Les étudiants de troisième année LMD de l'Institut de génie electrique et electronique (Inelec) de l'université M'hamed Bougara de Boumerdès (UMBB) ont entamé, depuis avant-hier, un large mouvement de grève pour réclamer l'instauration du Master dans leur établissement. Les étudiants de troisième année LMD de l'Institut de génie electrique et electronique (Inelec) de l'université M'hamed Bougara de Boumerdès (UMBB) ont entamé, depuis avant-hier, un large mouvement de grève pour réclamer l'instauration du Master dans leur établissement. Ce sont les étudiants de la première promotion dudit Institut qui ont organisé cette action de protestation pour dénoncer, également, les promesses non tenues des responsables quant à la poursuite des études en Master. «La situation est très alarmante et notre cursus est menacé à ce stade de cycle en raison de l'absence d'un Master », nous dira un étudiant. Et d'ajouter : «Nous sommes préoccupés par cette situation de flou d'autant que nous sommes destinés à un avenir prometteur car nous avons été choisis pour intégrer un tel Institut national et voila c'est l'impasse car, à la fin de l'année, en juin prochain, nous allons avoir un diplôme simple d'une licence académique sans spécialité et sans aucun Master garanti». Pour attirer l'attention des responsables de l'administration, les contestataires ont accroché sur les murs et le portail de l'Institut plusieurs banderoles et pancartes sur lesquelles nous pouvions lire « Master garanti », « Master, un droit, nous ne voulons pas de fausses promesses ». Dans la matinée d'hier, les manifestants ont observé un sit-in devant le portail principal de l'INELEC, pour appuyer leur revendication et se faire entendre. Ils ont réclamé, également, l'assurance de préserver le Master pour les autres promotions notamment 2011 et 2012. Dans une déclaration dont Midi libre dispose d'une copie, les étudiants ont « tenté, par le passé de résoudre cette question par la voie pacifique, mais en vain ». Et devant le silence affiché par les responsables concernés, « les étudiants ne peuvent pas rester indifférents et doivent lutter pour leur avenir ». « Faire la grève est la dernière carte à jouer pour faire valoir nos droits », lit-on dans le même document. Les étudiants ont menacé de poursuivre le mouvement de la grève jusqu'à satisfaction de leur revendication. Ce sont les étudiants de la première promotion dudit Institut qui ont organisé cette action de protestation pour dénoncer, également, les promesses non tenues des responsables quant à la poursuite des études en Master. «La situation est très alarmante et notre cursus est menacé à ce stade de cycle en raison de l'absence d'un Master », nous dira un étudiant. Et d'ajouter : «Nous sommes préoccupés par cette situation de flou d'autant que nous sommes destinés à un avenir prometteur car nous avons été choisis pour intégrer un tel Institut national et voila c'est l'impasse car, à la fin de l'année, en juin prochain, nous allons avoir un diplôme simple d'une licence académique sans spécialité et sans aucun Master garanti». Pour attirer l'attention des responsables de l'administration, les contestataires ont accroché sur les murs et le portail de l'Institut plusieurs banderoles et pancartes sur lesquelles nous pouvions lire « Master garanti », « Master, un droit, nous ne voulons pas de fausses promesses ». Dans la matinée d'hier, les manifestants ont observé un sit-in devant le portail principal de l'INELEC, pour appuyer leur revendication et se faire entendre. Ils ont réclamé, également, l'assurance de préserver le Master pour les autres promotions notamment 2011 et 2012. Dans une déclaration dont Midi libre dispose d'une copie, les étudiants ont « tenté, par le passé de résoudre cette question par la voie pacifique, mais en vain ». Et devant le silence affiché par les responsables concernés, « les étudiants ne peuvent pas rester indifférents et doivent lutter pour leur avenir ». « Faire la grève est la dernière carte à jouer pour faire valoir nos droits », lit-on dans le même document. Les étudiants ont menacé de poursuivre le mouvement de la grève jusqu'à satisfaction de leur revendication.