Il reste certes encore dix mois avant l'élection présidentielle de 2014, mais le pays semble être déjà en plein dedans. Tout tourne en effet autour de cette importante échéance politique. Il reste certes encore dix mois avant l'élection présidentielle de 2014, mais le pays semble être déjà en plein dedans. Tout tourne en effet autour de cette importante échéance politique. Les choses sont allées s'accélérant depuis la maladie du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, évacué le 27 avril dernier vers l'hôpital militaire de Val-de- Grâce en France avant d'être trasferé aux Invalides pour y suivre une convalescence. D'aucuns plaident même pour une élection présidentielle anticipée et des scenarii sont avancés ça et là et ce au moment où toutes les autorités du pays soutiennent que le chef de l'Etat se « porte bien ». Pourtant les candidats potentiels tardent à abattre leurs cartes et à apparaître au grand jour. Ils observent toujours une discrétion qui déroute quelquefois nombre d'observateurs. En effet, à l'exception de l'ancien chef du gouvernement, Ahmed Benbitour, qui a annoncé officiellement sa candidature pour l'élection présidentielle, aucun autre candidat n'a encore daigné se manifester. Et là on pense notamment à deux anciens chefs de gouvernement, à savoir Mouloud Hamrouche et Ali Benflis, notamment. Deux personnalités présentées comme de probables candidats. Tous deux ont d'ailleurs participé à la course à la présidentielle. En effet, Mouloud Hamrouche a été candidat à la magistrature suprême lors de l'élection de 1999 remportée par l'actuel president de la République, Abdelaziz Bouteflika. Mouloud Hamrouche, pour rappel, n'est pas allé jusqu'au bout. Il s'est retiré de la course avec cinq autres candidats, qui sont, entre autres, Hocine Aït Ahmed, Abdallah djaballah, Ahmed Taleb El Ibrahim,... juste à la veille de ce rendez-vous pour dénoncer «la fraude». Depuis Mouloud Hamrouche a toujours refusé de se porter candidat. De son côté, Ali Benflis a été candidat à l'élection presidentielle de 2004 où il a été largement battu par le président Bouteflika qui briguait, pour la deuxième fois, la plus haute marche du pouvoir. Ali Benflis s'est depuis totalement éclipsé de la scène nationale car on ne lui connait aucune activité politique. Comme il n'a jamais accordé la moindre déclaration aux médias à l'exception d'une mise au point dans laquelle il infirmait justement les informations selon lesquelles il préparerait sa candidature à la présidentielle de 2014 par l'installation d'une comité restreint de fidèles. C'était il y a presque une année de cela maintenant. Depuis c'est le silence radio, à vrai dire, depuis une dizaine d'années. Et c'est presque aussi le cas de Mouloud Hamrouche qui brille par son absence puisqu'il ne commente plus l'actualité politique nationale comme il avait l'habitude de le faire même si cela remonte à de nombreuses années déjà. En somme les Algériens ignorent tout des positions de ces deux personnalités sur de nombreuses questions brûlantes. Et rien n'indique qu'ils vont rompre ce silence dans les jours ou les semaines qui suivent. Ce wait an see déroute, il faut le dire, les observateurs qui ne comprennent pas les motifs de cette position alors qu'ils sont presque certains que leurs candidature est plus que probable. Ce, d'autant, énoncent nombre d'analystes, que rien ne se fera encore avant le retour du chef de l'Etat car on ignore, malgré les assurances du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et d'autres responsables politiques l'état réel de sa santé. Mais n'empêche que des murmures de voix commencent à se faire entendre pour parler de tel candidat ou de tel autre. C'est ainsi le cas d'une association de la « famille révolutionnaire » qui dit soutenir la candidature de Ali Benflis ou du politologue, Chafik Mesbah, qui fait la promotion de l'ex- président de la République, Liamine Zeroual. Les choses sont allées s'accélérant depuis la maladie du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, évacué le 27 avril dernier vers l'hôpital militaire de Val-de- Grâce en France avant d'être trasferé aux Invalides pour y suivre une convalescence. D'aucuns plaident même pour une élection présidentielle anticipée et des scenarii sont avancés ça et là et ce au moment où toutes les autorités du pays soutiennent que le chef de l'Etat se « porte bien ». Pourtant les candidats potentiels tardent à abattre leurs cartes et à apparaître au grand jour. Ils observent toujours une discrétion qui déroute quelquefois nombre d'observateurs. En effet, à l'exception de l'ancien chef du gouvernement, Ahmed Benbitour, qui a annoncé officiellement sa candidature pour l'élection présidentielle, aucun autre candidat n'a encore daigné se manifester. Et là on pense notamment à deux anciens chefs de gouvernement, à savoir Mouloud Hamrouche et Ali Benflis, notamment. Deux personnalités présentées comme de probables candidats. Tous deux ont d'ailleurs participé à la course à la présidentielle. En effet, Mouloud Hamrouche a été candidat à la magistrature suprême lors de l'élection de 1999 remportée par l'actuel president de la République, Abdelaziz Bouteflika. Mouloud Hamrouche, pour rappel, n'est pas allé jusqu'au bout. Il s'est retiré de la course avec cinq autres candidats, qui sont, entre autres, Hocine Aït Ahmed, Abdallah djaballah, Ahmed Taleb El Ibrahim,... juste à la veille de ce rendez-vous pour dénoncer «la fraude». Depuis Mouloud Hamrouche a toujours refusé de se porter candidat. De son côté, Ali Benflis a été candidat à l'élection presidentielle de 2004 où il a été largement battu par le président Bouteflika qui briguait, pour la deuxième fois, la plus haute marche du pouvoir. Ali Benflis s'est depuis totalement éclipsé de la scène nationale car on ne lui connait aucune activité politique. Comme il n'a jamais accordé la moindre déclaration aux médias à l'exception d'une mise au point dans laquelle il infirmait justement les informations selon lesquelles il préparerait sa candidature à la présidentielle de 2014 par l'installation d'une comité restreint de fidèles. C'était il y a presque une année de cela maintenant. Depuis c'est le silence radio, à vrai dire, depuis une dizaine d'années. Et c'est presque aussi le cas de Mouloud Hamrouche qui brille par son absence puisqu'il ne commente plus l'actualité politique nationale comme il avait l'habitude de le faire même si cela remonte à de nombreuses années déjà. En somme les Algériens ignorent tout des positions de ces deux personnalités sur de nombreuses questions brûlantes. Et rien n'indique qu'ils vont rompre ce silence dans les jours ou les semaines qui suivent. Ce wait an see déroute, il faut le dire, les observateurs qui ne comprennent pas les motifs de cette position alors qu'ils sont presque certains que leurs candidature est plus que probable. Ce, d'autant, énoncent nombre d'analystes, que rien ne se fera encore avant le retour du chef de l'Etat car on ignore, malgré les assurances du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et d'autres responsables politiques l'état réel de sa santé. Mais n'empêche que des murmures de voix commencent à se faire entendre pour parler de tel candidat ou de tel autre. C'est ainsi le cas d'une association de la « famille révolutionnaire » qui dit soutenir la candidature de Ali Benflis ou du politologue, Chafik Mesbah, qui fait la promotion de l'ex- président de la République, Liamine Zeroual.