Les partis d'opposition représentés à l'assemblée populaire nationale (APN) ne veulent pas siéger dans les structures de la chambre basse du Parlement. Ils s'acheminent, en effet, vers la reconduction de la même position adoptée l'année dernière lorsque ils ont décidés de boycotter les structures de l'APN. Les partis d'opposition représentés à l'assemblée populaire nationale (APN) ne veulent pas siéger dans les structures de la chambre basse du Parlement. Ils s'acheminent, en effet, vers la reconduction de la même position adoptée l'année dernière lorsque ils ont décidés de boycotter les structures de l'APN. L‘Alliance de l‘Algérie verte (AAV), le Front des forces socialistes (FFS) et le Parti des travailleurs (PT) disent, à l‘unisson, que les conditions les ayant poussé à bouder les structures de l‘assemblée l‘année dernière n‘ont pas changées. En somme rien ne justifie un quelconque changement d‘attitude. L‘AAV a déjà rendu publique sa position. Lors du sommet des dirigeants des trois partis formant cette alliance, tenu jeudi dernier, Abderazak Mokri, président du MSP, Fateh Rebai, secrétaire général d‘Enahda et Djahid Younsi, secrétaire général d‘El Islah, ont décidé de reconduire la décision de boycott de structures de l‘assemblée. Une position qui se justifie par le fait que rien n‘a changé puisque « les mêmes conditions et les mêmes raisons qui ont fait que l‘institution législative est faible et incapable d‘accomplir son rôle législatif sont encore de mises » note en effet le communiqué de l‘alliance des trois partis islamistes. Et c‘est le même son de cloche chez le Parti des travailleurs. « Pourquoi changer de position quand rien n‘a changé ? » s‘est interrogé le président du groupe parlementaire du PT, Djelloul Djoudi. Et à notre interlocuteur, contacté hier, d‘ajouter que « rien ne milite pur un changement puisque l‘APN, qui est la résultante d‘élections contestées puisque entachées d‘innombrables irrégularités, est toujours composée d‘hommes d‘affaires douteux qui sont loin de représenter les aspirations populaires ». La position de l‘AAV et du PT sera certainement celle qu‘adoptera aussi le FFS. « Le groupe parlementaire du FFS maintiendra sa position de boycott » nous a indiqué hier, un député de ce parti. C‘est dire que les souhaits du président de l‘APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, d‘associer les députés de l‘opposition à la gestion des structures de l‘assemblée, n‘ont pas été exaucés. L‘AAV, le FFS et le PT ont, rappelons-le, décidé l‘année dernière de bouder les structures de l‘APN. En somme, depuis l‘investiture de cette législature, qui est issue des élections législatives du 10 mai 2012, les députés de l‘opposition n‘ont pas pris de responsabilités au niveau des commissions permanentes et au sein du bureau de l‘assemblée. Mais cela n‘a pas empêché, cependant, les députés de l‘opposition de participer aux travaux des commissions permanentes spécialisées de la chambre basse du Parlement. Il faut dire que cette attitude de l‘opposition n‘a fait que rajouter au discrédit de l‘assemblée. Il n‘y a que les députés du FLN, du RND et du groupe des indépendants qui font partie de ces structures. L‘opposition, en guise de justification de sa position de boycott, a avancé l‘argument de la fraude qui a entaché les élections législatives du 10 mai 2012. Pour le FFS, à titre d‘exemple, cette position de boycott a pour origine les conditions « ayant marqué l‘élection de l‘assemblé et qui n‘ont pas dégagé une représentation réelle des citoyens » . Notons que l‘APN procède, chaque année, avant la fin de la session de printemps, au renouvellement de ses structures. L‘Alliance de l‘Algérie verte (AAV), le Front des forces socialistes (FFS) et le Parti des travailleurs (PT) disent, à l‘unisson, que les conditions les ayant poussé à bouder les structures de l‘assemblée l‘année dernière n‘ont pas changées. En somme rien ne justifie un quelconque changement d‘attitude. L‘AAV a déjà rendu publique sa position. Lors du sommet des dirigeants des trois partis formant cette alliance, tenu jeudi dernier, Abderazak Mokri, président du MSP, Fateh Rebai, secrétaire général d‘Enahda et Djahid Younsi, secrétaire général d‘El Islah, ont décidé de reconduire la décision de boycott de structures de l‘assemblée. Une position qui se justifie par le fait que rien n‘a changé puisque « les mêmes conditions et les mêmes raisons qui ont fait que l‘institution législative est faible et incapable d‘accomplir son rôle législatif sont encore de mises » note en effet le communiqué de l‘alliance des trois partis islamistes. Et c‘est le même son de cloche chez le Parti des travailleurs. « Pourquoi changer de position quand rien n‘a changé ? » s‘est interrogé le président du groupe parlementaire du PT, Djelloul Djoudi. Et à notre interlocuteur, contacté hier, d‘ajouter que « rien ne milite pur un changement puisque l‘APN, qui est la résultante d‘élections contestées puisque entachées d‘innombrables irrégularités, est toujours composée d‘hommes d‘affaires douteux qui sont loin de représenter les aspirations populaires ». La position de l‘AAV et du PT sera certainement celle qu‘adoptera aussi le FFS. « Le groupe parlementaire du FFS maintiendra sa position de boycott » nous a indiqué hier, un député de ce parti. C‘est dire que les souhaits du président de l‘APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, d‘associer les députés de l‘opposition à la gestion des structures de l‘assemblée, n‘ont pas été exaucés. L‘AAV, le FFS et le PT ont, rappelons-le, décidé l‘année dernière de bouder les structures de l‘APN. En somme, depuis l‘investiture de cette législature, qui est issue des élections législatives du 10 mai 2012, les députés de l‘opposition n‘ont pas pris de responsabilités au niveau des commissions permanentes et au sein du bureau de l‘assemblée. Mais cela n‘a pas empêché, cependant, les députés de l‘opposition de participer aux travaux des commissions permanentes spécialisées de la chambre basse du Parlement. Il faut dire que cette attitude de l‘opposition n‘a fait que rajouter au discrédit de l‘assemblée. Il n‘y a que les députés du FLN, du RND et du groupe des indépendants qui font partie de ces structures. L‘opposition, en guise de justification de sa position de boycott, a avancé l‘argument de la fraude qui a entaché les élections législatives du 10 mai 2012. Pour le FFS, à titre d‘exemple, cette position de boycott a pour origine les conditions « ayant marqué l‘élection de l‘assemblé et qui n‘ont pas dégagé une représentation réelle des citoyens » . Notons que l‘APN procède, chaque année, avant la fin de la session de printemps, au renouvellement de ses structures.