Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Haraoubia a mis, dimanche à Alger, l'accent sur la nécessité de "renouveler le partenariat entre l'Algérie et la Tunisie dans le domaine de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique pour répondre aux aspirations des chercheurs et partenaires socio-économiques des deux pays". Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Haraoubia a mis, dimanche à Alger, l'accent sur la nécessité de "renouveler le partenariat entre l'Algérie et la Tunisie dans le domaine de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique pour répondre aux aspirations des chercheurs et partenaires socio-économiques des deux pays". Cette rencontre a pour objectif de s'interroger sur les capacités des systèmes d'enseignement supérieur et de recherche scientifique à assurer une formation de qualité, le développement de la recherche et la promotion de l'innovation, a indiqué le ministre lors des travaux de la conférence conjointe algéro-tunisienne des universités. Rappelant que la conférence conjointe "s'est élargie, pour la première fois, en plus des recteurs des universités, à des représentants des secteurs socio-économiques entre les deux pays", le ministre a précisé qu'elle est appelée à "adopter une nouvelle vision dans le processus de coopération algéro-tunisien fondé sur la complémentarité et la solidarité". La rencontre, a-t-il ajouté, permettra d'examiner plusieurs thèmes stratégiques relatifs au secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique visant à conforter une dynamique de coopération dans ce domaine. Outre la définition des domaines prioritaires de coopération, la conférence à pour objectif de devenir "un véritable espace de concertation pour débattre et traiter des sujets liés à la coopération entre les deux pays dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique à l'instar des systèmes d'excellence et la relation entre l'université, l'entreprise, l'emploi, le management et la bonne gouvernance". Le ministre a appelé à la "relance de cette conférence en organisant une réunion une fois par an en alternance entre les deux pays avec les représentants des ministères et institutions de l'enseignement supérieur en associant des opérateurs économiques et sociaux des deux pays". La conférence, a-t-il estimé, constitue "un terrain fertile pour l'échange d'expériences dans le domaine de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique qui s'est ouvert sur les plans économique et social d'autant que ces dernières années ont été marquées par une dynamique continue et de qualité". Pour sa part, le ministre tunisien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Moncef Ben Salem a préconisé le "renforcement" de la coopération conjointe dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour être en adéquation avec les développements enregistrés dans les pays développés notamment en Europe". "Les deux pays doivent travailler ensemble pour réaliser une action conjointe" dans ce domaine", a précisé le ministre tunisien soulignant l'importance d'unifier les programmes d'enseignement dans la perspective d'une complémentarité maghrébine dans le domaine scientifique afin de pouvoir s'affirmer à l'image des pays européens. Les travaux de la conférence se poursuivent à huis clos pour examiner les voies et moyens à même d'assurer la qualité, d'augmenter les flux des étudiants vers l'enseignement supérieur, construire des formations communes (Master, Doctorat) et actualiser les accords de coopération entre les universités. La rencontre qui prendra fin plus tard dans la journée sera sanctionnée par une série de recommandations qui auront un "impact positif sur le renforcement des relations de coopération entre les deux pays dans le domaine de la recherche scientifique", a encore souligné M. Haraoubia. Cette rencontre a pour objectif de s'interroger sur les capacités des systèmes d'enseignement supérieur et de recherche scientifique à assurer une formation de qualité, le développement de la recherche et la promotion de l'innovation, a indiqué le ministre lors des travaux de la conférence conjointe algéro-tunisienne des universités. Rappelant que la conférence conjointe "s'est élargie, pour la première fois, en plus des recteurs des universités, à des représentants des secteurs socio-économiques entre les deux pays", le ministre a précisé qu'elle est appelée à "adopter une nouvelle vision dans le processus de coopération algéro-tunisien fondé sur la complémentarité et la solidarité". La rencontre, a-t-il ajouté, permettra d'examiner plusieurs thèmes stratégiques relatifs au secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique visant à conforter une dynamique de coopération dans ce domaine. Outre la définition des domaines prioritaires de coopération, la conférence à pour objectif de devenir "un véritable espace de concertation pour débattre et traiter des sujets liés à la coopération entre les deux pays dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique à l'instar des systèmes d'excellence et la relation entre l'université, l'entreprise, l'emploi, le management et la bonne gouvernance". Le ministre a appelé à la "relance de cette conférence en organisant une réunion une fois par an en alternance entre les deux pays avec les représentants des ministères et institutions de l'enseignement supérieur en associant des opérateurs économiques et sociaux des deux pays". La conférence, a-t-il estimé, constitue "un terrain fertile pour l'échange d'expériences dans le domaine de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique qui s'est ouvert sur les plans économique et social d'autant que ces dernières années ont été marquées par une dynamique continue et de qualité". Pour sa part, le ministre tunisien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Moncef Ben Salem a préconisé le "renforcement" de la coopération conjointe dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour être en adéquation avec les développements enregistrés dans les pays développés notamment en Europe". "Les deux pays doivent travailler ensemble pour réaliser une action conjointe" dans ce domaine", a précisé le ministre tunisien soulignant l'importance d'unifier les programmes d'enseignement dans la perspective d'une complémentarité maghrébine dans le domaine scientifique afin de pouvoir s'affirmer à l'image des pays européens. Les travaux de la conférence se poursuivent à huis clos pour examiner les voies et moyens à même d'assurer la qualité, d'augmenter les flux des étudiants vers l'enseignement supérieur, construire des formations communes (Master, Doctorat) et actualiser les accords de coopération entre les universités. La rencontre qui prendra fin plus tard dans la journée sera sanctionnée par une série de recommandations qui auront un "impact positif sur le renforcement des relations de coopération entre les deux pays dans le domaine de la recherche scientifique", a encore souligné M. Haraoubia.