Le quartier El Emir Abdelkader sis à Sougueur dans la wilaya de Tiaret a vécu, il y a deux jours, un véritable drame lorsqu'une jeune personne atteinte de maladie mentale a frappé jusqu'à la mort son père. En effet, le jeune malade mental âgé de 31 ans répondant au nom de Mohamed s'est dirigé, ce jour-là, à la maison de ses parents et a donné des coups de pieds et de poings à la tête de son père ne lui laissant aucune chance de survivre. Le quartier El Emir Abdelkader sis à Sougueur dans la wilaya de Tiaret a vécu, il y a deux jours, un véritable drame lorsqu'une jeune personne atteinte de maladie mentale a frappé jusqu'à la mort son père. En effet, le jeune malade mental âgé de 31 ans répondant au nom de Mohamed s'est dirigé, ce jour-là, à la maison de ses parents et a donné des coups de pieds et de poings à la tête de son père ne lui laissant aucune chance de survivre. Alertés quelques minutes après par des citoyens, les policiers de la sûreté de Sougueur se sont immédiatement dirigés sur les lieux de l'incident. En arrivant sur la scène de crime, les policiers ont découvert le corps sans vie de la victime et des traces de violences ont été constatées au niveau du thorax de la victime ainsi que des flaques de sang. Entamant très vite des recherches pour arrêter le fils de la victime, l'auteur du crime selon des témoignages de citoyens qui étaient présents au moment de l'acte, les policiers ont localisé l'assaillant qui a été arrêté et emmené au siège de la sûreté. Ce dernier, un malade mental, a avoué aux policiers son acte tout en expliquant aux enquêteurs que c'est à partir d'une dispute verbale entre lui et son père qu'il a perdu ses nerfs en frappant, sans y penser, son père ce qui a entraîné sa mort. Poursuivant leur enquête, avec la famille du défunt, les policiers ont été informés par les membres de ladite famille que le courant ne passait plus entre le père et son fils et que des disputes verbales, parfois violentes avaient eu lieu entre les deux hommes avant que le fils ne passe à l'acte final en tuant son père. La victime âgée de 65 ans, répondant aux initiales de K. A, a été surprise par son fils au moment où elle sortait de la maison et c'est là qu'elle a rendu son âme. Enfin, il faut souligner que le jeune assaillant possède un dossier médical qui atteste qu'il était à 100% handicapé mental. Toutefois, l'enquête des policiers n'a pas encore livré tous ses secrets sur l'état psychique réel de l'assaillant au moment où il a commis son crime, ce qui a nécessité son incarcération en attendant les résultats finaux de l'enquête. Alertés quelques minutes après par des citoyens, les policiers de la sûreté de Sougueur se sont immédiatement dirigés sur les lieux de l'incident. En arrivant sur la scène de crime, les policiers ont découvert le corps sans vie de la victime et des traces de violences ont été constatées au niveau du thorax de la victime ainsi que des flaques de sang. Entamant très vite des recherches pour arrêter le fils de la victime, l'auteur du crime selon des témoignages de citoyens qui étaient présents au moment de l'acte, les policiers ont localisé l'assaillant qui a été arrêté et emmené au siège de la sûreté. Ce dernier, un malade mental, a avoué aux policiers son acte tout en expliquant aux enquêteurs que c'est à partir d'une dispute verbale entre lui et son père qu'il a perdu ses nerfs en frappant, sans y penser, son père ce qui a entraîné sa mort. Poursuivant leur enquête, avec la famille du défunt, les policiers ont été informés par les membres de ladite famille que le courant ne passait plus entre le père et son fils et que des disputes verbales, parfois violentes avaient eu lieu entre les deux hommes avant que le fils ne passe à l'acte final en tuant son père. La victime âgée de 65 ans, répondant aux initiales de K. A, a été surprise par son fils au moment où elle sortait de la maison et c'est là qu'elle a rendu son âme. Enfin, il faut souligner que le jeune assaillant possède un dossier médical qui atteste qu'il était à 100% handicapé mental. Toutefois, l'enquête des policiers n'a pas encore livré tous ses secrets sur l'état psychique réel de l'assaillant au moment où il a commis son crime, ce qui a nécessité son incarcération en attendant les résultats finaux de l'enquête.