La recherche de nouveaux marchés est l'une des conditions pour améliorer le plan de charge de l'entreprise publique hydro-technique et exploiter au mieux son potentiel matériel et humain, a indiqué le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib. La recherche de nouveaux marchés est l'une des conditions pour améliorer le plan de charge de l'entreprise publique hydro-technique et exploiter au mieux son potentiel matériel et humain, a indiqué le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib. "Le potentiel humain et matériel de l'entreprise Hydro-technique n'est pas suffisamment utilisé eu égard au plan de charge" et l'encadrement est tenu "de chercher de nouveaux marchés" pour remédier à cette carence, a dit le ministre qui a visité une unité de l'entreprise située à Rouiba. Necib a ajouté que le gouvernement est prêt à soutenir l'entreprise "au niveau du plan de charge" tout en incitant l'encadrement à investir d'autres créneaux d'activité comme le forage au lieu de se concentrer sur l'activité de la construction des barrages.Le plan de charge de l'entreprise est de 10,8 milliards DA avec près de 50 projets répartis sur l'ensemble du territoire national, selon le P.-dg de cette entreprise publique, Rabah Ameddah. Elle devrait réaliser 3 barrages et 3 retenues d'eau ainsi que des châteaux d'eau et des réservoirs ainsi que des canalisations et des projets de transfert d'eau. Le P.-dg de l'entreprise a aussi soulevé le problème de recouvrement des créances s'élevant à 1,8 milliard DA et le ministre a donné instruction à ses collaborateurs afin d'aider l'entreprise à opérer les recouvrements. Quant aux créances relatives au non paiement de la différence liées aux diverses réévaluations, son montant s'élève à 2 milliads DA, a dit, ajoutant que le chiffre d'affaires de l'entreprise est de 2,75 milliards DA.En matière de partenariat, Necib a encouragé les responsables de l'entreprise à concrétiser un projet de création d'une société mixte dans la construction des barrages avec la société serbe Hidrotehnika dans le cadre d'un partenariat 51/49%. A propos du manque d'encadrement, le ministre a souligné que les salaires des cadres "ne sont pas très attrayants" mais que "l'entreprise peut les revoir à la hausse si elle réalise des résultats". En ce qui concerne les cadres dirigeants, le ministre a souligné que le gouvernement plaide en faveur d'un retour "à la norme internationale pour qu'ils puissent négocier leurs salaires avec le conseil d'administration" à condition d'adosser ce traitement à un contrat de performance. "Le potentiel humain et matériel de l'entreprise Hydro-technique n'est pas suffisamment utilisé eu égard au plan de charge" et l'encadrement est tenu "de chercher de nouveaux marchés" pour remédier à cette carence, a dit le ministre qui a visité une unité de l'entreprise située à Rouiba. Necib a ajouté que le gouvernement est prêt à soutenir l'entreprise "au niveau du plan de charge" tout en incitant l'encadrement à investir d'autres créneaux d'activité comme le forage au lieu de se concentrer sur l'activité de la construction des barrages.Le plan de charge de l'entreprise est de 10,8 milliards DA avec près de 50 projets répartis sur l'ensemble du territoire national, selon le P.-dg de cette entreprise publique, Rabah Ameddah. Elle devrait réaliser 3 barrages et 3 retenues d'eau ainsi que des châteaux d'eau et des réservoirs ainsi que des canalisations et des projets de transfert d'eau. Le P.-dg de l'entreprise a aussi soulevé le problème de recouvrement des créances s'élevant à 1,8 milliard DA et le ministre a donné instruction à ses collaborateurs afin d'aider l'entreprise à opérer les recouvrements. Quant aux créances relatives au non paiement de la différence liées aux diverses réévaluations, son montant s'élève à 2 milliads DA, a dit, ajoutant que le chiffre d'affaires de l'entreprise est de 2,75 milliards DA.En matière de partenariat, Necib a encouragé les responsables de l'entreprise à concrétiser un projet de création d'une société mixte dans la construction des barrages avec la société serbe Hidrotehnika dans le cadre d'un partenariat 51/49%. A propos du manque d'encadrement, le ministre a souligné que les salaires des cadres "ne sont pas très attrayants" mais que "l'entreprise peut les revoir à la hausse si elle réalise des résultats". En ce qui concerne les cadres dirigeants, le ministre a souligné que le gouvernement plaide en faveur d'un retour "à la norme internationale pour qu'ils puissent négocier leurs salaires avec le conseil d'administration" à condition d'adosser ce traitement à un contrat de performance.