Les banques publiques algériennes ont décidé de décentraliser la prise de décision de leurs agences bancaires activant dans les wilayas du Grand Sud afin d'accompagner de façon efficace et rapide les mesures de soutien de l'emploi dans ces régions, a-t-on appris dimanche auprès de l'Abef. Les banques publiques algériennes ont décidé de décentraliser la prise de décision de leurs agences bancaires activant dans les wilayas du Grand Sud afin d'accompagner de façon efficace et rapide les mesures de soutien de l'emploi dans ces régions, a-t-on appris dimanche auprès de l'Abef. Les responsables de banques "ont notamment convenu de décentraliser la prise de décision des agences bancaires dans les wilayas du Sud et de désigner, dans chaque agence, une personne spécialisée pour orienter les jeunes et les informer sur les détails du dispositif du gouvernement en matière de soutien de l'emploi", a déclaré, à l'APS, le délégué général de l'Association des banques et établissements financiers, Abderrezak Trabelsi. Lors d'une réunion des P.-dg des banques publiques tenue au siège de son département en avril dernier, le ministre des Finances, Karim Djoudi, avait appelé les banques à s'engager dans un certain niveau de décentralisation de la prise de décision bancaire."Il appartient à chacune des banques d'aller vers un niveau de décentralisation de la décision plus élevé et compatible avec la configuration de son réseau", avait préconisé le ministre. Les responsables de ces banques ont été alors priés de "marquer leur présence sur le terrain et se déplacer personnellement dans les agences du sud du pays pour assurer une prise en charge effective des mesures prises". A l'issue de la réunion, les banques se sont, notamment, engagées à améliorer leur contribution aux dispositifs Ansej-Cnac dans les wilayas du Sud, fluidifier les relations avec les clients et faciliter aussi le recrutement de la ressource humaine locale à travers la diversification et l'intensification de l'offre de formation. Dans une instruction signée le 11 mars dernier et comportant une série de mesures relatives à la relance de l'emploi dans les wilayas du Sud, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait chargé le gouvernement d'appliquer un dispositif urgent de soutien aux micro-entreprises, de recrutement et d'amélioration de la qualité de la main d''œuvre locale. Les régions du sud du pays souffrent d'un taux de chômage relativement élevé et d'un niveau de formation insatisfaisant. Les responsables de banques "ont notamment convenu de décentraliser la prise de décision des agences bancaires dans les wilayas du Sud et de désigner, dans chaque agence, une personne spécialisée pour orienter les jeunes et les informer sur les détails du dispositif du gouvernement en matière de soutien de l'emploi", a déclaré, à l'APS, le délégué général de l'Association des banques et établissements financiers, Abderrezak Trabelsi. Lors d'une réunion des P.-dg des banques publiques tenue au siège de son département en avril dernier, le ministre des Finances, Karim Djoudi, avait appelé les banques à s'engager dans un certain niveau de décentralisation de la prise de décision bancaire."Il appartient à chacune des banques d'aller vers un niveau de décentralisation de la décision plus élevé et compatible avec la configuration de son réseau", avait préconisé le ministre. Les responsables de ces banques ont été alors priés de "marquer leur présence sur le terrain et se déplacer personnellement dans les agences du sud du pays pour assurer une prise en charge effective des mesures prises". A l'issue de la réunion, les banques se sont, notamment, engagées à améliorer leur contribution aux dispositifs Ansej-Cnac dans les wilayas du Sud, fluidifier les relations avec les clients et faciliter aussi le recrutement de la ressource humaine locale à travers la diversification et l'intensification de l'offre de formation. Dans une instruction signée le 11 mars dernier et comportant une série de mesures relatives à la relance de l'emploi dans les wilayas du Sud, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait chargé le gouvernement d'appliquer un dispositif urgent de soutien aux micro-entreprises, de recrutement et d'amélioration de la qualité de la main d''œuvre locale. Les régions du sud du pays souffrent d'un taux de chômage relativement élevé et d'un niveau de formation insatisfaisant.