Des marchés de l'informel se réinstallent actuellement dans certains endroits des grandes villes. Les dernières poches de l'informel qui subsistent encore ne pèsent pas beaucoup, mais embarrassent les autorités. La promesse de les éradiquer totalement ne semble pas encore aboutir. Des marchés de l'informel se réinstallent actuellement dans certains endroits des grandes villes. Les dernières poches de l'informel qui subsistent encore ne pèsent pas beaucoup, mais embarrassent les autorités. La promesse de les éradiquer totalement ne semble pas encore aboutir. Les derniers marchés informels seront éradiqués prochainement. C'est le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, qui l'assure. Le dernier bilan du ministère du Commerce évaluait que 90% des marchés informels étaient éradiqués en juillet dernier. Jusque-là, le premier responsable du secteur évalue cette éradication à 853 marchés sur 1000 recensés. Mais, il subsiste encore des poches du marché noir dans certains endroits qui réapparaissent en toute impunité. Les chiffres montrent qu'à Alger, plus de 27 sites ont été identifiés par les brigades de la DCP (direction de la concurrence et des prix) relevant du ministère du Commerce. D'autres sites au nombre de 19 ont été également classés comme «marchés informels» dans la capitale. Cette résurgence des marchés parallèles, explique le responsable de la DCP d'Alger est causée par «un retard de réalisation de certains marchés de proximité dans toute la wilaya d'Alger». En effet, il était prévu depuis 2011, la réalisation de 56 marchés couvrant 6.273 places. Une enveloppe de 70 milliards de centimes était allouée pour la construction de ces marchés qui étaient destinés essentiellement aux revendeurs de l'informel. Or, ces marchés sont encore à l'état embryonnaire, ce qui pousse certains revendeurs à réoccuper le terrain espérant attirer les autorités sur leur conversion rapide dans l'activité commerciale légale. Les services du ministère du Commerce ont, à plusieurs reprises, indiqué que 110 marchés informels ont été éradiqués cette année, laissant très peu de marge à leur éventuel retour. Le gouvernement Sellal se targue d'avoir mis hors d'état de nuire quelque 1000 marchés informels. Partout en Algérie, la DGSN et les brigades de contrôle du ministère du Commerce ont sévi avec force en interdisant le moindre étal dans les rues. Les moyens de logistique mis sont impressionnants face à un phénomène qui reste encore difficile à extirper. Des enquêtes ont abouti à la conclusion que certaines entreprises font délibérément dans l'activité informelle en encourageant l'écoulement de leurs produits sur les étals libres des rues. La plupart sont identifiées comme des marques connues du marché de l'agro-alimentaire, les détergents et les cosmétiques. Les autorités ont selon les responsables du ministère du Commerce permis de débusquer ces entreprises via des grossistes qui s'adonnent également à la tâche de vendre sans facture aux revendeurs de l'informel. Les autorités ont annoncé qu'en parallèle, des marchés conçus à la «parisienne» seront réalisés dans les grands centres urbains. Ils ont promis de rouvrir les anciennes Galeries Algériennes et les Souk El Fellah qui ont été fermés pendant longtemps. Pour sa part, Batimetal, a obtenu un marché pour bâtir des marchés en des délais courts. Mais force est de constater que ces projets avancent lentement sans parfois donner des résultats palpables sur le terrain. Les derniers marchés informels seront éradiqués prochainement. C'est le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, qui l'assure. Le dernier bilan du ministère du Commerce évaluait que 90% des marchés informels étaient éradiqués en juillet dernier. Jusque-là, le premier responsable du secteur évalue cette éradication à 853 marchés sur 1000 recensés. Mais, il subsiste encore des poches du marché noir dans certains endroits qui réapparaissent en toute impunité. Les chiffres montrent qu'à Alger, plus de 27 sites ont été identifiés par les brigades de la DCP (direction de la concurrence et des prix) relevant du ministère du Commerce. D'autres sites au nombre de 19 ont été également classés comme «marchés informels» dans la capitale. Cette résurgence des marchés parallèles, explique le responsable de la DCP d'Alger est causée par «un retard de réalisation de certains marchés de proximité dans toute la wilaya d'Alger». En effet, il était prévu depuis 2011, la réalisation de 56 marchés couvrant 6.273 places. Une enveloppe de 70 milliards de centimes était allouée pour la construction de ces marchés qui étaient destinés essentiellement aux revendeurs de l'informel. Or, ces marchés sont encore à l'état embryonnaire, ce qui pousse certains revendeurs à réoccuper le terrain espérant attirer les autorités sur leur conversion rapide dans l'activité commerciale légale. Les services du ministère du Commerce ont, à plusieurs reprises, indiqué que 110 marchés informels ont été éradiqués cette année, laissant très peu de marge à leur éventuel retour. Le gouvernement Sellal se targue d'avoir mis hors d'état de nuire quelque 1000 marchés informels. Partout en Algérie, la DGSN et les brigades de contrôle du ministère du Commerce ont sévi avec force en interdisant le moindre étal dans les rues. Les moyens de logistique mis sont impressionnants face à un phénomène qui reste encore difficile à extirper. Des enquêtes ont abouti à la conclusion que certaines entreprises font délibérément dans l'activité informelle en encourageant l'écoulement de leurs produits sur les étals libres des rues. La plupart sont identifiées comme des marques connues du marché de l'agro-alimentaire, les détergents et les cosmétiques. Les autorités ont selon les responsables du ministère du Commerce permis de débusquer ces entreprises via des grossistes qui s'adonnent également à la tâche de vendre sans facture aux revendeurs de l'informel. Les autorités ont annoncé qu'en parallèle, des marchés conçus à la «parisienne» seront réalisés dans les grands centres urbains. Ils ont promis de rouvrir les anciennes Galeries Algériennes et les Souk El Fellah qui ont été fermés pendant longtemps. Pour sa part, Batimetal, a obtenu un marché pour bâtir des marchés en des délais courts. Mais force est de constater que ces projets avancent lentement sans parfois donner des résultats palpables sur le terrain.