Les prix du blé et du maïs restaient relativement stables vendredi en milieu d'après-midi sur le marché à terme européen, pénalisé par le recul de la demande. "Les prix du blé restent fermes, mais la baisse des primes favorisée par un recul de la demande favorise leur relative stabilité", a expliqué un courtier parisien. Les prix du blé évoluaient dans une fourchette étroite, l'échéance rapprochée de mai s'effritant de 0,50 euro à 241 euros la tonne, tandis que celle de novembre gagnait à la marge 0,25 euro à 213 euros la tonne. Le volume d'affaires était relativement étoffé, puisque près de 9.500 lots avaient été échangés, un lot équivalant à 50 kilos de marchandise. Sur le marché du maïs, les cours reculaient de 0,50 euro sur les contrats rapprochés de juin et d'août, la première échéance cotant 230 euros la tonne pour un volume d'affaires qui n'excédait pas 1.000 lots. Outre-Atlantique, le prix du blé reculait à la Bourse de Chicago, dans l'attente de précipitations aux Etats-Unis, ce qui devrait limiter les inquiétudes sur la qualité des cultures. Pourtant, ces pluies font peser des craintes sur les semis de maïs dans le sud du pays. Sur la scène internationale, il faut noter l'achat par l'Iran de 120.000 tonnes de blé australien et allemand et celui du Japon pour 133.000 tonnes de blé américain, tandis que le Maroc est à la recherche de 160.000 tonnes de blé dur.En Europe, les exportations restent sur de hauts niveaux, puisque Bruxelles a autorisé la semaine passée l'exportation de 538.000 tonnes de blé, soit près de 14,7 millions de tonnes (Mt) exportées depuis le début de la campagne contre 10,3 Mt, l'an passé à la même époque. Les prix du blé et du maïs restaient relativement stables vendredi en milieu d'après-midi sur le marché à terme européen, pénalisé par le recul de la demande. "Les prix du blé restent fermes, mais la baisse des primes favorisée par un recul de la demande favorise leur relative stabilité", a expliqué un courtier parisien. Les prix du blé évoluaient dans une fourchette étroite, l'échéance rapprochée de mai s'effritant de 0,50 euro à 241 euros la tonne, tandis que celle de novembre gagnait à la marge 0,25 euro à 213 euros la tonne. Le volume d'affaires était relativement étoffé, puisque près de 9.500 lots avaient été échangés, un lot équivalant à 50 kilos de marchandise. Sur le marché du maïs, les cours reculaient de 0,50 euro sur les contrats rapprochés de juin et d'août, la première échéance cotant 230 euros la tonne pour un volume d'affaires qui n'excédait pas 1.000 lots. Outre-Atlantique, le prix du blé reculait à la Bourse de Chicago, dans l'attente de précipitations aux Etats-Unis, ce qui devrait limiter les inquiétudes sur la qualité des cultures. Pourtant, ces pluies font peser des craintes sur les semis de maïs dans le sud du pays. Sur la scène internationale, il faut noter l'achat par l'Iran de 120.000 tonnes de blé australien et allemand et celui du Japon pour 133.000 tonnes de blé américain, tandis que le Maroc est à la recherche de 160.000 tonnes de blé dur.En Europe, les exportations restent sur de hauts niveaux, puisque Bruxelles a autorisé la semaine passée l'exportation de 538.000 tonnes de blé, soit près de 14,7 millions de tonnes (Mt) exportées depuis le début de la campagne contre 10,3 Mt, l'an passé à la même époque.