Le chantier naval de Ténès vit des heures difficiles. Les ateliers de l'entreprise privée de construction navale (Carthéna) spécialisée dans les navires de pêche sont actuellement à l'arrêt. Au total, c'est plus d'une centaine de travailleurs dont 20 promoteurs de pêche qui sont au chômage suite à un arrêté de justice qui rendu sa décision de fermer le site de construction. Le chantier naval de Ténès vit des heures difficiles. Les ateliers de l'entreprise privée de construction navale (Carthéna) spécialisée dans les navires de pêche sont actuellement à l'arrêt. Au total, c'est plus d'une centaine de travailleurs dont 20 promoteurs de pêche qui sont au chômage suite à un arrêté de justice qui rendu sa décision de fermer le site de construction. La cause du différend est imputée selon le gérant de l'entreprise Carthéna, Abdelkader Mekakla, contacté par nos soins «à un contrat de location bail avec la Sonaric qui nous a obligé de quitter les lieux sans possibilité de le renouveler». En effet, ce contrat qui a expiré en ce mois a obligé les travailleurs d'arrêter le chantier qui devait permettre à 20 promoteurs d'acquérir leurs embarcations en toute sérénité. Le coût de chaque navire ne dépasse pas les 120 millions de DA. Pour Abdelkader Mekakla «cette décision va se traduire par un impact insidieux sur la région. Nous demandons donc aux autorités de surseoir à cette décision» clame-t-il. Selon lui «c'est la SGP Indelec qui est sous tutelle du ministère de l'Industrie qui est directement concernée». La Sonaric, vielle entreprise publique spécialisée dans la production des chauffages n'a pas donné des explications sur la restitution du site selon notre interlocuteur qui exhortait ces responsables un mois auparavant «à accorder un délai supplémentaire de 6 à 9 mois pour finir le chantier ». C'est pour cette raison que le gérant de Carthéna sollicite l'intervention du ministre de l'Industrie en personne pour user de ses prérogatives afin de régler ce différend et de permettre à l'entreprise d'honorer ses engagements vis-à-vis des promoteurs. L'un des promoteurs, Toufik Bouzeraa, nous a révélé ses inquiétudes sur « une menace réelle sur l'avenir de ce chantier qui compte comme le meilleur site de construction de navires de pêche en Algérie ». Du coup, c'est le chômage des ouvriers et marins qui a obligé ces derniers de contacter les autorités de la ville de Chlef pour mettre fin à cette situation, mais sans qu'il y ait de suites à leur doléance. L'entreprise a confirmé sa réussite en lançant son chantier pour permettre aux futurs investisseurs dans le secteur de la pèche d'augmenter le quota de production dans une région à fort potentiel. Au moment même où les autorités évoquent la relance de la filière pêche en tablant sur un investissement conséquent, les promoteurs ayant une longue expérience ne cachent pas leur désarroi face «une machine bureaucratique» qui bloque toute initiative dans le domaine. Le chantier naval de Ténès qui est considéré actuellement comme le plus important avec celui de l'Erenav (Entreprise de réparation navale) a décidé récemment de se lancer dans la construction de navires à Alger, Arzew (Oran) et Djen Djen (Jijel). La cause du différend est imputée selon le gérant de l'entreprise Carthéna, Abdelkader Mekakla, contacté par nos soins «à un contrat de location bail avec la Sonaric qui nous a obligé de quitter les lieux sans possibilité de le renouveler». En effet, ce contrat qui a expiré en ce mois a obligé les travailleurs d'arrêter le chantier qui devait permettre à 20 promoteurs d'acquérir leurs embarcations en toute sérénité. Le coût de chaque navire ne dépasse pas les 120 millions de DA. Pour Abdelkader Mekakla «cette décision va se traduire par un impact insidieux sur la région. Nous demandons donc aux autorités de surseoir à cette décision» clame-t-il. Selon lui «c'est la SGP Indelec qui est sous tutelle du ministère de l'Industrie qui est directement concernée». La Sonaric, vielle entreprise publique spécialisée dans la production des chauffages n'a pas donné des explications sur la restitution du site selon notre interlocuteur qui exhortait ces responsables un mois auparavant «à accorder un délai supplémentaire de 6 à 9 mois pour finir le chantier ». C'est pour cette raison que le gérant de Carthéna sollicite l'intervention du ministre de l'Industrie en personne pour user de ses prérogatives afin de régler ce différend et de permettre à l'entreprise d'honorer ses engagements vis-à-vis des promoteurs. L'un des promoteurs, Toufik Bouzeraa, nous a révélé ses inquiétudes sur « une menace réelle sur l'avenir de ce chantier qui compte comme le meilleur site de construction de navires de pêche en Algérie ». Du coup, c'est le chômage des ouvriers et marins qui a obligé ces derniers de contacter les autorités de la ville de Chlef pour mettre fin à cette situation, mais sans qu'il y ait de suites à leur doléance. L'entreprise a confirmé sa réussite en lançant son chantier pour permettre aux futurs investisseurs dans le secteur de la pèche d'augmenter le quota de production dans une région à fort potentiel. Au moment même où les autorités évoquent la relance de la filière pêche en tablant sur un investissement conséquent, les promoteurs ayant une longue expérience ne cachent pas leur désarroi face «une machine bureaucratique» qui bloque toute initiative dans le domaine. Le chantier naval de Ténès qui est considéré actuellement comme le plus important avec celui de l'Erenav (Entreprise de réparation navale) a décidé récemment de se lancer dans la construction de navires à Alger, Arzew (Oran) et Djen Djen (Jijel).