La concertation bat son plein entre les partis de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV). Les leaders de cette alliance multiplient, en effet, les rencontres. La concertation bat son plein entre les partis de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV). Les leaders de cette alliance multiplient, en effet, les rencontres. Des rencontres qui tournent essentiellement autour de l'élection présidentielle, prévue, normalement, au printemps de l'année prochaine. En quinze jours les dirigeants des trois partis formant cette alliance, à savoir le MSP, Enahda et El Islah, ont tenu plusieurs conclaves comme ce fut le cas juste avant-hier où ils se sont donnés rendez-vous au siège du MSP. Autant dire que cette alliance de partis islamistes est en rangs de bataille en prévision de l'élection présidentielle de 2014 puisque toute son action est résolument inscrite dans l'optique de cette importante échéance politique comme le confirme, une fois de plus, le communiqué commun rendu public hier. Dans ce communiqué, signé par Abderrazak Mokri, président du MSP, Fateh Rebai, secrétaire général d'Enahda et Djahid Younsi, secrétaire général d'El Islah, il est clairement dit que les conciliabules ont porté sur les élections présidentielles et que les trois dirigeants ont même abouti a « des idées bien déterminées » s'agissant de cet important rendez-vous électoral. Mais le communiqué reste muet puisqu'il ne soufflera mot sur ces idées se contentant juste de préciser que « ces idées seront exposées aux institutions des partis » concernés. « Les trois dirigeants sont parvenus à une sorte de feuille de route qui doit être soumise, cependant, à l'appréciation des instances des trois partis avant d'être adoptés » note un cadre dirigeant d'un des trois partis de l'AAV. « Les dirigeants de l'AAV considèrent la prochaine échéance comme une opportunité pour le peuple algérien afin de réaliser le changement pacifique auquel il aspire et éviter au pays les risques de dérapages et de chaos » indique le communiqué de l'AAV avant d'ajouter que « pour ce faire il est indispensable de réunir toutes les conditions et les garanties afin que ces élections soient honnêtes transparentes et crédibles et ce pour permettre au pays de bâtir un Etat de droit ». Mais qu'est-ce qui fait tant courir les dirigeants de l'AAV alors que cette élection présidentielle est prévue qu'au mois d'avril 2014 ? En vérité, notent nombre d'observateurs, cela est exclusivement dû à la maladie du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, car les trois partis ne veulent pas être pris de cours par l'évolution de la situation en prenant en considération tous les scénarios possibles. En somme, et même s'ils ne l'ont pas dit explicitement, les dirigeants de l'AAV semblent aussi se préparer à l'éventualité d'une élection présidentielle anticipée, d'où, à l'évidence, cette multiplication des rencontres au sommet. Les concertations dans le camp des islamistes ne sont pas uniquement limitées à l'AAV puisque le nouveau président du MSP, Abderrazak Mokri, est en train de se déployer dans tous les sens pour tenter d'unifier les rangs de la mouvance en prévision de l'élection présidentielle. Il y a juste quelques jours il a rencontré le président du Front de la justice et du developpement, Abdallah Djaballah. Comme il déploie une grande énergie pour la réconciliation avec le Front du changement et tous les dissidents du MSP. Des rencontres qui tournent essentiellement autour de l'élection présidentielle, prévue, normalement, au printemps de l'année prochaine. En quinze jours les dirigeants des trois partis formant cette alliance, à savoir le MSP, Enahda et El Islah, ont tenu plusieurs conclaves comme ce fut le cas juste avant-hier où ils se sont donnés rendez-vous au siège du MSP. Autant dire que cette alliance de partis islamistes est en rangs de bataille en prévision de l'élection présidentielle de 2014 puisque toute son action est résolument inscrite dans l'optique de cette importante échéance politique comme le confirme, une fois de plus, le communiqué commun rendu public hier. Dans ce communiqué, signé par Abderrazak Mokri, président du MSP, Fateh Rebai, secrétaire général d'Enahda et Djahid Younsi, secrétaire général d'El Islah, il est clairement dit que les conciliabules ont porté sur les élections présidentielles et que les trois dirigeants ont même abouti a « des idées bien déterminées » s'agissant de cet important rendez-vous électoral. Mais le communiqué reste muet puisqu'il ne soufflera mot sur ces idées se contentant juste de préciser que « ces idées seront exposées aux institutions des partis » concernés. « Les trois dirigeants sont parvenus à une sorte de feuille de route qui doit être soumise, cependant, à l'appréciation des instances des trois partis avant d'être adoptés » note un cadre dirigeant d'un des trois partis de l'AAV. « Les dirigeants de l'AAV considèrent la prochaine échéance comme une opportunité pour le peuple algérien afin de réaliser le changement pacifique auquel il aspire et éviter au pays les risques de dérapages et de chaos » indique le communiqué de l'AAV avant d'ajouter que « pour ce faire il est indispensable de réunir toutes les conditions et les garanties afin que ces élections soient honnêtes transparentes et crédibles et ce pour permettre au pays de bâtir un Etat de droit ». Mais qu'est-ce qui fait tant courir les dirigeants de l'AAV alors que cette élection présidentielle est prévue qu'au mois d'avril 2014 ? En vérité, notent nombre d'observateurs, cela est exclusivement dû à la maladie du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, car les trois partis ne veulent pas être pris de cours par l'évolution de la situation en prenant en considération tous les scénarios possibles. En somme, et même s'ils ne l'ont pas dit explicitement, les dirigeants de l'AAV semblent aussi se préparer à l'éventualité d'une élection présidentielle anticipée, d'où, à l'évidence, cette multiplication des rencontres au sommet. Les concertations dans le camp des islamistes ne sont pas uniquement limitées à l'AAV puisque le nouveau président du MSP, Abderrazak Mokri, est en train de se déployer dans tous les sens pour tenter d'unifier les rangs de la mouvance en prévision de l'élection présidentielle. Il y a juste quelques jours il a rencontré le président du Front de la justice et du developpement, Abdallah Djaballah. Comme il déploie une grande énergie pour la réconciliation avec le Front du changement et tous les dissidents du MSP.