Les manifestations ont dégénéré dans plusieurs villes, faisant un mort accidentel et plusieurs dizaines de blessés. Ils étaient plus de 300.000 à être descendus dans les rues de Rio de Janeiro. Les manifestations ont dégénéré dans plusieurs villes, faisant un mort accidentel et plusieurs dizaines de blessés. Ils étaient plus de 300.000 à être descendus dans les rues de Rio de Janeiro. L'annulation de la hausse des prix des transports en commun n'aura pas calmé les ardeurs des Brésiliens. Ils étaient près d'un million à défiler dans tout le pays ce jeudi soir. Après presque 10 jours de manifestations, les revendications vont, désormais, au-delà du prix des transports. Ces manifestations ont dégénéré dans plusieurs villes, faisant un mort accidentel et plusieurs dizaines de blessés. Ils étaient plus de 300.000 à être descendus dans les rues de Rio de Janeiro. Dans la foule, désormais, les pancartes et les slogans demandent davantage d'investissements dans l'éducation et la santé, deux secteurs largement déficients au Brésil, surtout pour les plus pauvres. Les autorités brésiliennes semblent dépassées par ce mouvement de protestation nationale qu'elles ne comprennent pas. La présidente, Dilma Rousseff, a convoqué ses ministres. Elle veut analyser avec eux les revendications multiples des protestataires. La foule, ce jeudi, brandissait des pancartes et criait des slogans qui exigent davantage d'investissement dans l'éducation et la santé, deux secteurs largement déficients au Brésil, surtout pour les plus pauvres. Beaucoup de critiques également contre la corruption qui, selon les manifestants, gangrène le pays et la classe politique. "Halte à la corruption", "Dehors les politiques", pouvait-on ainsi entendre. C'est un grand coup de balai que les protestataires exigent désormais. Difficile pour le gouvernement de répondre à toutes ces revendications dans l'immédiat. D'autant que le mouvement de protestation se durcit. Dans la capitale brésilienne, les symboles de l'Etat ont été durement attaqués par les manifestants. Ils ont tenté d'envahir le palais présidentiel et le Parlement, avant de mettre le feu à la façade du ministère des Affaires étrangères. En fin de soirée, l'immense manifestation s'est progressivement dissoute à Rio. En marge, des casseurs s'en sont pris à des arrêts de bus et à des boutiques, mise à sac. Une quarantaine de personnes ont été blessées. A Ribeiro Preto, dans l'Etat de Sao Paulo, un manifestant de 18 ans est mort renversé par une voiture, a annoncé la police. L'annulation de la hausse des prix des transports en commun n'aura pas calmé les ardeurs des Brésiliens. Ils étaient près d'un million à défiler dans tout le pays ce jeudi soir. Après presque 10 jours de manifestations, les revendications vont, désormais, au-delà du prix des transports. Ces manifestations ont dégénéré dans plusieurs villes, faisant un mort accidentel et plusieurs dizaines de blessés. Ils étaient plus de 300.000 à être descendus dans les rues de Rio de Janeiro. Dans la foule, désormais, les pancartes et les slogans demandent davantage d'investissements dans l'éducation et la santé, deux secteurs largement déficients au Brésil, surtout pour les plus pauvres. Les autorités brésiliennes semblent dépassées par ce mouvement de protestation nationale qu'elles ne comprennent pas. La présidente, Dilma Rousseff, a convoqué ses ministres. Elle veut analyser avec eux les revendications multiples des protestataires. La foule, ce jeudi, brandissait des pancartes et criait des slogans qui exigent davantage d'investissement dans l'éducation et la santé, deux secteurs largement déficients au Brésil, surtout pour les plus pauvres. Beaucoup de critiques également contre la corruption qui, selon les manifestants, gangrène le pays et la classe politique. "Halte à la corruption", "Dehors les politiques", pouvait-on ainsi entendre. C'est un grand coup de balai que les protestataires exigent désormais. Difficile pour le gouvernement de répondre à toutes ces revendications dans l'immédiat. D'autant que le mouvement de protestation se durcit. Dans la capitale brésilienne, les symboles de l'Etat ont été durement attaqués par les manifestants. Ils ont tenté d'envahir le palais présidentiel et le Parlement, avant de mettre le feu à la façade du ministère des Affaires étrangères. En fin de soirée, l'immense manifestation s'est progressivement dissoute à Rio. En marge, des casseurs s'en sont pris à des arrêts de bus et à des boutiques, mise à sac. Une quarantaine de personnes ont été blessées. A Ribeiro Preto, dans l'Etat de Sao Paulo, un manifestant de 18 ans est mort renversé par une voiture, a annoncé la police.