autres nationalités déclarent ne pas avoir d'inquiétudes dans le domaine des études ni même en ce qui concerne l'argent. Par contre, ils sont soucieux d'une situation dont ils ignorent la cause. Il s'agit de la détention de faux passeports maliens par d'autres Africains qui ne peuvent être, à leurs yeux, des Maliens. La plupart de ces individus ne sont pas étudiants et se livrent à des activités illicites. Il s'agit souvent de jeunes Africains âgés entre 18 et 28 ans. Il est urgent que les autorités algériennes contrôlent l'identité des personnes qui passent nos frontières, et que les autorités maliennes contrôlent sévèrement l'octroi du passeport malien aux demandeurs. Le Mali à, faut-il le souligner, faciliter l'émigration des Maliens en Algérie. Beaucoup d'aventuriers de diverses nationalités parviennent facilement à avoir la nationalité malienne et se livrent à des activités illicites, telles que la fabrication de faux billets et le détournement de fonds dans notre pays.