« Nous construisons des usines en Algérie, en Tunisie et en Libye notamment en terre cuite pour les briqueteries et les tuileries. Nous vendons donc des usines clefs en main pour nos clients. En fait, nous avons bâti des usines en Algérie, notamment à Touggourt, Adrar, Biskra, Tébessa, Oran et Annaba » a affirmé hier, Michel Bernard, ingénieur de CLEIA, entreprise française spécialisée dans l'engineering, l'innovation et l'automation, qui a participé à la 16e édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics (Batimatec) au Palais des Expositions de la Safex. « Nous construisons des usines en Algérie, en Tunisie et en Libye notamment en terre cuite pour les briqueteries et les tuileries. Nous vendons donc des usines clefs en main pour nos clients. En fait, nous avons bâti des usines en Algérie, notamment à Touggourt, Adrar, Biskra, Tébessa, Oran et Annaba » a affirmé hier, Michel Bernard, ingénieur de CLEIA, entreprise française spécialisée dans l'engineering, l'innovation et l'automation, qui a participé à la 16e édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics (Batimatec) au Palais des Expositions de la Safex. Ce conseiller du président de CLEIA ajoute que cette entreprise qui est très active en Algérie « a construit des briqueteries, et actuellement, elle se consacre également aux produits rouges en raison de la forte demande sur le marché local relative à la brique et la tuilerie ». Il précise que les clients « sont uniquement des sociétés privées algériennes, mais nous avons aussi reçu des appels d'offres de Tamanrasset et In Salah qui sont des marchés publics. Nous avons retiré les cahiers de charge, et maintenant, nous nous préparons pour la soumission ». Le représentant en Algérie de CLEIA, Saad Allaf, a souligné que cette entreprise travaille chez nous depuis plusieurs décennies, puisqu'elle « a réalisé la première usine briqueterie à Batna en 1970, mais également à Mers El Kebir et à Remchi (Tlemcen) ainsi qu'à Khemis El Khechna ». Au début des années 80, cette entreprise a construit des usines étatiques à Béjaïa, Boudouaou et Fréha (Tizi-Ouzou) alors que depuis 1990 et jusqu'à présent, elle édifie des briqueteries privées, mais également une usine à Sidi Bel-Abbès. « Il y a 8 années, je pensai qu'il était impossible de réaliser 1 million de logements en 5 ans si nous ne construisons pas des usines. Il s'agit de doubler la capacité des briqueteries sachant que la mentalité algériennes veut que la construction de logements doit se faire toujours à proximité des routes et des autoroutes » a dit Allaf. 5,5 millions d'euros pour une usine de 100.000 tonnes/an Le coût de construction d'une usine de production de 100.000 tonnes par an, complètement équipée, s'élève à 5,5 millions d'euros, selon lui, avec l'apport du génie civil algérien pour fonctionner sur tous les plans. Les parts de marché de CLEIA sont appréciables en Algérie et de nombreux contrats ont été signés. « Nous avons des projets de réalisation d'usines en Algérie. Il s'agit de grandes usines entièrement automatisées avec de nouveaux systèmes de séchage (séchoir Zéphyr) pour la production de 350.000 tonnes par an. Aussi, CLEIA fournit des unités industrielles clé en main et les services associés, tels que les lignes de préparation des matières premières et de fabrication, les séchoirs, fours, manutentions automatiques, robotique, régulation et supervision informatique » a-t-il indiqué. Pour ce qui de la formation, ce responsable souligne que « lors du démarrage, on assure la formation des personnels des usines en conseillant aux clients de prendre soin des problèmes lors de la phase de démarrage qui comporte beaucoup de difficultés. Car, c'est où les pannes peuvent survenir. Ainsi, la formation est indispensable en préconisant les essais. Nous avons formé des techniciens devenus actuellement des cadres ». Allaf ajoute « qu'il existe un projet de construction d'une usine de 350 000 tonnes par an à l'est du pays, dans les Hauts-Plateaux, c'est l'équivalent de 1 000 tonnes par jour utilisant les nouveaux systèmes de séchage Zéphyr. Les emplois directs et indirects s'élèvent à 100 travailleurs ». Pour sa part, Frank Bigeard, directeur commercial, estime que « l'autre vecteur essentiel concerne l'expansion de notre réseau international. Nous avons ouvert avec succès un bureau en Algérie, que nous allons rapidement transformer en filiale ». Ce conseiller du président de CLEIA ajoute que cette entreprise qui est très active en Algérie « a construit des briqueteries, et actuellement, elle se consacre également aux produits rouges en raison de la forte demande sur le marché local relative à la brique et la tuilerie ». Il précise que les clients « sont uniquement des sociétés privées algériennes, mais nous avons aussi reçu des appels d'offres de Tamanrasset et In Salah qui sont des marchés publics. Nous avons retiré les cahiers de charge, et maintenant, nous nous préparons pour la soumission ». Le représentant en Algérie de CLEIA, Saad Allaf, a souligné que cette entreprise travaille chez nous depuis plusieurs décennies, puisqu'elle « a réalisé la première usine briqueterie à Batna en 1970, mais également à Mers El Kebir et à Remchi (Tlemcen) ainsi qu'à Khemis El Khechna ». Au début des années 80, cette entreprise a construit des usines étatiques à Béjaïa, Boudouaou et Fréha (Tizi-Ouzou) alors que depuis 1990 et jusqu'à présent, elle édifie des briqueteries privées, mais également une usine à Sidi Bel-Abbès. « Il y a 8 années, je pensai qu'il était impossible de réaliser 1 million de logements en 5 ans si nous ne construisons pas des usines. Il s'agit de doubler la capacité des briqueteries sachant que la mentalité algériennes veut que la construction de logements doit se faire toujours à proximité des routes et des autoroutes » a dit Allaf. 5,5 millions d'euros pour une usine de 100.000 tonnes/an Le coût de construction d'une usine de production de 100.000 tonnes par an, complètement équipée, s'élève à 5,5 millions d'euros, selon lui, avec l'apport du génie civil algérien pour fonctionner sur tous les plans. Les parts de marché de CLEIA sont appréciables en Algérie et de nombreux contrats ont été signés. « Nous avons des projets de réalisation d'usines en Algérie. Il s'agit de grandes usines entièrement automatisées avec de nouveaux systèmes de séchage (séchoir Zéphyr) pour la production de 350.000 tonnes par an. Aussi, CLEIA fournit des unités industrielles clé en main et les services associés, tels que les lignes de préparation des matières premières et de fabrication, les séchoirs, fours, manutentions automatiques, robotique, régulation et supervision informatique » a-t-il indiqué. Pour ce qui de la formation, ce responsable souligne que « lors du démarrage, on assure la formation des personnels des usines en conseillant aux clients de prendre soin des problèmes lors de la phase de démarrage qui comporte beaucoup de difficultés. Car, c'est où les pannes peuvent survenir. Ainsi, la formation est indispensable en préconisant les essais. Nous avons formé des techniciens devenus actuellement des cadres ». Allaf ajoute « qu'il existe un projet de construction d'une usine de 350 000 tonnes par an à l'est du pays, dans les Hauts-Plateaux, c'est l'équivalent de 1 000 tonnes par jour utilisant les nouveaux systèmes de séchage Zéphyr. Les emplois directs et indirects s'élèvent à 100 travailleurs ». Pour sa part, Frank Bigeard, directeur commercial, estime que « l'autre vecteur essentiel concerne l'expansion de notre réseau international. Nous avons ouvert avec succès un bureau en Algérie, que nous allons rapidement transformer en filiale ».