La célébration du 51e anniversaire de l'Indépendance et de la fête de la Jeunesse a pris cette année quelques couleurs à la faveur d'une impulsion plus créative de la part des autorités locales. La célébration du 51e anniversaire de l'Indépendance et de la fête de la Jeunesse a pris cette année quelques couleurs à la faveur d'une impulsion plus créative de la part des autorités locales. Au niveau de la capitale, l'APC d'Alger-Centre avait déjà donné le ton, en montrant une farouche détermination à vouloir créer et ce, en temps normal de l'ambiance et de l'animation, dans un effort soutenu en vue d'injecter de la convivialité dans l'espace urbain. Les services municipaux, les cafés et les commerces d'Alger se sont ainsi vus enjoints de ne fermer qu'à une heure tardive de la nuit, de telle sorte à permettre le déroulement d'une vie nocturne, dont les Algérois, il faut le dire, ont perdu jusqu'au souvenir. Si les animations sur les places publiques à l'occasion des fêtes nationales ont toujours existé, elles n'ont jamais pu survivre néanmoins plus longtemps, alors qu'une saison au moins, l'estivale s'entend, peut être propice pour abriter des réjouissances les plus diverses, surtout que les traditions très établies dans le pays, ont consacré l'été comme saison des festivité, ne serait-ce que parce qu'on y fête les mariages. Toujours est-il que l'esplanade Ryad-el-Feth (Oref) n'a pas dérogé à la règle puisqu'elle a vibré tout au long de la nuit du jeudi à vendredi un concert de musique animé par un groupe formé par dix artistes. L'esplanade de la Grande-Poste au centre de la capitale a attiré aussi la grande foule pendant les soirées de mercredi et de jeudi où s'est produite une pléiade d'artistes dont Zebda. Dans l'intérieur du pays, Tizi-Ouzou s'est distinguée plus particulièrement en organisant un défilé à travers les principales artères de la ville. Des milliers de personnes ont arpenté deux kilomètres environ, en empruntant l'itinéraire séparant le lycée Stambouli et le stade du 1er novembre. L'APS observe que « cette célébration était auparavant limitée à des cérémonies organisées dans des salles fermées ». Il est vrai que la capitale de la Kabylie avait encore une raison supplémentaire pour célébrer avec faste la fête de l'indépendance, du moment qu'elle accueillait la 8e édition du festival de danse arabo-africaine dont le coup d'envoi avait été donné le mercredi. Dans l'est du pays, les Constantinois, notamment, ont été égayés à l'occasion de la fête de l'Indépendance par la mise en service du tramway qu'ils attendaient du reste depuis de longs mois. La capitale de l'Est a organisé également son défilé, lequel ne manquait pas de panache : équipes sportives, jeunes scouts, citoyens et cavaliers en tenue traditionnelle, ont sillonné les artères de la ville. Le clou de ces festivités a été sans conteste l'organisation sur le plateau d'Ain El-Bey d'un spectacle de fantasia qui a réuni plus de 200 cavaliers venus des quatre coins du pays. Au niveau de la capitale, l'APC d'Alger-Centre avait déjà donné le ton, en montrant une farouche détermination à vouloir créer et ce, en temps normal de l'ambiance et de l'animation, dans un effort soutenu en vue d'injecter de la convivialité dans l'espace urbain. Les services municipaux, les cafés et les commerces d'Alger se sont ainsi vus enjoints de ne fermer qu'à une heure tardive de la nuit, de telle sorte à permettre le déroulement d'une vie nocturne, dont les Algérois, il faut le dire, ont perdu jusqu'au souvenir. Si les animations sur les places publiques à l'occasion des fêtes nationales ont toujours existé, elles n'ont jamais pu survivre néanmoins plus longtemps, alors qu'une saison au moins, l'estivale s'entend, peut être propice pour abriter des réjouissances les plus diverses, surtout que les traditions très établies dans le pays, ont consacré l'été comme saison des festivité, ne serait-ce que parce qu'on y fête les mariages. Toujours est-il que l'esplanade Ryad-el-Feth (Oref) n'a pas dérogé à la règle puisqu'elle a vibré tout au long de la nuit du jeudi à vendredi un concert de musique animé par un groupe formé par dix artistes. L'esplanade de la Grande-Poste au centre de la capitale a attiré aussi la grande foule pendant les soirées de mercredi et de jeudi où s'est produite une pléiade d'artistes dont Zebda. Dans l'intérieur du pays, Tizi-Ouzou s'est distinguée plus particulièrement en organisant un défilé à travers les principales artères de la ville. Des milliers de personnes ont arpenté deux kilomètres environ, en empruntant l'itinéraire séparant le lycée Stambouli et le stade du 1er novembre. L'APS observe que « cette célébration était auparavant limitée à des cérémonies organisées dans des salles fermées ». Il est vrai que la capitale de la Kabylie avait encore une raison supplémentaire pour célébrer avec faste la fête de l'indépendance, du moment qu'elle accueillait la 8e édition du festival de danse arabo-africaine dont le coup d'envoi avait été donné le mercredi. Dans l'est du pays, les Constantinois, notamment, ont été égayés à l'occasion de la fête de l'Indépendance par la mise en service du tramway qu'ils attendaient du reste depuis de longs mois. La capitale de l'Est a organisé également son défilé, lequel ne manquait pas de panache : équipes sportives, jeunes scouts, citoyens et cavaliers en tenue traditionnelle, ont sillonné les artères de la ville. Le clou de ces festivités a été sans conteste l'organisation sur le plateau d'Ain El-Bey d'un spectacle de fantasia qui a réuni plus de 200 cavaliers venus des quatre coins du pays.