Hier, en début d'après-midi, l'APS a diffusé les photos de l'audience du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, accordée mardi à Paris au Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et au chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah. Hier, en début d'après-midi, l'APS a diffusé les photos de l'audience du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, accordée mardi à Paris au Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et au chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah. Ce qui met fin à toutes les spéculations sur l'Etat de santé du Président de la République qui se remet de son AVC. Ce sont les premiers « détails » promis par Abdelmalek Sellal dans sa déclaration de mardi à l'APS. Encore une fois, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, rassure sur l'Etat de santé de Abdelaziz Bouteflika. Abdelmalek Sellal accompagné du chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, ont été reçus, mardi après-midi le chef de l'Etat à l'hôpital des Invalides (Paris). Dans une déclaration à l'APS, Abdelmalek Sellal a affirmé que le président Bouteflika « a très bien réagi et son état de santé semble correct ». Au cours de cette rencontre qui a duré « près de deux heures », les deux hauts responsables lui ont exposé « la situation générale qui prévaut dans le pays, tant au plan des activités gouvernementales, que sur la situation politique et sécuritaire », a précisé Abdelmalek Sellal, indiquant que le chef de l'Etat « a donné des instructions et des orientations » dans « tous les domaines d'activités, notamment en ce qui concerne les préparatifs liés à l'approvisionnement des marchés durant le prochain mois de ramadhan ». En date du 27 avril 2013, le président de la République, a présenté un AVC (accident vasculaire cérébral). Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui se remet de son AVC reçoit des soins en France pour une période de réadaptation fonctionnelle afin de « consolider l'évolution favorable » de son état de santé, a indiqué, le 11 juin, un bulletin de santé de ses médecins accompagnateurs, les professeurs Sahraoui Mohcène et Métresse Merzak. Le texte, rendu public, rappelle qu'« En date du 27 avril 2013, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présenté un AVC (accident vasculaire cérébral) ». Le bulletin transmis par la présidence de la République rappelle aussi « que les premières investigations faites, dès son admission à l'hôpital militaire Dr Mohamed-Seghir-Nekkache (Aïn Naâdja, Alger), ont révélé la nature ischémique de l'accident sans retentissement sur les fonctions vitales ». La même source explique qu'« à la faveur de ces explorations, une thérapeutique adéquate a été instaurée avant son transfert à l'hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce (Paris) pour un complément d'exploration, à l'issue desquelles ses médecins lui ont recommandé d'observer, à l'institution nationale des Invalides, une période de soins et de réadaptation fonctionnelle en vue de consolider l'évolution favorable de son état de santé ». Toujours est-il que les Algériens attendent toujours de voir les images du président de la République en convalescence aux Invalides. Des images qui devaient être diffusées hier soir à l'ENTV, selon différentes sources. Selon l'APS, le Premier ministre a promis qu'il reviendrait sur les détails de cette rencontre, « dès aujourd'hui » (NDLR, hier).Des détails qui « démoliront » les allégations de l'hebdomadaire français Valeurs actuelles qui avait assuré lundi « Bouteflika c'est fini », en expliquant que « Bouteflika n'était plus en mesure de gouverner ». « Son état de santé s'est très sérieusement dégradé. Il serait inconscient mais la nouvelle est gardée secrète pour mieux verrouiller sa succession », précisait le journal citant des « informations recueillies aux meilleures sources ». Des détails qui rassureraient davantage les Algériens sur l'Etat de santé qui sont en droit de savoir et de tout savoir sur l'évolution de la maladie du chef de l'Etat qui est absent du pays depuis plus de 45 jours. Une absence qui a fait « chauffer les esprits » en Algérie, malgré les assurances répétées de nombreux officiels qui ont affirmé à maintes reprises que le président de la République « va bien ». Ce qui met fin à toutes les spéculations sur l'Etat de santé du Président de la République qui se remet de son AVC. Ce sont les premiers « détails » promis par Abdelmalek Sellal dans sa déclaration de mardi à l'APS. Encore une fois, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, rassure sur l'Etat de santé de Abdelaziz Bouteflika. Abdelmalek Sellal accompagné du chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, ont été reçus, mardi après-midi le chef de l'Etat à l'hôpital des Invalides (Paris). Dans une déclaration à l'APS, Abdelmalek Sellal a affirmé que le président Bouteflika « a très bien réagi et son état de santé semble correct ». Au cours de cette rencontre qui a duré « près de deux heures », les deux hauts responsables lui ont exposé « la situation générale qui prévaut dans le pays, tant au plan des activités gouvernementales, que sur la situation politique et sécuritaire », a précisé Abdelmalek Sellal, indiquant que le chef de l'Etat « a donné des instructions et des orientations » dans « tous les domaines d'activités, notamment en ce qui concerne les préparatifs liés à l'approvisionnement des marchés durant le prochain mois de ramadhan ». En date du 27 avril 2013, le président de la République, a présenté un AVC (accident vasculaire cérébral). Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui se remet de son AVC reçoit des soins en France pour une période de réadaptation fonctionnelle afin de « consolider l'évolution favorable » de son état de santé, a indiqué, le 11 juin, un bulletin de santé de ses médecins accompagnateurs, les professeurs Sahraoui Mohcène et Métresse Merzak. Le texte, rendu public, rappelle qu'« En date du 27 avril 2013, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présenté un AVC (accident vasculaire cérébral) ». Le bulletin transmis par la présidence de la République rappelle aussi « que les premières investigations faites, dès son admission à l'hôpital militaire Dr Mohamed-Seghir-Nekkache (Aïn Naâdja, Alger), ont révélé la nature ischémique de l'accident sans retentissement sur les fonctions vitales ». La même source explique qu'« à la faveur de ces explorations, une thérapeutique adéquate a été instaurée avant son transfert à l'hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce (Paris) pour un complément d'exploration, à l'issue desquelles ses médecins lui ont recommandé d'observer, à l'institution nationale des Invalides, une période de soins et de réadaptation fonctionnelle en vue de consolider l'évolution favorable de son état de santé ». Toujours est-il que les Algériens attendent toujours de voir les images du président de la République en convalescence aux Invalides. Des images qui devaient être diffusées hier soir à l'ENTV, selon différentes sources. Selon l'APS, le Premier ministre a promis qu'il reviendrait sur les détails de cette rencontre, « dès aujourd'hui » (NDLR, hier).Des détails qui « démoliront » les allégations de l'hebdomadaire français Valeurs actuelles qui avait assuré lundi « Bouteflika c'est fini », en expliquant que « Bouteflika n'était plus en mesure de gouverner ». « Son état de santé s'est très sérieusement dégradé. Il serait inconscient mais la nouvelle est gardée secrète pour mieux verrouiller sa succession », précisait le journal citant des « informations recueillies aux meilleures sources ». Des détails qui rassureraient davantage les Algériens sur l'Etat de santé qui sont en droit de savoir et de tout savoir sur l'évolution de la maladie du chef de l'Etat qui est absent du pays depuis plus de 45 jours. Une absence qui a fait « chauffer les esprits » en Algérie, malgré les assurances répétées de nombreux officiels qui ont affirmé à maintes reprises que le président de la République « va bien ».