C'est aujourd'hui, mercredi, qu'aura lieu le procès de l'affaire de l'assassinat, de manière atroce, du jeune Hadjou Ghilès près d'Azeffoun. Une affaire qui, faut-il le rappeler, avait ébranlé la Kabylie et fait couler beaucoup d'encre et de salive. C'est aujourd'hui, mercredi, qu'aura lieu le procès de l'affaire de l'assassinat, de manière atroce, du jeune Hadjou Ghilès près d'Azeffoun. Une affaire qui, faut-il le rappeler, avait ébranlé la Kabylie et fait couler beaucoup d'encre et de salive. Au banc des accusés, il y aura pas moins de quatre individus cités tous dans cette affaire de kidnapping, suivi d'assassinat crapuleux. Les quatre accusés dans ce dossier de criminalité sont : H. Mohamed, C. Amar, B. Mehdi et Y. Amar. Leur âge varie de 19 à 33 ans. Ce matin, ils auront à répondre au chef d'inculpation retenus contre eux, à savoir : « Association de malfaiteurs, homicide volontaire avec préméditation, rapt en vue de réclamer une rançon et dissimulation du corps de la victime ». Pour rappel, l'affaire en question a éclaté dans la région d'Azeffoun, soixante-cinq kilomètres au nord-est du chef-lieu de la wilaya de Tizi- Ouzou, en octobre 2012. Au départ, il y a eu d'abord l'enlèvement de la victime, Hadjou Ghilès, âgé à peine d'une vingtaine d'années. Croyant avoir affaire à des terroristes ou à des kidnappeurs professionnels, les proches de la victime et les villageois se sont mobilisés afin d'exiger aux ravisseurs de remettre en liberté leur enfant. Plusieurs actions de mobilisation avaient alors été initiées par les concernés. Mais moins d'une semaine après la disparition de Hadjou Ghilès, le corps de ce dernier a été découvert, sans vie, sur une plage de la daïra d'Azeffoun. Le choc a été total dans toute la région d'autant plus que cet acte ignoble d'une rare sauvagerie s'était produit à la veille de la fête de l'Aïd el-adha. En revanche, l'enquête enclenchée par les services de la brigade de gendarmerie de Fréha a vite donné ses résultats et toutes les personnes impliquées d'une manière ou d'une autre dans ce meurtre ont été identifiées et arrêtées en moins de cinq jours. Rappelons que Hadjou Ghilès a été tué par étranglement dans une habitation abandonnée près d'Azeffoun avant que ses meurtriers ne transportent son corps sans vie et de l'abandonner sur une plage déserte. Le 29 octobre 2012, les quatre mis en cause ont été présentés devant le parquet près le tribunal d'Azazga territorialement compétent. Ils ont été placés en détention provisoire. Au banc des accusés, il y aura pas moins de quatre individus cités tous dans cette affaire de kidnapping, suivi d'assassinat crapuleux. Les quatre accusés dans ce dossier de criminalité sont : H. Mohamed, C. Amar, B. Mehdi et Y. Amar. Leur âge varie de 19 à 33 ans. Ce matin, ils auront à répondre au chef d'inculpation retenus contre eux, à savoir : « Association de malfaiteurs, homicide volontaire avec préméditation, rapt en vue de réclamer une rançon et dissimulation du corps de la victime ». Pour rappel, l'affaire en question a éclaté dans la région d'Azeffoun, soixante-cinq kilomètres au nord-est du chef-lieu de la wilaya de Tizi- Ouzou, en octobre 2012. Au départ, il y a eu d'abord l'enlèvement de la victime, Hadjou Ghilès, âgé à peine d'une vingtaine d'années. Croyant avoir affaire à des terroristes ou à des kidnappeurs professionnels, les proches de la victime et les villageois se sont mobilisés afin d'exiger aux ravisseurs de remettre en liberté leur enfant. Plusieurs actions de mobilisation avaient alors été initiées par les concernés. Mais moins d'une semaine après la disparition de Hadjou Ghilès, le corps de ce dernier a été découvert, sans vie, sur une plage de la daïra d'Azeffoun. Le choc a été total dans toute la région d'autant plus que cet acte ignoble d'une rare sauvagerie s'était produit à la veille de la fête de l'Aïd el-adha. En revanche, l'enquête enclenchée par les services de la brigade de gendarmerie de Fréha a vite donné ses résultats et toutes les personnes impliquées d'une manière ou d'une autre dans ce meurtre ont été identifiées et arrêtées en moins de cinq jours. Rappelons que Hadjou Ghilès a été tué par étranglement dans une habitation abandonnée près d'Azeffoun avant que ses meurtriers ne transportent son corps sans vie et de l'abandonner sur une plage déserte. Le 29 octobre 2012, les quatre mis en cause ont été présentés devant le parquet près le tribunal d'Azazga territorialement compétent. Ils ont été placés en détention provisoire.