Depuis l'ouverture de la saison estivale et jusqu'au 25 août, les plages de la wilaya d'Oran ont attiré plus de 8 millions d'estivants, ont indiqué les services de la Protection civile. Depuis l'ouverture de la saison estivale et jusqu'au 25 août, les plages de la wilaya d'Oran ont attiré plus de 8 millions d'estivants, ont indiqué les services de la Protection civile. Comportant une façade maritime de près de 150 kilomètres de côtes et 32 plages autorisées à la baignade sur 34, Oran est devenue, au fil du temps, une des principales destinations touristiques en période d'été. Yahia Sbih, directeur local du tourisme et de l'artisanat, ne cache pas sa satisfaction. "Les mesures prises dans le cadre du plan d'action permettent d'ouvrir des perspectives heureuses pour le développement touristique balnéaire, un des atouts maîtres de cette wilaya du nord ouest du pays ", a-t-il souligné. Le même responsable a rappelé à l'APS l'octroi de 300 millions de dinars aux communes côtières pour l'aménagement des plages, des parkings, et réalisation d'aires de jeux. Une autre aide financière de 50 millions dinars a été octroyée pour doter les plages de cabines aménagées en vestiaires et douches pour femmes et hommes. Au niveau des plages retenues, le retard enregistré dans la dotation des vestiaires-douches a fait quelques déçus. Ceux-ci se montrent, toutefois optimistes, quant à une amélioration plus notable des prochaines saisons estivales. "J'espère que la saison prochaine sera meilleure et que de meilleures commodités seront offertes aux estivants, comme les fameuses cabines-vestiaires qui font défaut dans une dizaine de plages", a laissé entendre un vacancier qui a trouvé que certaines localités balnéaires comme Aïn El Turck et Mers El-Hadjadj "ont gagné quelques couleurs", après les travaux d'aménagement et d'embellissement dont elles ont bénéficié. Si les estivants restent émerveillés devant la beauté de certains sites et tous les bienfaits que leur procure Dame Nature, ils sont presque unanimes à dénoncer plusieurs lacunes qui gâchent un séjour ou une sortie en mer, indique l'APS, ajoutant, face au diktat de certaines personnes qui ont fait "main basse" sur les plages et des parkings, des "aoûtiens" appellent à l'intervention publique pour renforcer le contrôle en ce qui concerne la qualité des prestations. Dans l'exploitation des solariums et des parkings, l'anarchie persiste, font remarquer des estivants comme au niveau des plages "Saint Rock", "Bouiseville", "Trouville", "Claire fontaine", "Beau séjour", "Cap Falcon" sur la corniche ouest, et "Saint Michel" (Arzew) et "Aïn-Defla" (Kristel) au littoral-Est, où les orientations sont rarement respectées ; c'est ainsi que la situation est devenue incontrôlable et le prix de location des solariums est appliqué "à la tête du client", entre 500 dinars et 1.500 dinars l'unité. La série des déconvenues est loin d'être terminée lorsqu'on constate qu'il faut payer 100 dinars pour stationner sa voiture au parking de "Bomo-plage", une première fois pour l'entrée et 100 DA une seconde fois pour se rendre à la plage "l'Etoile" mitoyenne. La semaine dernière, une commission composée de représentants des ministères de l'Intérieur, de l'Environnement, des Ressources en eau et de membres des directions du tourisme, de la santé et de la population de la wilaya, du Commissariat national du Littoral, de la Protection civile, a effectué une visite de travail dans certaines communes côtières dans le but de s'enquérir des conditions d'hygiène et de sécurité des estivants au niveau des sites d'Aïn El-Turck, Bousfer, El Ançor, Mers El-Hadjadj, Arzew et Aïn Franine. Comportant une façade maritime de près de 150 kilomètres de côtes et 32 plages autorisées à la baignade sur 34, Oran est devenue, au fil du temps, une des principales destinations touristiques en période d'été. Yahia Sbih, directeur local du tourisme et de l'artisanat, ne cache pas sa satisfaction. "Les mesures prises dans le cadre du plan d'action permettent d'ouvrir des perspectives heureuses pour le développement touristique balnéaire, un des atouts maîtres de cette wilaya du nord ouest du pays ", a-t-il souligné. Le même responsable a rappelé à l'APS l'octroi de 300 millions de dinars aux communes côtières pour l'aménagement des plages, des parkings, et réalisation d'aires de jeux. Une autre aide financière de 50 millions dinars a été octroyée pour doter les plages de cabines aménagées en vestiaires et douches pour femmes et hommes. Au niveau des plages retenues, le retard enregistré dans la dotation des vestiaires-douches a fait quelques déçus. Ceux-ci se montrent, toutefois optimistes, quant à une amélioration plus notable des prochaines saisons estivales. "J'espère que la saison prochaine sera meilleure et que de meilleures commodités seront offertes aux estivants, comme les fameuses cabines-vestiaires qui font défaut dans une dizaine de plages", a laissé entendre un vacancier qui a trouvé que certaines localités balnéaires comme Aïn El Turck et Mers El-Hadjadj "ont gagné quelques couleurs", après les travaux d'aménagement et d'embellissement dont elles ont bénéficié. Si les estivants restent émerveillés devant la beauté de certains sites et tous les bienfaits que leur procure Dame Nature, ils sont presque unanimes à dénoncer plusieurs lacunes qui gâchent un séjour ou une sortie en mer, indique l'APS, ajoutant, face au diktat de certaines personnes qui ont fait "main basse" sur les plages et des parkings, des "aoûtiens" appellent à l'intervention publique pour renforcer le contrôle en ce qui concerne la qualité des prestations. Dans l'exploitation des solariums et des parkings, l'anarchie persiste, font remarquer des estivants comme au niveau des plages "Saint Rock", "Bouiseville", "Trouville", "Claire fontaine", "Beau séjour", "Cap Falcon" sur la corniche ouest, et "Saint Michel" (Arzew) et "Aïn-Defla" (Kristel) au littoral-Est, où les orientations sont rarement respectées ; c'est ainsi que la situation est devenue incontrôlable et le prix de location des solariums est appliqué "à la tête du client", entre 500 dinars et 1.500 dinars l'unité. La série des déconvenues est loin d'être terminée lorsqu'on constate qu'il faut payer 100 dinars pour stationner sa voiture au parking de "Bomo-plage", une première fois pour l'entrée et 100 DA une seconde fois pour se rendre à la plage "l'Etoile" mitoyenne. La semaine dernière, une commission composée de représentants des ministères de l'Intérieur, de l'Environnement, des Ressources en eau et de membres des directions du tourisme, de la santé et de la population de la wilaya, du Commissariat national du Littoral, de la Protection civile, a effectué une visite de travail dans certaines communes côtières dans le but de s'enquérir des conditions d'hygiène et de sécurité des estivants au niveau des sites d'Aïn El-Turck, Bousfer, El Ançor, Mers El-Hadjadj, Arzew et Aïn Franine.