Selon des sources sécuritaires tunisiennes, le chef terroriste l'Algérien Mokhtar Belmokhtar et le chef spirituel tunisien d'Ansar El Chariaâ, en l'occurrence Abou Aâyadh seraient en Libye. S'agit-il d'un nouveau mariage après celui annoncé entre le Mujao et « El Moulathamoune » ? Selon des sources sécuritaires tunisiennes, le chef terroriste l'Algérien Mokhtar Belmokhtar et le chef spirituel tunisien d'Ansar El Chariaâ, en l'occurrence Abou Aâyadh seraient en Libye. S'agit-il d'un nouveau mariage après celui annoncé entre le Mujao et « El Moulathamoune » ? L'Algérien Mokhtar Belmokhtar, alias Khaled Abou El Abbès et le Tunisien Abou Aâyadh se trouvent en Libye, c'est-ce que viennent de dévoiler plusieurs sources sécuritaires tunisiennes. Selon les mêmes sources qui reposent sur des renseignements dignes de foi, les deux leaders radicaux ont pu rejoindre le territoire libyen voilà déjà plusieurs semaines de cela. C'est là qu'ils sont en train de planifier des attentats terroristes d'envergure pour frapper l'Algérie et la Tunisie, à en croire les mêmes sources. Toutefois, il est très difficile, ajoutent les mêmes sources sécuritaires, de les localisés vu la densité du terrain libyen mais surtout vu la complicité dont les deux dangereux radicaux jouissent dans cette vaste partie de la région du Sahel. Aussi, Mokhtar Belmokhtar qui a déjà annoncé la fusion de son groupe les «Signataires par le sang» avec le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) serait entre de bonnes mains, d'autant qu'il fait l'objet d'une traque internationale lancée à son encontre par plusieurs pays étrangers suite aux multiples affaires d'enlèvements de touristes dont il est le véritable planificateur. Belmokhtar, alias Belaâouar est recherché également par les pays les plus puissants du monde, notamment les Etats-Unis et le Canada suite à la sanglante attaque ayant ciblé, le 16 janvier dernier, le site gazier de Tiguentourine à In Amenas où 43 étrangers, entre autres des Américains et des Canadiens, avaient été tués par un commando appartenant à la phalange des « Signataires par le sang » dirigé par Belmokhtar. Cependant, ce qui est important dans cette nouvelle révélation sur Belmokhtar c'est que ce dernier aurait des liens directs avec le chef spirituel d'Ansar El Chariaâ, en l'occurrence le Tunisien Abou Aâyadh. Autrement dit, le leader d'Ansar El Chariaâ longtemps accusé pour avoir des liens avec Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) n'a, enfin, que des liens avec Mokhtar Belmokhtar, d'autant que Belaâouar est en conflit idéologique avec l'émir national d'Aqmi, en l'occurrence Abdelmalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud. Du coup, le nom d'Abou Aâyadh pourrait bien être ajouté à la longue liste noire des chefs terroristes à traquer ou à abattre dans le monde. Lui qui faisait des prêches dans les mosquées tunisiennes appelant à la violence a, tout à coup, été pourchassé par l'armée tunisienne dans le cadre de ses liens avec les assassinats d'hommes politiques de l'opposition commis en Tunisie. Mais ce qui est le plus inquiétant c'est qu'il est fort probable que ces deux chefs terroristes, recourent à une fusion afin d'alimenter davantage la crainte de nouveaux attentats visant les intérêts algériens et tunisiens. Deux pays maghrébins qui sont dans la ligne de mire des groupes terroristes. L'Algérien Mokhtar Belmokhtar, alias Khaled Abou El Abbès et le Tunisien Abou Aâyadh se trouvent en Libye, c'est-ce que viennent de dévoiler plusieurs sources sécuritaires tunisiennes. Selon les mêmes sources qui reposent sur des renseignements dignes de foi, les deux leaders radicaux ont pu rejoindre le territoire libyen voilà déjà plusieurs semaines de cela. C'est là qu'ils sont en train de planifier des attentats terroristes d'envergure pour frapper l'Algérie et la Tunisie, à en croire les mêmes sources. Toutefois, il est très difficile, ajoutent les mêmes sources sécuritaires, de les localisés vu la densité du terrain libyen mais surtout vu la complicité dont les deux dangereux radicaux jouissent dans cette vaste partie de la région du Sahel. Aussi, Mokhtar Belmokhtar qui a déjà annoncé la fusion de son groupe les «Signataires par le sang» avec le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) serait entre de bonnes mains, d'autant qu'il fait l'objet d'une traque internationale lancée à son encontre par plusieurs pays étrangers suite aux multiples affaires d'enlèvements de touristes dont il est le véritable planificateur. Belmokhtar, alias Belaâouar est recherché également par les pays les plus puissants du monde, notamment les Etats-Unis et le Canada suite à la sanglante attaque ayant ciblé, le 16 janvier dernier, le site gazier de Tiguentourine à In Amenas où 43 étrangers, entre autres des Américains et des Canadiens, avaient été tués par un commando appartenant à la phalange des « Signataires par le sang » dirigé par Belmokhtar. Cependant, ce qui est important dans cette nouvelle révélation sur Belmokhtar c'est que ce dernier aurait des liens directs avec le chef spirituel d'Ansar El Chariaâ, en l'occurrence le Tunisien Abou Aâyadh. Autrement dit, le leader d'Ansar El Chariaâ longtemps accusé pour avoir des liens avec Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) n'a, enfin, que des liens avec Mokhtar Belmokhtar, d'autant que Belaâouar est en conflit idéologique avec l'émir national d'Aqmi, en l'occurrence Abdelmalek Droukdel, alias Abou Mossaâb Abdelouadoud. Du coup, le nom d'Abou Aâyadh pourrait bien être ajouté à la longue liste noire des chefs terroristes à traquer ou à abattre dans le monde. Lui qui faisait des prêches dans les mosquées tunisiennes appelant à la violence a, tout à coup, été pourchassé par l'armée tunisienne dans le cadre de ses liens avec les assassinats d'hommes politiques de l'opposition commis en Tunisie. Mais ce qui est le plus inquiétant c'est qu'il est fort probable que ces deux chefs terroristes, recourent à une fusion afin d'alimenter davantage la crainte de nouveaux attentats visant les intérêts algériens et tunisiens. Deux pays maghrébins qui sont dans la ligne de mire des groupes terroristes.