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Violence contre les enfants, les parents tirent la sonnette d'alarme
Journée Mondiale de L'enfance
Publié dans Le Midi Libre le 01 - 06 - 2013

Le 1er juin de chaque année l'Algérie, comme beaucoup de pays du reste du monde, célèbre la Journée mondiale de l'enfance.
Le 1er juin de chaque année l'Algérie, comme beaucoup de pays du reste du monde, célèbre la Journée mondiale de l'enfance.
Il y a les enfants qui fêteront cette journée dans la gaieté et la joie et il y a les autres, ceux dont l'enfance a été confisquée : l'enfant qui vend des galettes sur les bords des autoroutes, ceux qui dorment à la belle étoiles, victimes faciles de prédateurs de tous bords, ceux qui travaillent pour des salaires de misère, ceux qui font l'objet de trafic d'organes, ou de réseaux de pédophilie...
Il ne se passe pas un jour sans que la presse nationale ne rapporte des cas de violences à l'égard des enfants, et si la loi garantit les droits fondamentaux de l'enfant, force est de constater malheureusement que la réalité est toute autre : la pauvreté, l'accès aux soins, la maltraitance ou encore les enfants réfugiés sont autant de domaines où des progrès restent à réaliser en Algérie.
Et quand on parle en langage des chiffres, cela est proprement effrayant, en effet les dernières statistiques de la Direction générale de la Sûreté nationale pour la seule année 2012 nous indiquent que 1.737 enfants ont été victimes de violences sexuelles (1.016 filles et 721 garçons).
Un rapport sur La situation des enfants en Algérie en 2012, établi par la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem) souligne, quant à lui, 50.000 cas de maltraitance, 10.000 cas de viol chez les enfants algériens.
Au-delà de ce chiffre dramatique de violences et d'agressions à l'encontre de l'enfant, le rapport déplore en outre « des problèmes sociétaux ancrés en Algérie ». Concernant la maltraitance, le rapport estime que « 80% de ces actes sont enregistrés dans le milieu familial ». Les viols et attouchements sexuels sur enfant sont même considérés comme « phénomène de société» en Algérie.
Pour rester objectifs il fait reconnaître que les conditions de vie des enfants en Algérie se sont améliorées en 50 ans, dans le sens où l'accès à l'éducation, aux soins s'est généralisé.
La scolarité n'est pourtant pas encore un acquis pour tous les enfants puisque la Forem explique que « 15% des enfants quittent l'école avant la fin du cycle primaire et 27,2% des enfants de moins de 15 ans sont encore analphabètes. Ils se tournent vers le travail. Le nombre des enfants qui travaillent de façon permanente et qui ont abandonné les bancs de l'école dépasse les 350.000», est-il écrit dans le même rapport.
Une autre triste réalité est soulignée dans ledit rapport : des milliers d'enfants restent soumis aux dangers de la rue, « 20.000 enfants de la rue sont en rupture totale avec leur milieu familial devenant, de ce fait, des SDF ». Selon l'Observatoire des droits de l'enfant (ODE), entre 3.000 et 5.000 enfants naissent sous X chaque année.
A ces cas s'ajoutent les mauvais traitements avec 433 cas et les enlèvements avec 186 kidnappings et détournements de mineurs. Ces violences ont causé la mort de 28 enfants. Cela d'une part, et de l'autre, 18 enfants ont été victimes d'homicide volontaire, dont des infanticides.
Face à la montée dangereuse des violences à l'encontre des enfants, physiques ou morales, le gouvernement algérien doit se fixer pour objectif de renforcer le système d'information et d'accompagnement, ainsi que les mécanismes juridiques d'intervention et de prévention en cas de violences, afin de garantir la protection des droits de l'enfant.
Et pour mieux éclaircir ce phénomène social, on s'est rapproché de défenseurs des droits de l'enfants, des psychologues et d'autres acteurs actifs dans la lutte contre ces violences que les enfants subissent au quotidien.
Rapt d'enfants, casser le tabou du silence...
