Les ministres africains du Commerce ont exprimé à Addis-Abéba leur volonté de prolonger la durée de validité de la Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique (AGOA) encadrant les relations commerciales avec les Etats-Unis. Les ministres africains du Commerce ont exprimé à Addis-Abéba leur volonté de prolonger la durée de validité de la Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique (AGOA) encadrant les relations commerciales avec les Etats-Unis. Lors du 12e Forum de l'AGOA entamé vendredi dans la capitale éthiopienne et qui se poursuit jusqu'à mardi prochain, les participants ont mis l'accent sur la transformation durable de l'Afrique par le commerce et la technologie après l'accord commercial introduit en 2000 entre l'Afrique et les Etats-Unis, qui expire le 30 septembre 2015. Un rapport qui présente les différents scénarios sur l'avenir des relations commerciales américano-africaines, avec ou sans l'AGOA, a été préparé par la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA). Le rapport conclut que les pays africains risquent de perdre énormément si les Etats-Unis venaient à abandonner les accords d'AGOA en faveur de son régime commercial précédent avec les pays africains connu sous le nom de Système généralisé de préférences (SGP). Le document ajoute qu'un nouvel Accord de partenariat économique pourrait entraîner d'importantes pertes de recettes douanières pour les pays africains, l'exclusion des pays à revenu intermédiaire qui sont actuellement admissibles à l'AGOA ou ajoutant d'autres pays non africains les moins avancés (PMA) qui ne sont actuellement pas admissibles à l'AGOA entraîneraient des pertes commerciales considérables et une concurrence accrue pour l'Afrique. Outre le cas du renouvellement des accords d'AGOA au-delà de 2015, les ministres africains du Commerce et les experts examineront avec leurs homologues américains les questions liées à la transformation économique de l'Afrique, à la croissance économique et aux stratégies de développement durable. Lors du 12e Forum de l'AGOA entamé vendredi dans la capitale éthiopienne et qui se poursuit jusqu'à mardi prochain, les participants ont mis l'accent sur la transformation durable de l'Afrique par le commerce et la technologie après l'accord commercial introduit en 2000 entre l'Afrique et les Etats-Unis, qui expire le 30 septembre 2015. Un rapport qui présente les différents scénarios sur l'avenir des relations commerciales américano-africaines, avec ou sans l'AGOA, a été préparé par la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA). Le rapport conclut que les pays africains risquent de perdre énormément si les Etats-Unis venaient à abandonner les accords d'AGOA en faveur de son régime commercial précédent avec les pays africains connu sous le nom de Système généralisé de préférences (SGP). Le document ajoute qu'un nouvel Accord de partenariat économique pourrait entraîner d'importantes pertes de recettes douanières pour les pays africains, l'exclusion des pays à revenu intermédiaire qui sont actuellement admissibles à l'AGOA ou ajoutant d'autres pays non africains les moins avancés (PMA) qui ne sont actuellement pas admissibles à l'AGOA entraîneraient des pertes commerciales considérables et une concurrence accrue pour l'Afrique. Outre le cas du renouvellement des accords d'AGOA au-delà de 2015, les ministres africains du Commerce et les experts examineront avec leurs homologues américains les questions liées à la transformation économique de l'Afrique, à la croissance économique et aux stratégies de développement durable.