Ils sont âgés de 38 et 28 ans. Les deux auteurs présumés du meurtre de Haroun et Ibrahim ont été arrêtés, mardi. Les deux garçons sont morts par étranglement. Les criminels ont agi de manière «isolée» et l'acte criminel ne serait pas «lié au crime organisé». Ils sont âgés de 38 et 28 ans. Les deux auteurs présumés du meurtre de Haroun et Ibrahim ont été arrêtés, mardi. Les deux garçons sont morts par étranglement. Les criminels ont agi de manière «isolée» et l'acte criminel ne serait pas «lié au crime organisé». La ville de Constantine, particulièrement les habitants de la nouvelle ville Ali-Mendjeli se sont réveillés, hier, groggy et abasourdis. Stupéfaction et sentiment de révolte des habitants de cette agglomération dès l'annonce de la découverte des corps des deux enfants, Boudaira Haroun Zaki (9 ans), et Hachiche Ibrahim (10 ans). L'espoir, le mince espoir, aussi ténu soit-il, de retrouver Brahim, 9 ans et Haroun, 10 ans s'est envolé hier après que la nouvelle macabre soit tombée en début d'après-midi. C'est la consternation et l'effroi parmi les habitants du voisinage Les deux enfants sont morts par «étranglement» et leurs corps n'ont pas subi de sévices. Les auteurs, âgés de 21 et de 38 ans, ont été arrêtés peu de temps après leur forfait et ils ont avoué être les auteurs du double crime. C'est ce qu'a annoncé, hier, au cours d'une conférence de presse le procureur général près de la cour de Constantine, Mohamed Abdelli, qui précise que les deux individus ont agi de manière «isolée» et que l'acte criminel pour lequel ils sont accusés n'est pas «lié au crime organisé». Des précisions utiles en raison de la propagation des rumeurs sur l'état dans lequel ont été découverts leurs corps. Certains propos des habitants de la nouvelle ville de Ali-Mendjeli avançaient que les jeunes Haroun-Zakaria Boudaira et Brahim Hachiche auraient été mutilés. Ce que réfute le chargé de communication du CHU Benbadis, Aziz Kaâbouche, qui a tenu à démentir toutes les informations ayant circulé hier sur la mutilation des deux corps. «Je tiens à rassurer toute la population de Constantine que les corps des deux enfants n'ont subi aucune mutilation selon les rapports des médecins légistes qui ont procédé à l'autopsie», a-t-il déclaré hier matin, sur les ondes de la radio locale, précisant que les deux enfants sont morts par strangulation. De folles rumeurs ont circulé dans l'après-midi d'hier, juste après la découverte des deux corps des deux enfants, portés disparus depuis samedi dernier, dans un chantier à l'unité de voisinage n°17 de la nouvelle ville Ali Mendjeli, située à 25 km de Constantine. Des choses horribles et monstrueuses ont été rapportées par les gens du voisinage. Ils ont témoigné devant des journalistes avoir vu des corps découpés et vidés de leurs organes. Des corps mis dans des sachets en plastique renfermant des cadavres dépecés. Il n'en fallait pas plus pour qu'un climat de psychose s'abatte sur la ville et alimente une tension qui était latente. Le sentiment de révolte, nourri par l'acte inqualifiable s'est vite transformé en un courroux contre les structures de police et certains bâtiments administratifs conduisant les services de maintien de l'ordre à intervenir pour les disperser les jeunes gens très remontés contre les services de sécurité qui, selon eux, ne font pas l'effort nécessaire pour la quiétude des citoyens. Pour autant, le travail des enquêteurs ne vient que de commencer. Les «premières conclusions», ont été livrées par le procureur général de la cour de Constantine. Une «enquête scientifique minutieuse» ayant été déclenchée par les services compétents pour déterminer avec exactitude le mobile de ce crime et faire toute la lumière sur cette affaire, a précisé le magistrat. A en croire certaines sources, ce sont des voisins qui ont donné l'alerte, après avoir aperçu un homme jeter ce qui ressemblait de loin à un grand sac de couleur noire dans un lieu désert, sans pour autant vouloir croire une seule seconde qu'il pouvait s'agir de l'un des ravisseurs qui venait de se débarrasser des corps des enfants. Les corps des deux enfants ont été retrouvés à deux heures d'intervalle dans deux endroits différents, sur les lieux. Brahim a été retrouvé dans un cabas noir, vers 14 heures, alors que Haroun, lui, a été découvert enveloppé dans une couette à l'intérieur d'un sac en plastique, au milieu de gravats, vers 16 heures. Un témoin raconte avoir « vu de loin un homme qui trimbalait un cabas de couleur noire et j'ai vite déduit qu'il s'agissait de l'un des ravisseurs, puisqu'il a pris la fuite quand il m'a vu m'approcher de lui. J'ai couru après lui, mais je n'ai pas pu le rattraper, il est monté dans une voiture où son complice l'attendait ». Les deux présumés auteurs du double meurtre sont des repris de justice notoires. Les deux jeunes garçons ont été violentés sexuellement et ensuite étranglés dans un appartement situé dans la cité Ali Mendjeli, indiquent certaines sources. Mardi soir, le procureur général près la cour de Constantine, , a promis les peines les plus sévères contre les auteurs de l'assassinat des deux enfants, après