Célébrée sous le slogan ‘'Une atmosphère saine, tel est l'avenir que nous voulons'', la Journée mondiale de la protection de la couche d'ozone a été mise en relief, hier à l'hôtel Hilton, par le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'environnement qui a organisé une série de conférences scientifiques et techniques. Célébrée sous le slogan ‘'Une atmosphère saine, tel est l'avenir que nous voulons'', la Journée mondiale de la protection de la couche d'ozone a été mise en relief, hier à l'hôtel Hilton, par le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'environnement qui a organisé une série de conférences scientifiques et techniques. En effet, plusieurs communications ayant trait à la préservation de la couche d'ozone et à la lutte contre l'émission de gaz à effets de serres ont été développées par des experts et des responsables spécialisés dans la protection et la sauvegarde de l'environnement. La conférencière Lila Bouyoucef, bureau d'ozone au ministère de l'Aménagement du territoire et de l'environnement, a expliqué la problématique de l'application de la réglementation et de la normalisation de la politique de la SAO, tandis que Djamel Boucherf a mis en exergue la mesure de l'ozone à Tamanrasset. Quant à Tahar Cherif Zeraka, responsable au niveau de l'autorité de régulation des hydrocarbures (ARH), il a expliqué la nécessité de la prise en charge de la problématique des substances appauvrissant la couche d'ozone dans le secteur des énergies fossiles et les hydrocarbures, dont les industries sont très polluantes. Par ailleurs, l'expérience allemande riche en technologies en matière de protection de la couche d'ozone a été présentée, sachant que les experts et les industriels germaniques privilégient les énergies renouvelables et les sources photovoltaïques et solaires, notamment pour la génération d'électricité. Enfin, l'expert international dans le domaine de l'énergie propre, Mohamed Bouziane, a traité le thème de l'appauvrissement de la couche d'ozone et les changements climatiques et l'interaction complexe en préconisant une solution noble. A l'occasion du 26e anniversaire de la signature du protocole de Montréal, les experts soulignent que "à l'instar de la communauté internationale, l'Algérie célèbre la Journée internationale de la protection de la couche d'ozone. Pour rappel, l'assemblée générale de l'Onu a proclamé le 16 septembre date anniversaire de la signature, en 1987, du protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d'ozone". Financement de la reconversion industrielle En effet, les intervenants lors de la célébration de la Journée mondiale de la protection de la couche d'ozone ont indiqué que "le protocole de Montréal qui a été ratifié par 197 pays a permis de réduire la production et la consommation mondiale de substances contrôlées (appauvrissant la couche d'ozone) de plus de 98%. Le protocole de Montréal a également permis de superviser l'élimination de chlorofluorocarbones (CFC) et ce, au niveau mondial". Aussi, des observations mondiales ont confirmé que les niveaux atmosphériques de substances clés appauvrissant la couche d'ozone ont baissé. On estime que la mise en œuvre des différentes dispositions du protocole devrait permettre à la couche d'ozone de retrouver entre 2050 et 2075 le niveau d'avant 1980. En outre, les participants ont indiqué que le Fonds multilatéral du protocole de Montréal a aidé les pays en développement à respecter la conformité de leurs engagements, en finançant la reconversion industrielle, en apportant un soutien technique et en offrant des formations pour renforcer les capacités d'intervention. En effet, plusieurs communications ayant trait à la préservation de la couche d'ozone et à la lutte contre l'émission de gaz à effets de serres ont été développées par des experts et des responsables spécialisés dans la protection et la sauvegarde de l'environnement. La conférencière Lila Bouyoucef, bureau d'ozone au ministère de l'Aménagement du territoire et de l'environnement, a expliqué la problématique de l'application de la réglementation et de la normalisation de la politique de la SAO, tandis que Djamel Boucherf a mis en exergue la mesure de l'ozone à Tamanrasset. Quant à Tahar Cherif Zeraka, responsable au niveau de l'autorité de régulation des hydrocarbures (ARH), il a expliqué la nécessité de la prise en charge de la problématique des substances appauvrissant la couche d'ozone dans le secteur des énergies fossiles et les hydrocarbures, dont les industries sont très polluantes. Par ailleurs, l'expérience allemande riche en technologies en matière de protection de la couche d'ozone a été présentée, sachant que les experts et les industriels germaniques privilégient les énergies renouvelables et les sources photovoltaïques et solaires, notamment pour la génération d'électricité. Enfin, l'expert international dans le domaine de l'énergie propre, Mohamed Bouziane, a traité le thème de l'appauvrissement de la couche d'ozone et les changements climatiques et l'interaction complexe en préconisant une solution noble. A l'occasion du 26e anniversaire de la signature du protocole de Montréal, les experts soulignent que "à l'instar de la communauté internationale, l'Algérie célèbre la Journée internationale de la protection de la couche d'ozone. Pour rappel, l'assemblée générale de l'Onu a proclamé le 16 septembre date anniversaire de la signature, en 1987, du protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d'ozone". Financement de la reconversion industrielle En effet, les intervenants lors de la célébration de la Journée mondiale de la protection de la couche d'ozone ont indiqué que "le protocole de Montréal qui a été ratifié par 197 pays a permis de réduire la production et la consommation mondiale de substances contrôlées (appauvrissant la couche d'ozone) de plus de 98%. Le protocole de Montréal a également permis de superviser l'élimination de chlorofluorocarbones (CFC) et ce, au niveau mondial". Aussi, des observations mondiales ont confirmé que les niveaux atmosphériques de substances clés appauvrissant la couche d'ozone ont baissé. On estime que la mise en œuvre des différentes dispositions du protocole devrait permettre à la couche d'ozone de retrouver entre 2050 et 2075 le niveau d'avant 1980. En outre, les participants ont indiqué que le Fonds multilatéral du protocole de Montréal a aidé les pays en développement à respecter la conformité de leurs engagements, en finançant la reconversion industrielle, en apportant un soutien technique et en offrant des formations pour renforcer les capacités d'intervention.