Le secteur privé de la zone euro est resté sur le chemin de la croissance en août, à un rythme supérieur aux attentes, tiré par l'Allemagne, alors que l'activité s'est encore contractée en France.Le secteur privé de la Allemagne, alors que l'activité s'est encore contractée en France, montrent jeudi les résultats provisoires d'une enquête Markit. Le secteur privé de la zone euro est resté sur le chemin de la croissance en août, à un rythme supérieur aux attentes, tiré par l'Allemagne, alors que l'activité s'est encore contractée en France.Le secteur privé de la Allemagne, alors que l'activité s'est encore contractée en France, montrent jeudi les résultats provisoires d'une enquête Markit. L'indice PMI composite, qui regroupe industrie et services, présenté comme un baromètre de la croissance, a atteint 51,7 dans sa version préliminaire après 50,5 en juillet, selon le Figaro.Les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne 50,9 et aucun d'entre eux n'avait prévu un chiffre aussi élevé. Dans les services, l'indice a progressé à 51, contre 49,8 en juillet, alors que les économistes anticipaient en moyenne 50,2. C'est la première fois que cet indicateur passe la barre des 50 depuis début 2012. L'indice PMI manufacturier a augmenté à 51,3, son plus haut niveau depuis juin 2011, contre 50,3 en juillet et 50,8 attendu par le consensus. De bon augure pour l'économie mondiale D'après les estimations de Markit, l'économie de la zone euro devrait enregistrer une croissance comprise entre 0,2 et 0,3% au troisième trimestre. "Les chiffres sont bons. Si la zone euro est sur la voie de la reprise, c'est de bon augure pour l'économie mondiale. Le vacillement de la France est un peu inquiétant mais nous espérons que cela s'arrangera", explique Chris Williamson, économiste en chef de Markit. Les deux premières économies de la zone euro ont en effet connu des fortunes diverses. Si le secteur privé allemand a enregistré en août son niveau de croissance le plus élevé depuis janvier, il a encore accentué son repli en France. Chris Williamson a souligné que les secteurs manufacturiers et des services s'étaient également améliorés dans les pays européens fortement endettés, dits périphériques. Malgré des signes de reprise, les anticipations des prestataires de service ont reculé et les entreprises manufacturières ont réduit le nombre de leurs employés à un rythme plus rapide que le mois précédent. "Les suppressions d'emplois démontrent qu'il faut poursuivre la réduction des coûts et rester compétitif, mais certaines incertitudes demeurent au niveau des prévisions", reconnaît Chris Williamson. L'indice PMI composite, qui regroupe industrie et services, présenté comme un baromètre de la croissance, a atteint 51,7 dans sa version préliminaire après 50,5 en juillet, selon le Figaro.Les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne 50,9 et aucun d'entre eux n'avait prévu un chiffre aussi élevé. Dans les services, l'indice a progressé à 51, contre 49,8 en juillet, alors que les économistes anticipaient en moyenne 50,2. C'est la première fois que cet indicateur passe la barre des 50 depuis début 2012. L'indice PMI manufacturier a augmenté à 51,3, son plus haut niveau depuis juin 2011, contre 50,3 en juillet et 50,8 attendu par le consensus. De bon augure pour l'économie mondiale D'après les estimations de Markit, l'économie de la zone euro devrait enregistrer une croissance comprise entre 0,2 et 0,3% au troisième trimestre. "Les chiffres sont bons. Si la zone euro est sur la voie de la reprise, c'est de bon augure pour l'économie mondiale. Le vacillement de la France est un peu inquiétant mais nous espérons que cela s'arrangera", explique Chris Williamson, économiste en chef de Markit. Les deux premières économies de la zone euro ont en effet connu des fortunes diverses. Si le secteur privé allemand a enregistré en août son niveau de croissance le plus élevé depuis janvier, il a encore accentué son repli en France. Chris Williamson a souligné que les secteurs manufacturiers et des services s'étaient également améliorés dans les pays européens fortement endettés, dits périphériques. Malgré des signes de reprise, les anticipations des prestataires de service ont reculé et les entreprises manufacturières ont réduit le nombre de leurs employés à un rythme plus rapide que le mois précédent. "Les suppressions d'emplois démontrent qu'il faut poursuivre la réduction des coûts et rester compétitif, mais certaines incertitudes demeurent au niveau des prévisions", reconnaît Chris Williamson.