Soixante familles de la commune de Bouskène (63 km à l'est de Médéa), qui résidaient dans des habitations précaires et insalubres, ont été relogées, jeudi, dans des appartements neufs, dotés de toutes les commodités, à la faveur d'une opération d'éradication de l'habitat précaire (RHP) initiée par la commune, a-t-on appris auprès des élus locaux. Soixante familles de la commune de Bouskène (63 km à l'est de Médéa), qui résidaient dans des habitations précaires et insalubres, ont été relogées, jeudi, dans des appartements neufs, dotés de toutes les commodités, à la faveur d'une opération d'éradication de l'habitat précaire (RHP) initiée par la commune, a-t-on appris auprès des élus locaux. Cette opération a touché, selon les responsables de la commune, les occupants des habitations précaires recensées en 2007 au niveau de cette commune et nécessitant une prise en charge dans le cadre du programme de résorption de l'habitat précaire mis sur pied par les autorités locales, dans la perspective de l'éradication ''progressive'' de ce type de construction à travers les communes de la wilaya, a-t-on ajouté. Selon les services de la wilaya, au moins cinquante-neuf constructions illicites, érigées à travers de nombreuses localités, ont été démolies, au courant de la semaine, conformément aux instructions du chef de l'exécutif, portant sur l'éradication définitive de l'ensemble des constructions anarchiques recensées depuis 2008. Un délai de quinze jours a été accordé, à la mi-mai, par le wali de Médéa, Brahim Merad, aux élus locaux afin d'entamer les procédures de démolition des constructions illicites érigées à partir de cette date, a-t-on rappelé dans ce contexte. Un recensement ''provisoire'', élaboré par les services communaux de l'urbanisme, faisait ressortir un nombre de 1.432 constructions illicites, devant être concernées par cette mesure, a-t-on précisé de même source. Cette opération a touché, selon les responsables de la commune, les occupants des habitations précaires recensées en 2007 au niveau de cette commune et nécessitant une prise en charge dans le cadre du programme de résorption de l'habitat précaire mis sur pied par les autorités locales, dans la perspective de l'éradication ''progressive'' de ce type de construction à travers les communes de la wilaya, a-t-on ajouté. Selon les services de la wilaya, au moins cinquante-neuf constructions illicites, érigées à travers de nombreuses localités, ont été démolies, au courant de la semaine, conformément aux instructions du chef de l'exécutif, portant sur l'éradication définitive de l'ensemble des constructions anarchiques recensées depuis 2008. Un délai de quinze jours a été accordé, à la mi-mai, par le wali de Médéa, Brahim Merad, aux élus locaux afin d'entamer les procédures de démolition des constructions illicites érigées à partir de cette date, a-t-on rappelé dans ce contexte. Un recensement ''provisoire'', élaboré par les services communaux de l'urbanisme, faisait ressortir un nombre de 1.432 constructions illicites, devant être concernées par cette mesure, a-t-on précisé de même source.