Le ministère de l'Education nationale a invité le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest-élargi) à une séance de travail. Cette rencontre entre les deux parties aura lieu ce matin. Ce rendez vous est à même de mettre fin à la grève illimitée initiée par le Cnapeste depuis lundi dernier. Une grève qui a surtout paralysé la majorité des lycées où le syndicat est fortement implanté sans épargner toutefois les deux autres paliers, à savoir le moyen et le primaire, où le mouvement de protestation a été partiellement suivi. Le ministère de l'Education nationale a invité le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest-élargi) à une séance de travail. Cette rencontre entre les deux parties aura lieu ce matin. Ce rendez vous est à même de mettre fin à la grève illimitée initiée par le Cnapeste depuis lundi dernier. Une grève qui a surtout paralysé la majorité des lycées où le syndicat est fortement implanté sans épargner toutefois les deux autres paliers, à savoir le moyen et le primaire, où le mouvement de protestation a été partiellement suivi. Quatre jours donc après le début de la grève, le département ministériel de Abdelatif Baba Ahmed prend ainsi l‘initiative de prendre langue avec le Cnapest-élargi afin d‘examiner les revendications de ce syndicat. Des revendications qui portent essentiellement sur la révision du statut particulier ainsi que l‘application de certaines de ses dispositions. Le syndicat demande aussi l‘accès au logement pour les enseignants notamment ceux du Sud du pays. Comme il remet sur la table le dossier de la médecine du travail et celui des œuvres sociales. Le Cnapest-élargi dénonce aussi par cette grève les atteintes aux libertés syndicales. Des revendications récurrentes puisque, à chaque fois, elles sont mises en avant par tous les syndicats du secteur de l‘éducation nationale. Le Cnapest-élargi, qui a appelé à une grève d‘une journée reconductible automatiquement dès lors que les revendications ne sont pas satisfaites, a aussi, pour rappel, organisé un rassemblement ce mercredi devant le siége du ministère de l‘Education nationale. Un rassemblement qui a été, selon le syndicat, « réprimé » par les forces de l‘ordre Selon le Cnapest des centaines d‘enseignants ont été arrêtés par les forces de l‘ordre et conduits dans les commissariats. Le syndicat a annoncé que 7 membres du bureau national, dont le coordinateur national, Nouar Larbi, ont été eux aussi arrêtés par les forces de l‘ordre, mercredi dernier. Ces « violences » à l‘égard des enseignants ont été vivement dénoncées par le Cnapest-élargi, par des partis politiques et des syndicats du secteur. Le RCD et le MSP ont en effet, condamné ces agissements. Il en a été de même pour le Syndicat national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (Snapest). Dans un communiqué rendu public hier et signé de la main de son coordinateur national, Meziane Meriane, le Snapest indique avoir "suivi avec grande préoccupation une nouvelle épisode dans la répression des libertés syndicales par les pouvoirs publics". Par voie de conséquence, le Snapest « proteste contre ces pratiques policières et les pratiques répressives » et rappelle « le droit à la grève et aux rassemblements pacifiques pour défendre les droits des travailleurs ». Enfin le Snapest met en garde les pouvoirs publics et appelle à l‘ouverture d‘un « dialogue sérieux et responsable, loin des pressions et ce , afin de préserver la stabilité dans le secteur et garantir un enseignement à nos élèves ». Quatre jours donc après le début de la grève, le département ministériel de Abdelatif Baba Ahmed prend ainsi l‘initiative de prendre langue avec le Cnapest-élargi afin d‘examiner les revendications de ce syndicat. Des revendications qui portent essentiellement sur la révision du statut particulier ainsi que l‘application de certaines de ses dispositions. Le syndicat demande aussi l‘accès au logement pour les enseignants notamment ceux du Sud du pays. Comme il remet sur la table le dossier de la médecine du travail et celui des œuvres sociales. Le Cnapest-élargi dénonce aussi par cette grève les atteintes aux libertés syndicales. Des revendications récurrentes puisque, à chaque fois, elles sont mises en avant par tous les syndicats du secteur de l‘éducation nationale. Le Cnapest-élargi, qui a appelé à une grève d‘une journée reconductible automatiquement dès lors que les revendications ne sont pas satisfaites, a aussi, pour rappel, organisé un rassemblement ce mercredi devant le siége du ministère de l‘Education nationale. Un rassemblement qui a été, selon le syndicat, « réprimé » par les forces de l‘ordre Selon le Cnapest des centaines d‘enseignants ont été arrêtés par les forces de l‘ordre et conduits dans les commissariats. Le syndicat a annoncé que 7 membres du bureau national, dont le coordinateur national, Nouar Larbi, ont été eux aussi arrêtés par les forces de l‘ordre, mercredi dernier. Ces « violences » à l‘égard des enseignants ont été vivement dénoncées par le Cnapest-élargi, par des partis politiques et des syndicats du secteur. Le RCD et le MSP ont en effet, condamné ces agissements. Il en a été de même pour le Syndicat national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (Snapest). Dans un communiqué rendu public hier et signé de la main de son coordinateur national, Meziane Meriane, le Snapest indique avoir "suivi avec grande préoccupation une nouvelle épisode dans la répression des libertés syndicales par les pouvoirs publics". Par voie de conséquence, le Snapest « proteste contre ces pratiques policières et les pratiques répressives » et rappelle « le droit à la grève et aux rassemblements pacifiques pour défendre les droits des travailleurs ». Enfin le Snapest met en garde les pouvoirs publics et appelle à l‘ouverture d‘un « dialogue sérieux et responsable, loin des pressions et ce , afin de préserver la stabilité dans le secteur et garantir un enseignement à nos élèves ».