L'Etat islamique en Irak (ISI), branche d'Al-Qaïda dans le pays, a revendiqué l'embuscade ayant coûté la vie à 48 soldats syriens et neuf gardes irakiens dans la province irakienne d'Al-Anbar la semaine dernière, selon un communiqué publié sur des sites djihadistes lundi. L'Etat islamique en Irak (ISI), branche d'Al-Qaïda dans le pays, a revendiqué l'embuscade ayant coûté la vie à 48 soldats syriens et neuf gardes irakiens dans la province irakienne d'Al-Anbar la semaine dernière, selon un communiqué publié sur des sites djihadistes lundi. "Dans le désert de la province d'Anbar, des équipes armées ont réussi à décimer un convoi de l'armée safavide et ses véhicules" qui transportaient des soldats syriens et des chabihas (miliciens pro-régime), indique la branche du réseau extrémiste dans ce texte. Par safavide, l'ISI désigne les organes étatiques irakiens, et par extension le gouvernement dominé par les chiites de Nouri Al-Maliki, qu'elle considère comme inféodés à l'Iran. L'embuscade avait été tendue en plein désert dans cette province de l'ouest de l'Irak, à majorité sunnite, le 4 mars dernier. Les victimes, des soldats blessés, avaient franchi la frontière au point de passage de Rabiyah, au nord de l'Irak, pour fuir les combats très violents qui se déroulaient du côté syrien. Les militaires syriens avaient été transférés par les autorités irakiennes de la province de Ninive vers Baghdad et retournaient vers la frontière quand l'attaque a eu lieu. Dans la foulée, le ministère de la défense irakien avait accusé un "groupe qui s'est infiltré en Irak depuis la Syrie" d'être derrière l'attaque. Des corps à Alep En Syrie même, 20 corps au moins de jeunes gens tués par balle par les forces de sécurité syriennes ont été retrouvés dimanche dans un petit cours d'eau traversant la ville d'Alep, rapportent des défenseurs des opposants au président Bachar Al-Assad. Fin janvier, 65 corps avaient été découverts dans ce cours d'eau, baptisé par les insurgés "la rivière des martyrs" et qui charie chaque jour plusieurs cadavres. La plupart des corps retrouvés jusqu'ici dans la rivière Queiq flottaient en amont du faubourg de Boustan Al-Qasr, aux mains des rebelles, après avoir été jetés d'un quartier du centre de la capitale économique contrôlé par les forces de Bachar Al-Assad et abritant plusieurs complexes des forces de sécurité, ont précisé les opposants alépins. "Dans le désert de la province d'Anbar, des équipes armées ont réussi à décimer un convoi de l'armée safavide et ses véhicules" qui transportaient des soldats syriens et des chabihas (miliciens pro-régime), indique la branche du réseau extrémiste dans ce texte. Par safavide, l'ISI désigne les organes étatiques irakiens, et par extension le gouvernement dominé par les chiites de Nouri Al-Maliki, qu'elle considère comme inféodés à l'Iran. L'embuscade avait été tendue en plein désert dans cette province de l'ouest de l'Irak, à majorité sunnite, le 4 mars dernier. Les victimes, des soldats blessés, avaient franchi la frontière au point de passage de Rabiyah, au nord de l'Irak, pour fuir les combats très violents qui se déroulaient du côté syrien. Les militaires syriens avaient été transférés par les autorités irakiennes de la province de Ninive vers Baghdad et retournaient vers la frontière quand l'attaque a eu lieu. Dans la foulée, le ministère de la défense irakien avait accusé un "groupe qui s'est infiltré en Irak depuis la Syrie" d'être derrière l'attaque. Des corps à Alep En Syrie même, 20 corps au moins de jeunes gens tués par balle par les forces de sécurité syriennes ont été retrouvés dimanche dans un petit cours d'eau traversant la ville d'Alep, rapportent des défenseurs des opposants au président Bachar Al-Assad. Fin janvier, 65 corps avaient été découverts dans ce cours d'eau, baptisé par les insurgés "la rivière des martyrs" et qui charie chaque jour plusieurs cadavres. La plupart des corps retrouvés jusqu'ici dans la rivière Queiq flottaient en amont du faubourg de Boustan Al-Qasr, aux mains des rebelles, après avoir été jetés d'un quartier du centre de la capitale économique contrôlé par les forces de Bachar Al-Assad et abritant plusieurs complexes des forces de sécurité, ont précisé les opposants alépins.