avoir présenté ses condoléances aux familles des victimes. Ce « crime odieux », qui a suscité l'émoi parmi les habitants de la région et à travers le pays, « sera sanctionné par les peines les plus sévères », a-t-il dit dans une déclaration faite à l'ENTV. La ville de Constantine, particulièrement les habitants de la nouvelle ville Ali-Mendjeli se sont réveillés, hier, groggy et abasourdis. Stupéfaction et sentiment de révolte des habitants de cette agglomération dès l'annonce de la découverte des corps des deux enfants, Boudaira Haroun Zaki (9 ans), et Hachiche Ibrahim (10 ans). L'espoir, le mince espoir, aussi ténu soit-il, de retrouver Brahim, 9 ans et Haroun, 10 ans s'est envolé hier après que la nouvelle macabre soit tombée en début d'après-midi. C'est la consternation et l'effroi parmi les habitants du voisinage Les deux enfants sont morts par «étranglement» et leurs corps n'ont pas subi de sévices. Les auteurs, âgés de 21 et de 38 ans, ont été arrêtés peu de temps après leur forfait et ils ont avoué être les auteurs du double crime. C'est ce qu'a annoncé, hier, au cours d'une conférence de presse le procureur général près de la cour de Constantine, Mohamed Abdelli, qui précise que les deux individus ont agi de manière «isolée» et que l'acte criminel pour lequel ils sont accusés n'est pas «lié au crime organisé». Des précisions utiles en raison de la propagation des rumeurs sur l'état dans lequel ont été découverts leurs corps. Certains propos des habitants de la nouvelle ville de Ali-Mendjeli avançaient que les jeunes Haroun-Zakaria Boudaira et Brahim Hachiche auraient été mutilés. Ce que réfute le chargé de communication du CHU Benbadis, Aziz Kaâbouche, qui a tenu à démentir toutes les informations ayant circulé hier sur la mutilation des deux corps. «Je tiens à rassurer toute la population de Constantine que les corps des deux enfants n'ont subi aucune mutilation selon les rapports des médecins légistes qui ont procédé à l'autopsie», a-t-il déclaré hier matin, sur les ondes de la radio locale, précisant que les deux enfants sont morts par strangulation. De folles rumeurs ont circulé dans l'après-midi d'hier, juste après la découverte des deux corps des deux enfants, portés disparus depuis samedi dernier, dans un chantier à l'unité de voisinage n°17 de la nouvelle ville Ali Mendjeli, située à 25 km de Constantine. Des choses horribles et monstrueuses ont été rapportées par les gens du voisinage. Ils ont témoigné devant des journalistes avoir vu des corps découpés et vidés de leurs organes. Des corps mis dans des sachets en plastique renfermant des cadavres dépecés. Il n'en fallait pas plus pour qu'un climat de psychose s'abatte sur la ville et alimente une tension qui était latente. Le sentiment de révolte, nourri par l'acte inqualifiable s'est vite transformé en un courroux contre les structures de police et certains bâtiments administratifs conduisant les services de maintien de l'ordre à intervenir pour les disperser les jeunes gens très remontés contre les services de sécurité qui, selon eux, ne font pas l'effort nécessaire pour la quiétude des citoyens. Pour autant, le travail des enquêteurs ne vient que de commencer. Les «premières conclusions», ont été livrées par le procureur général de la cour de Constantine. Une «enquête scientifique minutieuse» ayant été déclenchée par les services compétents pour déterminer avec exactitude le mobile de ce crime et faire toute la lumière sur cette affaire, a précisé le magistrat. A en croire certaines sources, ce sont des voisins qui ont donné l'alerte, après avoir aperçu un homme jeter ce qui ressemblait de loin à un grand sac de couleur noire dans un lieu désert, sans pour autant vouloir croire une seule seconde qu'il pouvait s'agir de l'un des ravisseurs qui venait de se débarrasser des corps des enfants. Les corps des deux enfants ont été retrouvés à deux heures d'intervalle dans deux endroits différents, sur les lieux. Brahim a été retrouvé dans un cabas noir, vers 14 heures, alors que Haroun, lui, a été découvert enveloppé dans une couette à l'intérieur d'un sac en plastique, au milieu de gravats, vers 16 heures. Un témoin raconte avoir « vu de loin un homme qui trimbalait un cabas de couleur noire et j'ai vite déduit qu'il s'agissait de l'un des ravisseurs, puisqu'il a pris la fuite quand il m'a vu m'approcher de lui. J'ai couru après lui, mais je n'ai pas pu le rattraper, il est monté dans une voiture où son complice l'attendait ». Les deux présumés auteurs du double meurtre sont des repris de justice notoires. Les deux jeunes garçons ont été violentés sexuellement et ensuite étranglés dans un appartement situé dans la cité Ali Mendjeli, indiquent certaines sources. Mardi soir, le procureur général près la cour de Constantine, , a promis les peines les plus sévères contre les auteurs de l'assassinat des deux enfants, après avoir présenté ses condoléances aux familles des victimes. Ce « crime odieux », qui a suscité l'émoi parmi les habitants de la région et à travers le pays, « sera sanctionné par les peines les plus sévères », a-t-il dit dans une déclaration faite à l'ENTV.