Après les inondations ayant causé l'effondrement de centaines de maisons et engendré plusieurs blessés voilà que Bordj Badji Mokhta est confronté à des affrontements tribaux sanglants entre Barbiches et Touareg (tribu Aâdane). Ces affrontements meurtriers ont déjà causé la mort d'au moins 6 personnes (certaines sources parlent de 7 victimes) et causé 40 autres blessées. Après les inondations ayant causé l'effondrement de centaines de maisons et engendré plusieurs blessés voilà que Bordj Badji Mokhta est confronté à des affrontements tribaux sanglants entre Barbiches et Touareg (tribu Aâdane). Ces affrontements meurtriers ont déjà causé la mort d'au moins 6 personnes (certaines sources parlent de 7 victimes) et causé 40 autres blessées. Depuis mardi dernier ces affrontements sanglants ont lieu dans divers quartiers entre les jeunes des deux tribus, le bilan des affrontements au bout de ces quatre jours est bien trop lourd. En plus des morts et blessés déplorés lors de ces heurts, des dizaines de véhicules ont été calcinés, des maisons incendiées et des locaux commerciaux pillés ou complétement saccagés avant d'être brûlés. Selon des témoins tout a commencé par un vol commis par un jeune de la tribu Aâdane. Ce dernier avait ciblé un magasin appartenant à un membre de la tribu Barbiche. Cette action a suscité la colère des barbiches qui ont promis d'identifier l'auteur et de le punir. En effet au bout de quelques heures l'assaillant a été identifié et arrêté par les barbiches qui l'ont tabassé à mort. Cette vengeance mortelle a été aussitot suivie par des actes de violences commis par les Touaregs, ce qui a donné lieu à ces affrontements sanglants qui se sont propagés pour atteindre la ville malienne d'El Khalil située à 2 km seulement de Timiaouine. L'intervention des gendarmes a permis d'éviter le pire, expliquent les témoins par téléphone. Néanmoins, la facture aurait été plus lourde sans cette intervention même tardive. Par ailleurs, la situation demeure très tendue après quatre jours d'affrontements. Cette situation était prévisible dans la mesure où des affrontements similaires avaient eu lieu auparavant au Nord-Mali, entre Touareg et Arabes. Lors de ces affrontements des dizaines de morts ont été malheureusement déplorés. Cette haine a été alimentée par certaines parties étrangères qui ont poussé le MNLA (Mouvement de libération de l'Azawad) à un éclatement interne. Un éclatement qui a vu la naissance d'un nouveau Mouvement appelé le MAA (Mouvement arabe de l'Azawad). Depuis mardi dernier ces affrontements sanglants ont lieu dans divers quartiers entre les jeunes des deux tribus, le bilan des affrontements au bout de ces quatre jours est bien trop lourd. En plus des morts et blessés déplorés lors de ces heurts, des dizaines de véhicules ont été calcinés, des maisons incendiées et des locaux commerciaux pillés ou complétement saccagés avant d'être brûlés. Selon des témoins tout a commencé par un vol commis par un jeune de la tribu Aâdane. Ce dernier avait ciblé un magasin appartenant à un membre de la tribu Barbiche. Cette action a suscité la colère des barbiches qui ont promis d'identifier l'auteur et de le punir. En effet au bout de quelques heures l'assaillant a été identifié et arrêté par les barbiches qui l'ont tabassé à mort. Cette vengeance mortelle a été aussitot suivie par des actes de violences commis par les Touaregs, ce qui a donné lieu à ces affrontements sanglants qui se sont propagés pour atteindre la ville malienne d'El Khalil située à 2 km seulement de Timiaouine. L'intervention des gendarmes a permis d'éviter le pire, expliquent les témoins par téléphone. Néanmoins, la facture aurait été plus lourde sans cette intervention même tardive. Par ailleurs, la situation demeure très tendue après quatre jours d'affrontements. Cette situation était prévisible dans la mesure où des affrontements similaires avaient eu lieu auparavant au Nord-Mali, entre Touareg et Arabes. Lors de ces affrontements des dizaines de morts ont été malheureusement déplorés. Cette haine a été alimentée par certaines parties étrangères qui ont poussé le MNLA (Mouvement de libération de l'Azawad) à un éclatement interne. Un éclatement qui a vu la naissance d'un nouveau Mouvement appelé le MAA (Mouvement arabe de l'Azawad).