L'heure est désormais aux bilans pour l'ensemble des acteurs du système éducatif. Après une année relativement tumultueuse le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest), dresse le bilan de l'exercice 2012 2013. L'heure est désormais aux bilans pour l'ensemble des acteurs du système éducatif. Après une année relativement tumultueuse le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest), dresse le bilan de l'exercice 2012 2013. Le Conseil national de ce syndicat, qui s'est ouvert aux enseignants des deux autres paliers, à savoir le primaire et le secondaire, considère d'emblée que le ministère de l'Education nationale n'a pas tenu toutes ses promesses et engagements. En termes plus clairs les revendications du syndicat n'ont pas été satisfaites. Le Cnapest remet ainsi sur la table six grands dossiers sur lesquels le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, devrait impertinemment se pencher sérieusement dès l'entame de la prochaine année scolaire 2013-2014. Des dossiers récurrents, à vrai dire, puisque ce n'est pas la première fois que le syndicat en parle. En effet, qu'il s'agisse de la question de la prime de zone pour le Sud et les Hauts- Plateaux, en passant par celles du logement, du statut particulier ou de la médecine de travail, le Cnapest en a toujours fait son cheval de bataille ces dernières années. Des revendications que partagent aussi les autres syndicats du secteur et pour lesquelles, d'ailleurs, plusieurs grèves ont été initiées. Le Cnapest remet ainsi au goût du jour la revendication relative à la prime de zone pour le Sud et les Hauts-Plateaux. Des grèves cycliques ont été organisées durant l'année scolaire, notamment, dans le sud du pays et les Hauts-Plateaux, mais en vain. Le Cnapest, qui partage la même préoccupation que les autres syndicats, revendique le calcul de la prime de zone en fonction du nouveau salaire de base et l'application de l'effet rétractif lors de son octroi. Les syndicats reprochent au ministère de contribuer à verser les indemnités de zone sur la base de l'ancien salaire de base. L'autre gros problème est soulevé par le conseil national du Cnapest est celui du logement. Le syndicat interpelle le ministère afin de faire vite et d'attribuer des logements sociaux décents pour les enseignants du sud du pays. Le Cnapest exige en outre que les enseignants aient accès à tous les types de logement car ces derniers sont considérés comme des outils pédagogiques. De plus il est aussi question, dans cette plateforme de revendications du statut particulier. Les syndicats de l'éducation nationale sont unanimes à considérer que le nouveau statut particulier en vigueur depuis quelques années déjà est loin de répondre aux attentes. Et c'est pourquoi sa révision est devenue une exigence. Mais le ministère de l'Education a toujours soutenu que cette revendication ne relève pas de seules compétences puisque cela dépend du gouvernement. Sur la médecine de travail le Cnapest demande expressément l'application de tous les textes juridiques y afférents. Comme il revendique les postes « adaptés » pour certains enseignants. Le syndicat n'omet pas, enfin, de revenir sur le scandale de l'examen du baccalauréat de cette année en demandant aux autorités de prendre les mesures nécessaires afin de lutter cotre le phénomène de la violence scolaire et de la triche. Le Conseil national de ce syndicat, qui s'est ouvert aux enseignants des deux autres paliers, à savoir le primaire et le secondaire, considère d'emblée que le ministère de l'Education nationale n'a pas tenu toutes ses promesses et engagements. En termes plus clairs les revendications du syndicat n'ont pas été satisfaites. Le Cnapest remet ainsi sur la table six grands dossiers sur lesquels le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, devrait impertinemment se pencher sérieusement dès l'entame de la prochaine année scolaire 2013-2014. Des dossiers récurrents, à vrai dire, puisque ce n'est pas la première fois que le syndicat en parle. En effet, qu'il s'agisse de la question de la prime de zone pour le Sud et les Hauts- Plateaux, en passant par celles du logement, du statut particulier ou de la médecine de travail, le Cnapest en a toujours fait son cheval de bataille ces dernières années. Des revendications que partagent aussi les autres syndicats du secteur et pour lesquelles, d'ailleurs, plusieurs grèves ont été initiées. Le Cnapest remet ainsi au goût du jour la revendication relative à la prime de zone pour le Sud et les Hauts-Plateaux. Des grèves cycliques ont été organisées durant l'année scolaire, notamment, dans le sud du pays et les Hauts-Plateaux, mais en vain. Le Cnapest, qui partage la même préoccupation que les autres syndicats, revendique le calcul de la prime de zone en fonction du nouveau salaire de base et l'application de l'effet rétractif lors de son octroi. Les syndicats reprochent au ministère de contribuer à verser les indemnités de zone sur la base de l'ancien salaire de base. L'autre gros problème est soulevé par le conseil national du Cnapest est celui du logement. Le syndicat interpelle le ministère afin de faire vite et d'attribuer des logements sociaux décents pour les enseignants du sud du pays. Le Cnapest exige en outre que les enseignants aient accès à tous les types de logement car ces derniers sont considérés comme des outils pédagogiques. De plus il est aussi question, dans cette plateforme de revendications du statut particulier. Les syndicats de l'éducation nationale sont unanimes à considérer que le nouveau statut particulier en vigueur depuis quelques années déjà est loin de répondre aux attentes. Et c'est pourquoi sa révision est devenue une exigence. Mais le ministère de l'Education a toujours soutenu que cette revendication ne relève pas de seules compétences puisque cela dépend du gouvernement. Sur la médecine de travail le Cnapest demande expressément l'application de tous les textes juridiques y afférents. Comme il revendique les postes « adaptés » pour certains enseignants. Le syndicat n'omet pas, enfin, de revenir sur le scandale de l'examen du baccalauréat de cette année en demandant aux autorités de prendre les mesures nécessaires afin de lutter cotre le phénomène de la violence scolaire et de la triche.