La droite, emmenée par les conservateurs et qui comprend un parti populiste anti-immigration, semble assurée de remporter les élections législatives en Norvège, selon un sondage paru dimanche 8 septembre, au moment où le vote commençait dans une partie du pays. La droite, emmenée par les conservateurs et qui comprend un parti populiste anti-immigration, semble assurée de remporter les élections législatives en Norvège, selon un sondage paru dimanche 8 septembre, au moment où le vote commençait dans une partie du pays. Une enquête d'opinion publiée dans le journal Aftenpostencrédite les quatre partis du bloc dit "bourgeois" de 54,3% des intentions de vote, ce qui leur assurerait une confortable majorité de 95 sièges sur 169 au Parlement. Dirigés par Erna Solberg, pressentie pour être le futur Premier ministre, les conservateurs sont d'accord avec le parti du Progrès (FrP, populiste) et deux formations centristes, les démocrates chrétiens et les libéraux, pour empêcher la reconduction de la coalition de gauche sortante. Regroupant les travaillistes du Premier ministre Jens Stoltenberg, la Gauche socialiste et le parti centriste, cette coalition ne recueille que 39% des intentions de vote dans le sondage d'Aftenposten, ce qui se traduirait par 68 sièges au Parlement. L'ombre d'Anders Breivik En place depuis 2005, ce qui représente une longévité exceptionnelle en Norvège, le gouvernement de Jens Stoltenberg pâtit d'une usure du pouvoir mais aussi des critiques sur les défaillances des autorités mises au jour par les attaques d'Anders Behring Breivik qui avaient fait 77 morts le 22 juillet 2011. Si les quatre partis de droite sont d'accord pour souhaiter une alternance, ils n'ont en revanche pas encore convenu des contours d'un nouveau gouvernement ni de son programme précis, lesquels dépendront de leur poids respectif au sortir des urnes. Une enquête d'opinion publiée dans le journal Aftenpostencrédite les quatre partis du bloc dit "bourgeois" de 54,3% des intentions de vote, ce qui leur assurerait une confortable majorité de 95 sièges sur 169 au Parlement. Dirigés par Erna Solberg, pressentie pour être le futur Premier ministre, les conservateurs sont d'accord avec le parti du Progrès (FrP, populiste) et deux formations centristes, les démocrates chrétiens et les libéraux, pour empêcher la reconduction de la coalition de gauche sortante. Regroupant les travaillistes du Premier ministre Jens Stoltenberg, la Gauche socialiste et le parti centriste, cette coalition ne recueille que 39% des intentions de vote dans le sondage d'Aftenposten, ce qui se traduirait par 68 sièges au Parlement. L'ombre d'Anders Breivik En place depuis 2005, ce qui représente une longévité exceptionnelle en Norvège, le gouvernement de Jens Stoltenberg pâtit d'une usure du pouvoir mais aussi des critiques sur les défaillances des autorités mises au jour par les attaques d'Anders Behring Breivik qui avaient fait 77 morts le 22 juillet 2011. Si les quatre partis de droite sont d'accord pour souhaiter une alternance, ils n'ont en revanche pas encore convenu des contours d'un nouveau gouvernement ni de son programme précis, lesquels dépendront de leur poids respectif au sortir des urnes.