« Il faut porter la sanction à son maximum. Il faut casser le tabou du silence et mettre en place un mécanisme d'alerte d'enlèvement d'enfant. La loi devrait le prévoir et faire en sorte que les médias, c'est-à-dire la télévision, relayent l'information dès que la police est saisie d'une plainte ou d'un signalement » estime la juriste, Me Nadia Ait-Zai.
Un enfant se développe à partir de ses parents
Une psychologue, à Tizi-Ouzou, affirme que « la violence est la cause de l'insécurité affective chez l'enfant (le développement de sa personnalité, son intelligence, son équilibre psychologique...), cela est le résultat de manque de mécanismes de développement( l'interaction avec autrui, avec les parents...).» Et d'ajouter, « chaque enfant se développe à partir de ses parents, les moyens, selon les classes sociales, ainsi, les enfants qui se confrontent quotidiennement aux violences, cela accuse chez eux un recul de leur personnalité et de leur identité ».
Elle souligne que la « responsabilité est partagée par tous les acteurs de la société. Et cela est en relation directe avec l'histoire du pays( le colonialisme), au lendemain de l'Indépendance le gouvernement ne savait pas comment gérer tous les traumatismes psychologiques laissés après le départ de la France, de même que les effets de la décennie noire ».
Séquelles psychologiques et traumatismes...
Yazid Haddar, psychologue-clinicien en France, interrogé sur les conséquences éventuelles sur le développement psychologique de l'enfant ayant subi des violences physiques ou morale, nous répondra que : « Concernant les séquelles psychologiques, ce sont des traumatismes.
Et généralement, ces enfants reproduisent les mêmes violences lorsqu'ils sont adultes ou adolescents. Sur le plan apprentissage, ce sont des enfants qui ont des difficultés d'apprentissage, en particulier la mémoire de travail, ils sont instables sur le plan moteur et ils ont des troubles du sommeil. Ceci dépend du niveau du traumatisme et le type de personnalité de chaque enfant. »
A la question de savoir si le petit Algérien a suffisamment de temps de jeu ? Il nous dira qu'il ne « s'agit pas de jouer uniquement, mais surtout avec qui jouer. Le jeu c'est l'activité ludique qui facile l'apprentissage.
C'est pour cela que le jeu devrait être encadré par les adultes, avec des espaces réservés au jeu, ce qui n'est pas le cas en Algérie. Pour l'affection, les enfants recoivent de l'affection, mais chargée de la tradition, qui est elle-même porteuse d'une forme de violence, malheureusement. certaines pratiques traditionnelles, n'encouragent pas la relation père-fils, père-fille, mère-fils et mère-fille.
La montée de la violence à l'égard des enfants est multiple dans la société algérienne. La violence, comme je l'ai souligné dans un article dans El Watan, est multidimensionnelle dans notre société. La responsabilité ne touche pas uniquement les parents, mais aussi la société et le système éducatif.
Sans négliger, comme je l'ai souligné plus haut, certaines valeurs traditionnelles et religieuses, qui encouragent des formes de violences à l'égard des enfants. Un facteur important, c'est que la société se modernise, par le travail des deux parents,
par réduction de la famille aux parents uniquement, etc., toute cette évolution n'a pas été suivie par une évolution des valeurs qui lui corresponde. Ceci crée des tensions et des violence à plusieurs niveaux. Un autre facteur, c'est la banalisation de la violence. Par la décennie noire, mais aussi l'esprit de la loi du plus fort qui règne dans nos cités.
L'Islam réprouve la violence envers l'enfant
Mohamed Chikh, docteur en sciences islamiques affirme que : « L'islam condamne de pareils actes, ils vont à l'encontre de la nature humaine et détruisent la morale et l'ordre public. C'est la peine de mort qui doit être appliquée à l'égard de l'agresseur d'un enfant.
