A l'instar de son frère ennemi, le FLN, le RND est empêtré lui aussi dans une profonde crise. Depuis la démission d'Ahmed Ouyahia de son poste de secrétaire général, rien ne va plus, en effet, au sein de ce parti. A l'instar de son frère ennemi, le FLN, le RND est empêtré lui aussi dans une profonde crise. Depuis la démission d'Ahmed Ouyahia de son poste de secrétaire général, rien ne va plus, en effet, au sein de ce parti. Et même Abdelkader Bensalah, qui assure l'intérim du secrétariat général, n'arrive plus malgré son aura à concilier les positions des uns et des autres, tant les divergences semblent assez profondes. Le mouvement de « redressement » du parti, qui a été à l'origine du départ d'Ahmed Ouyahia, ne s'entend plus désormais avec Abdelkader Bensalah. Les deux parties entretiennent des rapports difficiles qui n'ont fait qu'empirer au fil du temps au point d'en arriver à un point de non retour, selon ce qui a filtré récemment comme informations. Le mouvement de redressement, conduit pour rappel par l'ancien ministre, Yahia Guidoum, aurait ainsi déclaré ouvertement la guerre à l'autorité de Bensalah. Yahia Guidoum, Bakhti Belaib, Tayeb Zitouni, auraient ainsi quitté la commission technique, qui fait pratiquement office de bureau national provisoire qui dirige les affaires du parti. Une attitude qui confirme que le malaise est profond, ce d'autant que les animateurs de ce mouvement, menacent d'entrer de nouveau en dissidence. Les contestataires reprochent toujours à Abdelkader Bensalah son manque d'impartialité dans le conflit interne puisque, à en croire leurs accusations, il aurait un net penchant pour les partisans de l'ex-secrétaire général, Ahmed Ouyahia. C'est ainsi qu'il accuse Bensalah d'avoir manqué "à son engagement qui consistait en l'interdiction faite aux membres de la Commission nationale de préparation du congrès de siéger au sein des commissions de wilayas", selon la même source. IL est aussi reproché à Abdelkader Bensalah de tergiverser aussi dans la question des coordonnateurs de wilayas. Ces derniers seraient, selon les amis de Yahia Guidoum, tous en faveur d'Ahmed Ouyahia. Bensalah n'a pas voulu nommer de nouveaux coordinateurs, de crainte d'envenimer davantage les choses. La hantise des redresseurs serait que les membres de la Commission nationale de préparation du congrès, influent sur le choix des délégués au prochain congrès prévu, pour rappel, les 26, 27 et 28 décembre prochain. Car ce sont les délégués au congrès qui feront pencher la balance d'un côté ou de l'autre. C'est à ce niveau que réside le véritable enjeu de la bataille en sourdine que se livrent les différentes parties. La formation des commissions de wilaya qui auront à charge de préparer les assemblées générales et même par la suite les congrès régionaux, est donc objet de moult manœuvres. Des pressions et des manœuvres qui placent Abdelkader Besalah dans une inconfortable posture, lui qui voudrait surtout préserver l'image de rassembleur de tous les militants du RND. Cette crise du RND est similaire en tous points de vues à celle du FLN. Les deux partis n'arrivent pas élire les successeurs de Belkhadem et d'Ouyahia. Ce qui ne semble pas être une mince affaire, surtout lorsque l'on sait que ces deux partis pèsent lourd dans la balance en perspective des élections présidentielles de 2014 et les manœuvres autour de cet événement politique majeur. Et même Abdelkader Bensalah, qui assure l'intérim du secrétariat général, n'arrive plus malgré son aura à concilier les positions des uns et des autres, tant les divergences semblent assez profondes. Le mouvement de « redressement » du parti, qui a été à l'origine du départ d'Ahmed Ouyahia, ne s'entend plus désormais avec Abdelkader Bensalah. Les deux parties entretiennent des rapports difficiles qui n'ont fait qu'empirer au fil du temps au point d'en arriver à un point de non retour, selon ce qui a filtré récemment comme informations. Le mouvement de redressement, conduit pour rappel par l'ancien ministre, Yahia Guidoum, aurait ainsi déclaré ouvertement la guerre à l'autorité de Bensalah. Yahia Guidoum, Bakhti Belaib, Tayeb Zitouni, auraient ainsi quitté la commission technique, qui fait pratiquement office de bureau national provisoire qui dirige les affaires du parti. Une attitude qui confirme que le malaise est profond, ce d'autant que les animateurs de ce mouvement, menacent d'entrer de nouveau en dissidence. Les contestataires reprochent toujours à Abdelkader Bensalah son manque d'impartialité dans le conflit interne puisque, à en croire leurs accusations, il aurait un net penchant pour les partisans de l'ex-secrétaire général, Ahmed Ouyahia. C'est ainsi qu'il accuse Bensalah d'avoir manqué "à son engagement qui consistait en l'interdiction faite aux membres de la Commission nationale de préparation du congrès de siéger au sein des commissions de wilayas", selon la même source. IL est aussi reproché à Abdelkader Bensalah de tergiverser aussi dans la question des coordonnateurs de wilayas. Ces derniers seraient, selon les amis de Yahia Guidoum, tous en faveur d'Ahmed Ouyahia. Bensalah n'a pas voulu nommer de nouveaux coordinateurs, de crainte d'envenimer davantage les choses. La hantise des redresseurs serait que les membres de la Commission nationale de préparation du congrès, influent sur le choix des délégués au prochain congrès prévu, pour rappel, les 26, 27 et 28 décembre prochain. Car ce sont les délégués au congrès qui feront pencher la balance d'un côté ou de l'autre. C'est à ce niveau que réside le véritable enjeu de la bataille en sourdine que se livrent les différentes parties. La formation des commissions de wilaya qui auront à charge de préparer les assemblées générales et même par la suite les congrès régionaux, est donc objet de moult manœuvres. Des pressions et des manœuvres qui placent Abdelkader Besalah dans une inconfortable posture, lui qui voudrait surtout préserver l'image de rassembleur de tous les militants du RND. Cette crise du RND est similaire en tous points de vues à celle du FLN. Les deux partis n'arrivent pas élire les successeurs de Belkhadem et d'Ouyahia. Ce qui ne semble pas être une mince affaire, surtout lorsque l'on sait que ces deux partis pèsent lourd dans la balance en perspective des élections présidentielles de 2014 et les manœuvres autour de cet événement politique majeur.