La 7e édition du Festival d'Oran du film arabe, Fofa, s'est ouverte lundi dernier en début de soirée, au centre des conventions Mohammed-Benahmed, en présence d'un représentant du ministère de la Culture, des autorités locales et d'une pléiade de stars du 7e art arabe. La cérémonie d'ouverture a été marquée par un hommage à plusieurs personnalités et figures artistiques, notamment Ahmed Rachedi, qui est en même temps le président d'honneur de cette édition, à l'actrice égyptienne Leila Taher, ainsi qu'au comédien syrien, Assad Fadha. La 7e édition du Festival d'Oran du film arabe, Fofa, s'est ouverte lundi dernier en début de soirée, au centre des conventions Mohammed-Benahmed, en présence d'un représentant du ministère de la Culture, des autorités locales et d'une pléiade de stars du 7e art arabe. La cérémonie d'ouverture a été marquée par un hommage à plusieurs personnalités et figures artistiques, notamment Ahmed Rachedi, qui est en même temps le président d'honneur de cette édition, à l'actrice égyptienne Leila Taher, ainsi qu'au comédien syrien, Assad Fadha. Les organisateurs ont choisi à l'ouverture de ce festival la projection du premier film de l'Algérie indépendante Une si jeune paix de Jacques Charby, réalisé en 1964. Près de 200 œuvres représenteront une quinzaine de pays du monde arabe dont : l'Algérie, l'Arabie saoudite, le Bahreïn, l'Egypte, les Emirats arabes unis, l'Irak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, le Maroc, la Mauritanie, la Palestine, le Qatar, la Syrie et la Tunisie. 38 créations seront projetées dans le cadre des compétitions longs métrages (14) court-métrages (18) et documentaires (6). Le jury de la catégorie longs métrages, présidé par le cinéaste algérien, Ahmed Rachedi, aura à juger les qualités techniques, esthétiques et artistiques de 13 films dont 2 réalisés par de jeunes Algériens, C'est dans la boîte de Djamil Beloucif et Jours de cendres de Amar Si Fodil. Parmi les autres œuvres sélectionnées, on relève un film tunisien Die Walt de Karim Alexander Pistra, un long-métrage marocain, Les mécréants de Mohsein Basri, deux œuvres de Jordanie, deux autres d'Egypte, un de Syrie, un film du Koweit, un autre d'Arabie saoudite, un du Liban et enfin un du Bahrein. L'Algérie sera en force dans la catégorie courts métrages avec 4 œuvres parmi les 18 en lice. Il s'agit de Square port Saïd de Faouzi Boudjemai, La gandoura blanche d'Akram Zaghba, Les jours d'avant de Karim Moussaoui et Iminig d'Embarek Menad. L'Egypte, l'EAU, l'Irak, le Bahreïn, la Jordanie, le Liban, le Qatar, la Tunisie et le Maroc présenteront en outre 14 œuvres dans cette même catégorie. Le jury du court métrage sera composé de la scénariste et réalisatrice jordanienne Ala Younis, de l'artiste-peintre algérien, Karim Sergoua, et de l'actrice algérienne Samia Meziane. Parallèlement au volet compétition et autour du cinéma, des rencontres rassembleront professionnels et festivaliers, autour de conférences thématiques sur la « Critique cinématographique » et les « Droits d'auteurs ». Les organisateurs ont annoncé également de nouvelles récompenses : une pour le meilleur film documentaire et le Prix de la Presse délivré par un jury de journalistes. Et que les films sont projetés dans différents lieux, dont le centre des conventions Mohamed -Ben-Ahmed (CCO), les salles de cinéma Maghreb, Es-Saada et la Cinémathèque d'Oran. Les organisateurs ont choisi à l'ouverture de ce festival la projection du premier film de l'Algérie indépendante Une si jeune paix de Jacques Charby, réalisé en 1964. Près de 200 œuvres représenteront une quinzaine de pays du monde arabe dont : l'Algérie, l'Arabie saoudite, le Bahreïn, l'Egypte, les Emirats arabes unis, l'Irak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, le Maroc, la Mauritanie, la Palestine, le Qatar, la Syrie et la Tunisie. 38 créations seront projetées dans le cadre des compétitions longs métrages (14) court-métrages (18) et documentaires (6). Le jury de la catégorie longs métrages, présidé par le cinéaste algérien, Ahmed Rachedi, aura à juger les qualités techniques, esthétiques et artistiques de 13 films dont 2 réalisés par de jeunes Algériens, C'est dans la boîte de Djamil Beloucif et Jours de cendres de Amar Si Fodil. Parmi les autres œuvres sélectionnées, on relève un film tunisien Die Walt de Karim Alexander Pistra, un long-métrage marocain, Les mécréants de Mohsein Basri, deux œuvres de Jordanie, deux autres d'Egypte, un de Syrie, un film du Koweit, un autre d'Arabie saoudite, un du Liban et enfin un du Bahrein. L'Algérie sera en force dans la catégorie courts métrages avec 4 œuvres parmi les 18 en lice. Il s'agit de Square port Saïd de Faouzi Boudjemai, La gandoura blanche d'Akram Zaghba, Les jours d'avant de Karim Moussaoui et Iminig d'Embarek Menad. L'Egypte, l'EAU, l'Irak, le Bahreïn, la Jordanie, le Liban, le Qatar, la Tunisie et le Maroc présenteront en outre 14 œuvres dans cette même catégorie. Le jury du court métrage sera composé de la scénariste et réalisatrice jordanienne Ala Younis, de l'artiste-peintre algérien, Karim Sergoua, et de l'actrice algérienne Samia Meziane. Parallèlement au volet compétition et autour du cinéma, des rencontres rassembleront professionnels et festivaliers, autour de conférences thématiques sur la « Critique cinématographique » et les « Droits d'auteurs ». Les organisateurs ont annoncé également de nouvelles récompenses : une pour le meilleur film documentaire et le Prix de la Presse délivré par un jury de journalistes. Et que les films sont projetés dans différents lieux, dont le centre des conventions Mohamed -Ben-Ahmed (CCO), les salles de cinéma Maghreb, Es-Saada et la Cinémathèque d'Oran.