Préserver le sourire des enfants et leur garantir un milieu sécurisé dans une société où ils pourraient bénéficier de leurs droits les plus élémentaires, cela est de la responsabilité de toutes les franges de la société : société civile, le gouvernement avec tous ses appareils, à savoir judiciaire, sécuritaire, ainsi que les instances sociales (associations...), pour que nos enfants puissent jouir d'un avenir meilleur. »
Il y a les enfants qui fêteront cette journée dans la gaieté et la joie et il y a les autres, ceux dont l'enfance a été confisquée : l'enfant qui vend des galettes sur les bords des autoroutes, ceux qui dorment à la belle étoiles, victimes faciles de prédateurs de tous bords, ceux qui travaillent pour des salaires de misère, ceux qui font l'objet de trafic d'organes, ou de réseaux de pédophilie...
Il ne se passe pas un jour sans que la presse nationale ne rapporte des cas de violences à l'égard des enfants, et si la loi garantit les droits fondamentaux de l'enfant, force est de constater malheureusement que la réalité est toute autre : la pauvreté, l'accès aux soins, la maltraitance ou encore les enfants réfugiés sont autant de domaines où des progrès restent à réaliser en Algérie.
Et quand on parle en langage des chiffres, cela est proprement effrayant, en effet les dernières statistiques de la Direction générale de la Sûreté nationale pour la seule année 2012 nous indiquent que 1.737 enfants ont été victimes de violences sexuelles (1.016 filles et 721 garçons).
Un rapport sur La situation des enfants en Algérie en 2012, établi par la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem) souligne, quant à lui, 50.000 cas de maltraitance, 10.000 cas de viol chez les enfants algériens.
Au-delà de ce chiffre dramatique de violences et d'agressions à l'encontre de l'enfant, le rapport déplore en outre « des problèmes sociétaux ancrés en Algérie ». Concernant la maltraitance, le rapport estime que « 80% de ces actes sont enregistrés dans le milieu familial ». Les viols et attouchements sexuels sur enfant sont même considérés comme « phénomène de société» en Algérie.
Pour rester objectifs il fait reconnaître que les conditions de vie des enfants en Algérie se sont améliorées en 50 ans, dans le sens où l'accès à l'éducation, aux soins s'est généralisé.
La scolarité n'est pourtant pas encore un acquis pour tous les enfants puisque la Forem explique que « 15% des enfants quittent l'école avant la fin du cycle primaire et 27,2% des enfants de moins de 15 ans sont encore analphabètes. Ils se tournent vers le travail. Le nombre des enfants qui travaillent de façon permanente et qui ont abandonné les bancs de l'école dépasse les 350.000», est-il écrit dans le même rapport.
Une autre triste réalité est soulignée dans ledit rapport : des milliers d'enfants restent soumis aux dangers de la rue, « 20.000 enfants de la rue sont en rupture totale avec leur milieu familial devenant, de ce fait, des SDF ». Selon l'Observatoire des droits de l'enfant (ODE), entre 3.000 et 5.000 enfants naissent sous X chaque année.
A ces cas s'ajoutent les mauvais traitements avec 433 cas et les enlèvements avec 186 kidnappings et détournements de mineurs. Ces violences ont causé la mort de 28 enfants. Cela d'une part, et de l'autre, 18 enfants ont été victimes d'homicide volontaire, dont des infanticides.
Face à la montée dangereuse des violences à l'encontre des enfants, physiques ou morales, le gouvernement algérien doit se fixer pour objectif de renforcer le système d'information et d'accompagnement, ainsi que les mécanismes juridiques d'intervention et de prévention en cas de violences, afin de garantir la protection des droits de l'enfant.
Et pour mieux éclaircir ce phénomène social, on s'est rapproché de défenseurs des droits de l'enfants, des psychologues et d'autres acteurs actifs dans la lutte contre ces violences que les enfants subissent au quotidien.
Rapt d'enfants, casser le tabou du silence...
« Il faut porter la sanction à son maximum. Il faut casser le tabou du silence et mettre en place un mécanisme d'alerte d'enlèvement d'enfant. La loi devrait le prévoir et faire en sorte que les médias, c'est-à-dire la télévision, relayent l'information dès que la police est saisie d'une plainte ou d'un signalement » estime la juriste, Me Nadia Ait-Zai.
