Le Conseil des ministres sahraoui a appelé la communauté internationale à "intervenir en urgence" pour mettre un terme à la répression marocaine contre la population sahraouie dans les territoires occupés, a rapporté dimanche l'agence de presse sahraouie SPS. Le Conseil des ministres sahraoui a appelé la communauté internationale à "intervenir en urgence" pour mettre un terme à la répression marocaine contre la population sahraouie dans les territoires occupés, a rapporté dimanche l'agence de presse sahraouie SPS. Selon un communiqué rendu public à l'issue de la réunion du conseil des ministres, l'accent a été mis sur la nécessité "d'accélérer la mise en place d'un mécanisme onusien qui permette à la Minurso de protéger et surveiller les droits de l'Homme au Sahara occidental, selon la même source. Par ailleurs, le communiqué a rappelé "le procès militaire arbitraire" intenté par l'Etat marocain contre des civils sahraouis, appelant les Nations unies à assumer leurs responsabilités dans la décolonisation du Sahara occidental à travers l'organisation d'un référendum pour l'autodétermination du peuple sahraoui et des actions en faveur de la libération des détenus de "Gdeim Izik" ainsi que l'ensemble des détenus politiques sahraouis. Le conseil des ministres sahraui a exigé que "le sort de tous les disparus sahraouis soit dévoilé". Il a également mis en garde contre "les politiques de l'Etat marocain qui trangressent la légalité internationale en occupant militairement et illégalement des parties de la République sahraouie et contribuent dangereusement à la prolifération du fléau de la drogue dans la région". Le Conseil ministériel a rappelé que le Maroc était le plus grand producteur et exportateur de cannabis dans le monde, mettant l'accent sur les repercussions sur les pays voisins, "de ce commerce illicite qui encourage le crime organisé et les groupes terroristes, menaçant ainsi la sécurité et la stabilité de la région", ajoute la même source. Selon un communiqué rendu public à l'issue de la réunion du conseil des ministres, l'accent a été mis sur la nécessité "d'accélérer la mise en place d'un mécanisme onusien qui permette à la Minurso de protéger et surveiller les droits de l'Homme au Sahara occidental, selon la même source. Par ailleurs, le communiqué a rappelé "le procès militaire arbitraire" intenté par l'Etat marocain contre des civils sahraouis, appelant les Nations unies à assumer leurs responsabilités dans la décolonisation du Sahara occidental à travers l'organisation d'un référendum pour l'autodétermination du peuple sahraoui et des actions en faveur de la libération des détenus de "Gdeim Izik" ainsi que l'ensemble des détenus politiques sahraouis. Le conseil des ministres sahraui a exigé que "le sort de tous les disparus sahraouis soit dévoilé". Il a également mis en garde contre "les politiques de l'Etat marocain qui trangressent la légalité internationale en occupant militairement et illégalement des parties de la République sahraouie et contribuent dangereusement à la prolifération du fléau de la drogue dans la région". Le Conseil ministériel a rappelé que le Maroc était le plus grand producteur et exportateur de cannabis dans le monde, mettant l'accent sur les repercussions sur les pays voisins, "de ce commerce illicite qui encourage le crime organisé et les groupes terroristes, menaçant ainsi la sécurité et la stabilité de la région", ajoute la même source.