Lundi, pendant que le festival gnaoui animait de ses pulsations puissantes l'espace Agora de l'Oref, une foule familiale bigarrée se pressait sur la grande esplanade autour d'un autre spectacle. Ce qui fait accourir depuis plusieurs semaines déjà de nombreuses familles. Dès la tombée de la nuit, ce sont les spectacles de clôture des semaines culturelles de wilaya, un des volets de la manifestation d'Alger, capitale de la culture arabe 2007. Durant la journée, sous d'immenses khaïmates, des expositions artisanales et d'art plastique, œuvres des artistes des différentes régions du pays. Lundi soir, les artistes des wilayas de Laghouat et Relizane ont attiré une affluence record. Des chants dans le plus pur style bédouin ont résonné longtemps dans la nuit, assaisonnés de vigoureuses semonces de baroud. Pour la grande joie des enfants, dromadaires, chevaux barbe et fennecs étaient également de la fête. Le joyau de ce bestiaire saharien était sans conteste un bébé méhari nullement intimidé par les avances des enfants de son âge. Sous une tente saharienne l'incontournable thé à la menthe était servi. Avant les tours de chant les spectateurs ont pu apprécier une authentique fantasia et des danses de Laghouat. Lundi, pendant que le festival gnaoui animait de ses pulsations puissantes l'espace Agora de l'Oref, une foule familiale bigarrée se pressait sur la grande esplanade autour d'un autre spectacle. Ce qui fait accourir depuis plusieurs semaines déjà de nombreuses familles. Dès la tombée de la nuit, ce sont les spectacles de clôture des semaines culturelles de wilaya, un des volets de la manifestation d'Alger, capitale de la culture arabe 2007. Durant la journée, sous d'immenses khaïmates, des expositions artisanales et d'art plastique, œuvres des artistes des différentes régions du pays. Lundi soir, les artistes des wilayas de Laghouat et Relizane ont attiré une affluence record. Des chants dans le plus pur style bédouin ont résonné longtemps dans la nuit, assaisonnés de vigoureuses semonces de baroud. Pour la grande joie des enfants, dromadaires, chevaux barbe et fennecs étaient également de la fête. Le joyau de ce bestiaire saharien était sans conteste un bébé méhari nullement intimidé par les avances des enfants de son âge. Sous une tente saharienne l'incontournable thé à la menthe était servi. Avant les tours de chant les spectateurs ont pu apprécier une authentique fantasia et des danses de Laghouat.