Un enfant se développe à partir de ses parents
Une psychologue, à Tizi-Ouzou, affirme que « la violence est la cause de l'insécurité affective chez l'enfant (le développement de sa personnalité, son intelligence, son équilibre psychologique...), cela est le résultat de manque de mécanismes de développement( l'interaction avec autrui, avec les parents...).» Et d'ajouter, « chaque enfant se développe à partir de ses parents, les moyens, selon les classes sociales, ainsi, les enfants qui se confrontent quotidiennement aux violences, cela accuse chez eux un recul de leur personnalité et de leur identité ».
Elle souligne que la « responsabilité est partagée par tous les acteurs de la société. Et cela est en relation directe avec l'histoire du pays( le colonialisme), au lendemain de l'Indépendance le gouvernement ne savait pas comment gérer tous les traumatismes psychologiques laissés après le départ de la France, de même que les effets de la décennie noire ».
Séquelles psychologiques et traumatismes...
Yazid Haddar, psychologue-clinicien en France, interrogé sur les conséquences éventuelles sur le développement psychologique de l'enfant ayant subi des violences physiques ou morale, nous répondra que : « Concernant les séquelles psychologiques, ce sont des traumatismes.
Et généralement, ces enfants reproduisent les mêmes violences lorsqu'ils sont adultes ou adolescents. Sur le plan apprentissage, ce sont des enfants qui ont des difficultés d'apprentissage, en particulier la mémoire de travail, ils sont instables sur le plan moteur et ils ont des troubles du sommeil. Ceci dépend du niveau du traumatisme et le type de personnalité de chaque enfant. »
A la question de savoir si le petit Algérien a suffisamment de temps de jeu ? Il nous dira qu'il ne « s'agit pas de jouer uniquement, mais surtout avec qui jouer. Le jeu c'est l'activité ludique qui facile l'apprentissage.
C'est pour cela que le jeu devrait être encadré par les adultes, avec des espaces réservés au jeu, ce qui n'est pas le cas en Algérie. Pour l'affection, les enfants recoivent de l'affection, mais chargée de la tradition, qui est elle-même porteuse d'une forme de violence, malheureusement. certaines pratiques traditionnelles, n'encouragent pas la relation père-fils, père-fille, mère-fils et mère-fille.
La montée de la violence à l'égard des enfants est multiple dans la société algérienne. La violence, comme je l'ai souligné dans un article dans El Watan, est multidimensionnelle dans notre société. La responsabilité ne touche pas uniquement les parents, mais aussi la société et le système éducatif.
Sans négliger, comme je l'ai souligné plus haut, certaines valeurs traditionnelles et religieuses, qui encouragent des formes de violences à l'égard des enfants. Un facteur important, c'est que la société se modernise, par le travail des deux parents,
par réduction de la famille aux parents uniquement, etc., toute cette évolution n'a pas été suivie par une évolution des valeurs qui lui corresponde. Ceci crée des tensions et des violence à plusieurs niveaux. Un autre facteur, c'est la banalisation de la violence. Par la décennie noire, mais aussi l'esprit de la loi du plus fort qui règne dans nos cités.
L'Islam réprouve la violence envers l'enfant
Mohamed Chikh, docteur en sciences islamiques affirme que : « L'islam condamne de pareils actes, ils vont à l'encontre de la nature humaine et détruisent la morale et l'ordre public. C'est la peine de mort qui doit être appliquée à l'égard de l'agresseur d'un enfant.
Préserver le sourire des enfants et leur garantir un milieu sécurisé dans une société où ils pourraient bénéficier de leurs droits les plus élémentaires, cela est de la responsabilité de toutes les franges de la société : société civile, le gouvernement avec tous ses appareils, à savoir judiciaire, sécuritaire, ainsi que les instances sociales (associations...), pour que nos enfants puissent jouir d'un avenir meilleur. »


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