Une équipe de chercheurs de Georgia Tech a développé un nouveau genre de matériau tactile. Grâce à des milliers de poils mécaniques, ce procédé ouvrira la voie à des robots dotés d'un sens de toucher aussi sensible qu'un humain.Il s'agit d'une peau artificielle réactive capable de déchiffrer les empreintes digitales. Une équipe de chercheurs de Georgia Tech a développé un nouveau genre de matériau tactile. Grâce à des milliers de poils mécaniques, ce procédé ouvrira la voie à des robots dotés d'un sens de toucher aussi sensible qu'un humain.Il s'agit d'une peau artificielle réactive capable de déchiffrer les empreintes digitales. Cette sensibilité résulte d'un ensemble de capteurs piézoélectriques connus sous le nom de « taxels ». En mesure de convertir le mouvement mécanique en signaux électroniques, ils renferment plus de 1.500 nanofils de 500 à 600 nanomètres de diamètre. Le rôle de ces transistors consiste à repérer les changements en cas de pression. La même densité que la peau humaine Les chercheurs ont réalisé plusieurs tableaux placés de manière verticale. En émettant des signaux électriques, ces « taxels » sont agencés entre des couches d'oxyde d'indium-étain et d'or puis enveloppés dans du parylène, une matière qui résistante à l'humidité. La combinaison réalisée dispose d'une densité de 234 pixels par pouce, ce qui équivaut à la sensibilité d'un doigt humain. Flexible et transparente, cette peau reste intacte même après une immersion dans l'eau salée pendant 24 heures. Le projet est mené par Zhong Lin Wang, Wenzhuo Wu et Xiaonan Wen et inclue aussi la collaboration de la Darpa. Cette sensibilité résulte d'un ensemble de capteurs piézoélectriques connus sous le nom de « taxels ». En mesure de convertir le mouvement mécanique en signaux électroniques, ils renferment plus de 1.500 nanofils de 500 à 600 nanomètres de diamètre. Le rôle de ces transistors consiste à repérer les changements en cas de pression. La même densité que la peau humaine Les chercheurs ont réalisé plusieurs tableaux placés de manière verticale. En émettant des signaux électriques, ces « taxels » sont agencés entre des couches d'oxyde d'indium-étain et d'or puis enveloppés dans du parylène, une matière qui résistante à l'humidité. La combinaison réalisée dispose d'une densité de 234 pixels par pouce, ce qui équivaut à la sensibilité d'un doigt humain. Flexible et transparente, cette peau reste intacte même après une immersion dans l'eau salée pendant 24 heures. Le projet est mené par Zhong Lin Wang, Wenzhuo Wu et Xiaonan Wen et inclue aussi la collaboration de la Darpa.