Le secrétaire d'Etat, chargé de la communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli, a exhorté, hier, depuis le port de Bejaia, les autorités portuaires et aéroportuaires nationales à faire du dispositif d'amélioration des conditions d'accueil et de transit de la communauté nationale établie à l'étranger un procédé valable pas seulement en période estivale, mais durant toute l'année. Le secrétaire d'Etat, chargé de la communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli, a exhorté, hier, depuis le port de Bejaia, les autorités portuaires et aéroportuaires nationales à faire du dispositif d'amélioration des conditions d'accueil et de transit de la communauté nationale établie à l'étranger un procédé valable pas seulement en période estivale, mais durant toute l'année. "Il faut que les facilitations deviennent une stratégie d'action valables pas seulement en période estivale mais durant toute l'année", a-t-il souligné, notant que "cette démarche relève d'un droit constitutionnel". Intervenant devant le comité de facilitation des port et aéroport de Béjaia, le secrétaire d'Etat a tenu néanmoins à souligner que cette stratégie, mise en œuvre depuis quelques années déjà, ne se résume pas aux conditions d'accueil des émigrés dans les différentes plateformes de voyages, mais englobe d'autres volets, dont l'accès au logement, la célérité dans l'obtention rapide des documents de voyage ou d'état civil, et l'accès à l'information sur l'état du pays et les moyens mobilisés pour leur permettre de s'associer à son développement. "La communauté nationale est un élément moteur dans le développement économique et touristique. Il faut lui en assurer toutes les conditions de promotion", a-t-il ajouté, avant d'annoncer qu'un sondage sur les actions à conduire ou à parfaire, dans cette perspective, se réalise au niveau de son département et devrait à terme aider à créer un climat plus favorable et plus intégratif, qu'il s'agisse de mobilité, d'investissements ou de recherches universitaires. Durant cette "escale" à Béjaia, M.Sahli en a profité pour superviser les opérations de débarquement d'un car-ferry, le Tassili II, en provenance de Marseille (France), avec à son bord 564 passagers et 208 véhicules. Le ministre s'est enquis des conditions de la traversée et des moyens mis à la disposition des voyageurs pour éviter les attentes au port, notamment la distribution des documents relatifs aux formalités de douanes et de police, délivrés a priori sur le navire et les informations préalablement fournies sur les exigences de passage aux frontières. Le ministre s'est félicité des conditions mises en place et qui ont permis de traiter l'ensemble du bateau en moins de deux heures de temps, instauré comme exigence à atteindre pendant cette saison pour les navires à charge pleine, soit 1400 voyageurs et 500 véhicules. Depuis le début de l'été, l'afflux reste cependant modeste, n'ayant enregistré au bout de trois escales, que près de 1500 voyageurs et 500 véhicules, selon un bilan de l'Entreprise portuaire de Bejaia (EPB). Visiblement le gros des effectifs a préféré transiter par l'aéroport, dont l'activité est jugé "intense" et qui s'apprête à renforcer ses navettes, avec l'inscription au programme de 26 vols internationaux dont deux (2) charters, assurés par les compagnies "Tassili Airlines" et "Jet-Fly", à partir respectivement de Saint-Etienne (France) et Charleroi (Belgique). Le ministre a supervisé, à cet égard, l'arrivée d'un vol d'Air Algérie depuis Paris et constaté de près le dispositif de facilitation prévalant à l'accueil. "Il faut que les facilitations deviennent une stratégie d'action valables pas seulement en période estivale mais durant toute l'année", a-t-il souligné, notant que "cette démarche relève d'un droit constitutionnel". Intervenant devant le comité de facilitation des port et aéroport de Béjaia, le secrétaire d'Etat a tenu néanmoins à souligner que cette stratégie, mise en œuvre depuis quelques années déjà, ne se résume pas aux conditions d'accueil des émigrés dans les différentes plateformes de voyages, mais englobe d'autres volets, dont l'accès au logement, la célérité dans l'obtention rapide des documents de voyage ou d'état civil, et l'accès à l'information sur l'état du pays et les moyens mobilisés pour leur permettre de s'associer à son développement. "La communauté nationale est un élément moteur dans le développement économique et touristique. Il faut lui en assurer toutes les conditions de promotion", a-t-il ajouté, avant d'annoncer qu'un sondage sur les actions à conduire ou à parfaire, dans cette perspective, se réalise au niveau de son département et devrait à terme aider à créer un climat plus favorable et plus intégratif, qu'il s'agisse de mobilité, d'investissements ou de recherches universitaires. Durant cette "escale" à Béjaia, M.Sahli en a profité pour superviser les opérations de débarquement d'un car-ferry, le Tassili II, en provenance de Marseille (France), avec à son bord 564 passagers et 208 véhicules. Le ministre s'est enquis des conditions de la traversée et des moyens mis à la disposition des voyageurs pour éviter les attentes au port, notamment la distribution des documents relatifs aux formalités de douanes et de police, délivrés a priori sur le navire et les informations préalablement fournies sur les exigences de passage aux frontières. Le ministre s'est félicité des conditions mises en place et qui ont permis de traiter l'ensemble du bateau en moins de deux heures de temps, instauré comme exigence à atteindre pendant cette saison pour les navires à charge pleine, soit 1400 voyageurs et 500 véhicules. Depuis le début de l'été, l'afflux reste cependant modeste, n'ayant enregistré au bout de trois escales, que près de 1500 voyageurs et 500 véhicules, selon un bilan de l'Entreprise portuaire de Bejaia (EPB). Visiblement le gros des effectifs a préféré transiter par l'aéroport, dont l'activité est jugé "intense" et qui s'apprête à renforcer ses navettes, avec l'inscription au programme de 26 vols internationaux dont deux (2) charters, assurés par les compagnies "Tassili Airlines" et "Jet-Fly", à partir respectivement de Saint-Etienne (France) et Charleroi (Belgique). Le ministre a supervisé, à cet égard, l'arrivée d'un vol d'Air Algérie depuis Paris et constaté de près le dispositif de facilitation prévalant à l'accueil.